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Marie Blanche - Au fil de la vie
Jean-Luc Piningre (traduit par)
Collection : Ailleurs
Date de parution : 26/08/2021
Éditeurs :
le cherche midi

Marie Blanche - Au fil de la vie

Jean-Luc Piningre (traduit par)
Collection : Ailleurs
Date de parution : 26/08/2021
« Je me rends compte en approchant de la fin, encore enveloppé d’une brume qui se dissipe à peine, que ma famille me manque plus que jamais. Je voulais de nouveau la saluer. »
1995, région des Grands Lacs. Jim Fergus rend visite à sa grand-mère, Renée, 96 ans. Fille d’aristocrates français désargentés, mariée trois fois, celle-ci a connu un destin hors du commun qui l’a menée... 1995, région des Grands Lacs. Jim Fergus rend visite à sa grand-mère, Renée, 96 ans. Fille d’aristocrates français désargentés, mariée trois fois, celle-ci a connu un destin hors du commun qui l’a menée de son petit village natal de la région de Senlis jusqu’aux États-Unis, en passant par les sables de l’Égypte. D’un... 1995, région des Grands Lacs. Jim Fergus rend visite à sa grand-mère, Renée, 96 ans. Fille d’aristocrates français désargentés, mariée trois fois, celle-ci a connu un destin hors du commun qui l’a menée de son petit village natal de la région de Senlis jusqu’aux États-Unis, en passant par les sables de l’Égypte. D’un caractère entier, froide et tyrannique, elle a brisé la vie de sa famille, en particulier celle de sa propre fille, Marie-Blanche, la mère de Jim. Pour essayer de comprendre cette femme, et peut-être de lui pardonner, l’écrivain va tenter de retracer son parcours. Puis celui de Marie-Blanche, dont la vie a commencé comme un conte de fées avant de prendre des allures de tragédie.

Jim Fergus s’inspire ici de son histoire personnelle pour nous offrir une bouleversante saga familiale. À la façon de Dalva, de Jim Harrison, il inscrit l’intime dans l’Histoire et nous présente d’inoubliables portraits de femmes dans la tourmente. On retrouve surtout dans cette fresque qui s’étend sur un siècle et trois continents toute la puissance romanesque de l’auteur de Mille femmes blanches associée à une force d’émotion rare.

« Avec une grande pudeur, Jim Fergus retrace le destin de ces deux femmes et signe un livre à la fois personnel et universel, bouleversant et sensible. Une fois encore, Jim Fergus frappe très fort. »
François Busnel

Rentrée littéraire 2021
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EAN : 9782749141381
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 616
Format : 154 x 240 mm
EAN : 9782749141381
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 616
Format : 154 x 240 mm

Ils en parlent

"Que vous ayez déjà lu ou non Marie Blanche, vous vous laisserez embarquer dans cette histoire qui ressuscite le destin de deux femmes, la grand-mère et la mère du romancier américain."
L'express

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • sylviedoc 17/02/2024
    L'appétit ouvert par "May et Chance", j'ai poursuivi ma découverte de l'oeuvre de Jim Fergus par ce livre que l'on pourrait qualifier de biographie familiale romancée, à défaut de trouver un terme plus adéquat. Je précise que j'ai lu la première édition, celle de 2011, ma médiathèque ne possédant pas celle, remaniée, de 2021. Si j'ai bien compris, la présentation n'est pas la même : ici le journal de Marie-Blanche (mère de l'auteur) est intercalé entre la narration de la vie de Renée (mère de Marie-Blanche et donc grand-mère de Jim Fergus). Dans la nouvelle édition il y aurait deux parties successives, et certains ajouts. En prologue, l'auteur rend visite à sa grand-mère Renée en 1995, dans l'Illinois où celle-ci réside. Très âgée et atteinte de la maladie d'Alzheimer, elle ne réagit quasiment plus, ce qui n'empêche pas Jim de régler quelques comptes avec celle qui ne l'a jamais aimé, imaginant les réponses qu'elle lui aurait sans doute faites. Et on se rend compte en lisant la suite que ces réponses correspondent bien au caractère profondément égocentrique et perturbé de cette femme dont la vie n'a pas été un long fleuve tranquille... Dès sa naissance, Renée vit sous le signe du mensonge : son père l'a eu d'une de ses nombreuses maîtresses, une danseuse à laquelle il avait "commandé" un fils. Las, c'est une fille qu'elle mettra au monde, mais comme Henriette Fontarce avait simulé une grossesse en accord avec son mari Maurice (entre autre pour éviter le "devoir conjugal" avec cet époux qu'elle n'aime pas), il faut bien s'accommoder de cette gamine... Entre ces parents qui ne se tolèrent que pour satisfaire aux convenances mais vivent chacun leur vie, Renée grandit comme elle peut, aimée par son père mais négligée par sa mère qui préfère batifoler avec l'oncle Gabriel. Ce qu'elle ignore, c'est que Renée est régulièrement témoin de leurs ébats, et va finir par développer un amour obsessionnel et malsain pour cet oncle au point de se promettre de le voler à sa mère. Et bien sûr, elle va arriver à ses fins, à l'âge où les gamines devraient encore jouer avec leurs amies et pouffer en regardant les garçons de loin. Et pour mieux assurer son emprise sur sa nièce, le bon tonton va dans un premier temps l'adopter (ou plutôt l'acheter à ses parents en échange du paiement de leurs dettes), et prétendra l'épouser un peu plus tard en Egypte. C'est là qu'il va emmener toute la famille, y possédant des plantations de coton et de canne à sucre fort lucratives. Ce sera l'occasion pour le lecteur de découvrir le contexte colonial dans ce pays juste avant la première guerre mondiale. L'histoire de Renée se poursuit entre la France et l'Egypte, de son adolescence à ses trois mariages, d'une guerre à la suivante. En 1920 elle donnera naissance à Marie-Blanche, et quinze mois plus tard à son frère surnommé Toto. Elle les confiera à une nourrice, Louise, et finira par quitter le domicile conjugal pour retrouver Pierre Fleurieu, un ancien amoureux qui deviendra son second mari. On suit donc parallèlement l'histoire de sa fille Marie-Blanche à travers son journal. Une enfance plutôt heureuse entre Le Prieuré, résidence de son père en Bourgogne, et un château en Dordogne, (le château de Marzac, que j'ai visité il y a deux ans, je résidais juste à côté dans un gîte !) propriété de "l'oncle Pierre", second époux de Renée. Celle-ci a fini par renouer le contact avec ses enfants, mais ne cesse de dénigrer cette fille qui ressemble trop à son père, et qu'elle trouve laide et bête. Difficile de se construire avec cette image qu'on lui renvoie sans cesse ! Heureusement son père et son beau-père sont plus indulgents envers elle et la laissent relativement libre de vivre sa vie dans leurs propriétés respectives. Marie-Blanche poursuit ses études à Paris, en pension, puis à Londres quand sa mère divorce de Pierre et se remarie avec un riche américain propriétaire de La Héronnière, dans le Hampshire. Entretemps le fameux Gabriel est réapparu dans la vie de la famille... Toute sa jeunesse, Marie-Blanche a été ballottée d'un endroit à l'autre au gré de la vie aventureuse de sa mère. Elle finira par céder aux sirènes de l'alcool (on l'apprend dès les premières pages, puisqu'elle relit son journal depuis un luxueux centre de désintoxication en Suisse) et aura trois enfants avec son mari William Fergus. Jim étant le troisième, conçu pour "remplacer" Billy, l'aîné tragiquement décédé à 8 ans. Contrairement à ce que l'on pourrait penser, je n'ai pas dévoilé grand-chose de cette histoire foisonnante (environ 600 pages quand même), à peine quelques points de repère. Elle se déroule sur plus de six décennies, on voyage sur trois continents et on traverse deux guerres. Et on croise une multitude de personnages dont une grande partie font partie de la famille de l'auteur. Certes, c'est romancé, mais je pense que les grandes lignes sont authentiques, en tout cas elles m'ont semblé plausibles. J'espère quand même que le fameux oncle Gabriel n'était pas aussi pervers et incestueux en réalité, parce qu'il est vraiment dépeint comme un être foncièrement nuisible. Certaines scènes ont été vraiment pénibles pour moi, mais le contexte de l'époque était tel que ce genre de comportement était courant, mais passé sous silence pour préserver une réputation, ou des intérêts financiers comme ici. Le contexte historique est assez bien replacé, j'ai d'ailleurs appris pas mal de choses sur la colonisation de l'Egypte. Par contre je n'ai pas été emportée comme dans la saga "Mille femmes blanches", il m'a manqué ce souffle épique qui m'avait transportée sur quatre volumes. Ici, peu de place pour l'imagination, on passe d'un domaine à l'autre, d'un mari au suivant, d'une turpitude à une trahison, c'est un peu lassant à la longue. La version réécrite a peut-être corrigé certains défauts, si je la trouve d'ici quelques années, je retenterai pour comparer. En conclusion, une lecture intéressante quoiqu'un peu longue, mais que j'oublierai sans doute assez rapidement parce que je n'ai pas réussi à m'attacher à ces deux femmes, le courant n'est pas passé entre nous ! L'appétit ouvert par "May et Chance", j'ai poursuivi ma découverte de l'oeuvre de Jim Fergus par ce livre que l'on pourrait qualifier de biographie familiale romancée, à défaut de trouver un terme plus adéquat. Je précise que j'ai lu la première édition, celle de 2011, ma médiathèque ne possédant pas celle, remaniée, de 2021. Si j'ai bien compris, la présentation n'est pas la même : ici le journal de Marie-Blanche (mère de l'auteur) est intercalé entre la narration de la vie de Renée (mère de Marie-Blanche et donc grand-mère de Jim Fergus). Dans la nouvelle édition il y aurait deux parties successives, et certains ajouts. En prologue, l'auteur rend visite à sa grand-mère Renée en 1995, dans l'Illinois où celle-ci réside. Très âgée et atteinte de la maladie d'Alzheimer, elle ne réagit quasiment plus, ce qui n'empêche pas Jim de régler quelques comptes avec celle qui ne l'a jamais aimé, imaginant les réponses qu'elle lui aurait sans doute faites. Et on se rend compte en lisant la suite que ces réponses correspondent bien au caractère profondément égocentrique et perturbé de cette femme dont la vie n'a pas été un long fleuve tranquille... Dès sa naissance, Renée vit sous le signe du mensonge...
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  • Enidan4 29/12/2023
    39. Marie-Blanche - Jim fergus - Marie-Blanche est alcoolique et a rompu tous liens avec sa famille. L’histoire remonte le temps à travers un siècle et trois continents. Sa mère Renee, riche héritière, a vécu une vie hors du commun. Personnalité forte, froide et tyrannique, elle en est venue à détruire la vie de ses proches. - j’ai bien aimé cette saga sur plusieurs années. J’ai été choquée parfois de certaines scènes. L’histoire est bien racontée et on ne voit pas défiler les pages.
  • wiljosh 17/08/2022
    Magnifique roman, et surprenante découverte d'une facette méconnue de cet auteur ami de Jim Harrison, dont l'oeuvre regarde plutôt habituellement vers l'ouest américain. Ici, une atmosphère très française, avec une écriture superbe, fluide, dynamique, simple, évocatrice, servie par une magnifique traduction de Jean-Luc Piningre. La première partie de ce roman basé sur des personnages réels est consacrée à Renée, grand-mère de l'auteur. D'enfant parfois victime, elle devient au fil des pages une femme libre, cruelle voire perverse, froide et pourtant pleine de désir et tellement charismatique. le portrait de femme est d'une justesse et d'une force d'évocation époustouflantes. La relation incestueuse avec l'oncle, dans cet univers début de siècle imprégné de décadence fin 19ème, évoque parfois Choderlos de Laclos et Renée fait parfois légèrement songer, par sa philosophie de vie, à la Juliette de Sade. Puis c'est au tour de Marie-Blanche, qui donne son nom au livre, de faire l'objet d'un portrait déchirant de femme mélancolique. Jim Fergus tente ainsi, en dressant le portrait de la mère puis de la fille, de comprendre comment la mère ait pu faire preuve d'une telle cruauté envers sa fille, et comment la fille se soit ainsi orientée dans l'existence sur la voie d'une autodestruction systématique et implacable. Je conseille de commencer la lecture par la partie sur Renée, puis celle sur Marie-Blanche et de ne lire qu'ensuite les petits textes qui encadrent l'oeuvre (introduction, préface, et textes de fin). Ceux-ci sont autant de miniatures qui permettent de prolonger la lecture en compagnie de l'auteur, tout en visitant la vie et les souvenirs d'un écrivain, par delà la mélancolie d'une mère.Magnifique roman, et surprenante découverte d'une facette méconnue de cet auteur ami de Jim Harrison, dont l'oeuvre regarde plutôt habituellement vers l'ouest américain. Ici, une atmosphère très française, avec une écriture superbe, fluide, dynamique, simple, évocatrice, servie par une magnifique traduction de Jean-Luc Piningre. La première partie de ce roman basé sur des personnages réels est consacrée à Renée, grand-mère de l'auteur. D'enfant parfois victime, elle devient au fil des pages une femme libre, cruelle voire perverse, froide et pourtant pleine de désir et tellement charismatique. le portrait de femme est d'une justesse et d'une force d'évocation époustouflantes. La relation incestueuse avec l'oncle, dans cet univers début de siècle imprégné de décadence fin 19ème, évoque parfois Choderlos de Laclos et Renée fait parfois légèrement songer, par sa philosophie de vie, à la Juliette de Sade. Puis c'est au tour de Marie-Blanche, qui donne son nom au livre, de faire l'objet d'un portrait déchirant de femme mélancolique. Jim Fergus tente ainsi, en dressant le portrait de la mère puis de la fille, de comprendre comment la mère ait pu faire preuve d'une telle cruauté envers sa fille, et comment la fille se soit ainsi orientée dans l'existence sur la voie d'une autodestruction systématique...
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  • Marymay 11/06/2022
    Quel livre ! Mais quel livre ! Vous le prenez et ne vous en détachez pas. C’est du grand Jim Fergus ! Ce roman se termine en fait page 649 et ensuite, l’auteur, en bon journaliste, nous donne plein de détails. Mais parle-t ’on vraiment d’un roman ? Cela se rapproche davantage des mémoires personnels que d’une fiction comme nous le précise d’ailleurs l’auteur. Quand on lit la vie immorale qu’ont menée son arrière-grand-mère Henriette, sa grand-mère, Renée, et sa mère, Marie-Blanche, on se demande comment Jim Fergus a pu s’en sortir finalement pas trop mal : une sorte de résilience J’ai beaucoup apprécié les photos de famille qui nous permettent de mettre un visage sur les personnages. Quelques erreurs de dates dans le texte et en légende d’une photo : étonnant de la part de cet auteur qui semble par ailleurs si perfectionniste ! mais on lui pardonne : il est tellement talentueux !
  • Tostaky0 09/06/2022
    Dix ans après sa parution, Marie-Blanche fait son retour en librairie dans une nouvelle édition modifiée et enrichie. Ce roman biographique de plus de 700 pages (ne soyez pas effrayé, il se lit facilement, et en plus il y a des photos) nous parle de deux femmes. Qui sont-elles pour que l'auteur ait choisi de nous en raconter l'histoire ? Marie-Blanche, qui donne le titre à ce roman, est la mère de l'auteur, Jim Fergus. Renée,  qui aurait pu tout aussi bien avoir le rôle-titre, est sa grand-mère. Deux femmes, deux destins aux étranges similitudes qui les conduisent de France aux États-Unis. Les chiens ne font pas des chats, dit le proverbe, les deux protagonistes de ce livre en sont la parfaite illustration. Renée, enfant à la curiosité excessive va le payer cher. Elle voit des choses qu'une enfant de son âge ne devrait pas découvrir. Ça lui donne des envies qui lui feront commettre des erreurs. Des mauvais choix qui la poursuivront toute sa vie. Aimer la mauvaise personne va la mener dans un piège infernal qui tracera sa destinée. Et quand, à son tour, elle deviendra mère... Marie-Blanche aura un destin tout aussi bouleversant. Séparée de son père et son frère dès l'enfance, elle subira les décisions d'une mère castratrice, froide et tyrannique,  jusqu'à ce qu'à son tour et secrètement, elle quitte le foyer dans lequel elle se sent prisonnière. Comme Renée,  Marie-Blanche multipliera les rencontres, comme elle, les mariages, les séparations, comme elle, elle aura des enfants, comme elle, elle ne saura pas donner d'amour. Et puis un jour, un drame. Est-ce cet événement qui conduira Marie-Blanche vers une fin tragique ? Ou est-ce une prise de conscience, d'une vie ratée, d'occasions manquées ? Jim Fergus remonte le temps. Grâce à des témoignages, des photos et divers documents qu'on lui a transmis tardivement, il cherche à comprendre qui étaient ces deux femmes, deux énigmes dans sa vie d'homme. Il trace leur portrait avec les éléments qu'il a récupérés au fil des ans. Sans empathie, sans complaisance mais sans les condamner non plus. Deux vies hors du commun. L'une, fille d'aristocrate (du moins c'est comme cela qu'on l'a présenté pendant longtemps à l'auteur), qui ne rêve que de gloire, de reconnaissance et de richesse et qui ne sait pas aimer. L'autre, à qui tout pourrait sourire, mais qui fait les mauvais choix, les mauvaises rencontres, et qui va se perdre dans les excès. L'une qui mourra très vieille, l'autre beaucoup trop jeune. Deux femmes qui n'ont pas su aimer, qui n'ont pas su s'aimer. Mêlant avec talent, le romanesque et la biographie, Jim Fergus nous livre là, un roman personnel et émouvant. Dix ans après sa parution, Marie-Blanche fait son retour en librairie dans une nouvelle édition modifiée et enrichie. Ce roman biographique de plus de 700 pages (ne soyez pas effrayé, il se lit facilement, et en plus il y a des photos) nous parle de deux femmes. Qui sont-elles pour que l'auteur ait choisi de nous en raconter l'histoire ? Marie-Blanche, qui donne le titre à ce roman, est la mère de l'auteur, Jim Fergus. Renée,  qui aurait pu tout aussi bien avoir le rôle-titre, est sa grand-mère. Deux femmes, deux destins aux étranges similitudes qui les conduisent de France aux États-Unis. Les chiens ne font pas des chats, dit le proverbe, les deux protagonistes de ce livre en sont la parfaite illustration. Renée, enfant à la curiosité excessive va le payer cher. Elle voit des choses qu'une enfant de son âge ne devrait pas découvrir. Ça lui donne des envies qui lui feront commettre des erreurs. Des mauvais choix qui la poursuivront toute sa vie. Aimer la mauvaise personne va la mener dans un piège infernal qui tracera sa destinée. Et quand, à son tour, elle deviendra mère... Marie-Blanche aura un destin tout aussi bouleversant. Séparée de son père et son frère dès l'enfance, elle subira les décisions d'une mère...
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    Jim Fergus : « Le livre propose des souvenirs raffinés par la maturité et la sagesse »

    Dans une fresque qui s’étend sur un siècle et trois continents, Jim Fergus se raconte au fil d’une histoire personnelle percutante. Dix ans après la publication de Marie Blanche, le romancier en offre une version enrichie par le temps, plus incarnée encore que l’original. Une nouvelle vie pour cet ouvrage d’une jolie pudeur et d’un universalisme touchant.

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    « Marie Blanche - Au fil de la vie » : quand Jim Fergus revisite son histoire

    Dix ans après la première publication de Marie Blanche, le grand journaliste et romancier Jim Fergus nous en propose une nouvelle version, revue, enrichie et illustrée. Une œuvre d’une remarquable pudeur qui fait se rencontrer l’universel et le personnel au cours d’un envoûtant ballet. Marie-Blanche - Au fil de la vie, comme une renaissance.

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