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Wilder Girls - édition française
Frédérique Le Boucher (traduit par)
Collection : Collection R
Date de parution : 13/02/2020
Éditeurs :
Robert Laffont

Wilder Girls - édition française

Frédérique Le Boucher (traduit par)
Collection : Collection R
Date de parution : 13/02/2020
Une île sauvage, trois amies inséparables, une descente aux enfers.

Voilà bientôt dix-huit mois qu’un mal inconnu, la Tox, a frappé l’île Raxter. Dix-huit mois que le pensionnat pour jeunes filles qui en occupe la pointe a été mis sous...

Voilà bientôt dix-huit mois qu’un mal inconnu, la Tox, a frappé l’île Raxter. Dix-huit mois que le pensionnat pour jeunes filles qui en occupe la pointe a été mis sous quarantaine.
D’abord, la Tox a tué les enseignantes, une à une, puis elle a infecté les élèves, dont les survivantes portent...

Voilà bientôt dix-huit mois qu’un mal inconnu, la Tox, a frappé l’île Raxter. Dix-huit mois que le pensionnat pour jeunes filles qui en occupe la pointe a été mis sous quarantaine.
D’abord, la Tox a tué les enseignantes, une à une, puis elle a infecté les élèves, dont les survivantes portent désormais ses monstrueux stigmates dans leur chair.
Coupées du reste du monde, cernées par les bêtes mutantes qui rôdent dans les bois alentour et livrées à elles-mêmes, celles qui restent n’osent plus sortir de l’enceinte de l’école. Jour après jour, elles attendent le vaccin que le gouvernement leur a promis.
Hetty et ses deux meilleures amies, Byatt et Reese, se serrent les coudes malgré les privations, bien déterminées à lutter ensemble jusqu’au bout…
Plus glaçant encore que Sa Majesté des mouches, un huis clos féminin et féministe qui a fait frissonner l’Amérique de plaisir !

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EAN : 9782221246788
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 450
Format : 1 x 215 mm
EAN : 9782221246788
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 450
Format : 1 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • NikkiJ 25/02/2024
    La Tox. Un mal inconnu qui frappe l’île de Raxter où est situé un pensionnat pour jeunes filles. Après 18 mois, deux adultes et une poignée d’adolescentes vivent encore reclus dans le bâtiment qui tombe en ruines. Chacune d’elle a été touché d’une manière différente par la Tox et continue de subir des crises régulièrement, se transformant peu à peu en mutante. Chaque jour, elles prient pour que le vaccin arrive. Quand Hetty est choisi pour faire partie de l’équipe de ravitaillement, elle découvre que certaines choses sont passés sous silence. Et la disparition de Byatt ne va pas arranger les choses. L’idée principale est bonne. Un groupe de jeunes filles isolées, à la merci d’un mal inconnu, se transformant en mutante et se battant pour survivre. Des secrets, de l’action, des descriptions pointues, un univers glaçant. Tout y était, à l’exception, en premier lieu, des personnages. Le roman a deux points de vues qui alterne entre Hetty et Byatt. La première a le droit à davantage de chapitres, ce qui permet de la considérer comme le personnage principal. Pas de chance, je n’ai pas réussi à l’apprécier. Ses questionnements concernant sa relation avec Byatt et sa relation avec Reese m’ont fatiguée. J’ai eu l’impression d’avoir une sorte de triangle amoureux n’ont abouti. Je n’ai pas réussi à comprendre le personnage de Reese, son comportement envers Hetty. Peut-être qu’il aurait fallu des chapitres du point de vue de ce personnage pour l’exploiter à fond ? Byatt a un caractère intéressant. Grâce à son point de vue, on comprend quelques éléments de son passé et sa vision du monde. Mais encore une fois, ce n’est pas assez abouti. L’autre problème : la fin. Aussi bien en terme de pages que de dénouement final. J’ai trouvé qu’il y avait un énorme déséquilibre. Le début est long, parfois un peu trop. Il faut beaucoup de pages avant que l’action commence réellement. La fin, elle, me semble bâclée en comparaison. Trop rapide. Et que dire du contenu. Plus de 300 pages pour que l’histoire se termine de cette manière. J’ai l’impression qu’il n’y a pas de fin. Il reste plein de questions en suspend notamment autour de la Tox. En résumé, ce livre aurait pu être bon en tant que premier tome d’une saga. En tant que one-shot, je trouve qu’il reste trop de réponses et qu’il y a un manque d’approfondissement dans les personnages. La Tox. Un mal inconnu qui frappe l’île de Raxter où est situé un pensionnat pour jeunes filles. Après 18 mois, deux adultes et une poignée d’adolescentes vivent encore reclus dans le bâtiment qui tombe en ruines. Chacune d’elle a été touché d’une manière différente par la Tox et continue de subir des crises régulièrement, se transformant peu à peu en mutante. Chaque jour, elles prient pour que le vaccin arrive. Quand Hetty est choisi pour faire partie de l’équipe de ravitaillement, elle découvre que certaines choses sont passés sous silence. Et la disparition de Byatt ne va pas arranger les choses. L’idée principale est bonne. Un groupe de jeunes filles isolées, à la merci d’un mal inconnu, se transformant en mutante et se battant pour survivre. Des secrets, de l’action, des descriptions pointues, un univers glaçant. Tout y était, à l’exception, en premier lieu, des personnages. Le roman a deux points de vues qui alterne entre Hetty et Byatt. La première a le droit à davantage de chapitres, ce qui permet de la considérer comme le personnage principal. Pas de chance, je n’ai pas réussi à l’apprécier. Ses questionnements concernant sa relation avec Byatt et sa relation avec Reese...
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  • HealingWords 10/11/2023
    J’avais TELLEMENT envie de découvrir ce roman ! Paru il y a deux ans chez Collection R, j’étais ravie de le voir rejoindre ma PAL. Comme tout le monde en parlait, j’ai laissé passer un peu de temps, et je l’ai enfin sorti dans le cadre du Pumpkin Autumn Challenge 2022. Malheureusement, tout ne s’est pas passé comme prévu… Emballée par la couverture et le résumé promesse de frissons, je me suis lancée dans ce roman qui m’avait tant hypée. Mais je me suis vite rendue à l’évidence : la plume (ou la traduction) était trop détachée, pas assez fluide, les tournures de phrases ne m’emportaient pas. J’avais un souci de rythme. Je lisais des mots, sans forcément vivre d’histoire. Même si certains moments étaient plus immersifs et entraînants, les mots et/ou leur agencement ne me portaient pas et ne me parlaient pas particulièrement. Je salue toutefois l’ambiance oppressante, malaisante, organique et poisseuse. Cette sensation d’isolement, de solitude et d’acceptation qui se dégage de ce pensionnat pour jeunes filles sous quarantaine. L’univers m’a plu, mais je n’ai pas été embarquée. Le fait que l’auteur garde une part de mystère tout au long de son récit donne envie de lire, mais la forme ne m’y a pas encouragée. Honnêtement, j’aurais même abandonné si ce n’était pas CE livre, et pour le PAC. J’ai mis 12 jours pour lire ses 440 pages. Je suis déçue, et déçue d’être déçue. J’avais TELLEMENT envie de découvrir ce roman ! Paru il y a deux ans chez Collection R, j’étais ravie de le voir rejoindre ma PAL. Comme tout le monde en parlait, j’ai laissé passer un peu de temps, et je l’ai enfin sorti dans le cadre du Pumpkin Autumn Challenge 2022. Malheureusement, tout ne s’est pas passé comme prévu… Emballée par la couverture et le résumé promesse de frissons, je me suis lancée dans ce roman qui m’avait tant hypée. Mais je me suis vite rendue à l’évidence : la plume (ou la traduction) était trop détachée, pas assez fluide, les tournures de phrases ne m’emportaient pas. J’avais un souci de rythme. Je lisais des mots, sans forcément vivre d’histoire. Même si certains moments étaient plus immersifs et entraînants, les mots et/ou leur agencement ne me portaient pas et ne me parlaient pas particulièrement. Je salue toutefois l’ambiance oppressante, malaisante, organique et poisseuse. Cette sensation d’isolement, de solitude et d’acceptation qui se dégage de ce pensionnat pour jeunes filles sous quarantaine. L’univers m’a plu, mais je n’ai pas été embarquée. Le fait que l’auteur garde une part de mystère tout au long de son récit donne envie de lire, mais la...
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  • CamilleParpaleix 28/07/2023
    Sa Majesté des mouches version pensionnat de jeunes filles. C'est la première fois depuis longtemps que je lis de l'horreur - pas trop effrayant, mais un peu gore. J'ai bien aimé les histoires d'amitié, l'intrigue qui se dévoile joliment tout du long du récit, et le cadre bien revisité de l'internat perdu sur une île.
  • LaRoseDesLivres 13/06/2023
    Il y a 4 ans de cela cette dystopie sortait dans nos libraires au même moment qu'un sacré virus qui a terrorisé le monde entier. Dans l'air du temps cette histoire est devenue encore plus effrayante que ce qu'on aurait pu imaginer amateur de sensation forte ce livre est pour vous. Pour ma part j'ai aimé que l'histoire commence bien après l’arrivée de la Tox à Raxter. Les personnages sont depuis longtemps passées en mode survie et elles ne sont pas la pour rire. Les liens entre les personnages est assez dense, on en apprend sur leur passé douloureux nous permettant de nous plonger au coeur des tourmentes des trois amies. La relation entre Hetty, Byatt et Rees est tout simplement un des points forts de ce roman. L'exercice du huis clos est parfaitement maîtrisé chez Rory Power qui nous offre des frayeurs dans n'importe quel pièce du pensionnat. D'ailleurs, on ne saura plus dire ce qui est le plus dangereux entre le pensionnat et la forêt. La Tox, cette maladie qui touche tout et n'épargne ni la flore, ni la faune et encore moins l'humain, est tout simplement si bien décrite et expliqué que l'on se demande si cette dernière peut exister un jour (heureusement pour nous que medicalement ce n'est pas possible 🥲) SPOILER #8252;️ La grosse déception de ma lecture c'est la fin ouverte... En premier lieu je pensais sincèrement qu'il y aurait un tome 2 et je me suis vite rendu compte que, non, c'est bien la fin du roman. Cela ne fait pas abouti même si on résout d'où vient la Tox. On laisse nos héroïnes dans une situation difficile qui ne fait pour moi aucun sens. J'ai été laissé sur ma fin alors que j'avais bien apprécié ma lecture. FIN DU SPOILER #8252;️ C'est une lecture sans prise de tête que j'avais bien apprécié. Ce n'est pas le livre de l'année mais ce n'est pas non plus un navet. C'est un juste milieu que je trouve parfois bien d'avoir dans sa PAL et qui est agréable à lire. Note : ⭐️⭐️⭐️/5 Attention toutefois, ce roman young adult est pour un public avertis qui aime le genre thriller où veut le commencer. TW ce roman contient : - Des violences physiques - Morts de personnages et d’animaux, suicide - Une scène comprenant l’usage de gaz - Des scènes sur des traitements médicaux sans le consentement des personnages Il y a 4 ans de cela cette dystopie sortait dans nos libraires au même moment qu'un sacré virus qui a terrorisé le monde entier. Dans l'air du temps cette histoire est devenue encore plus effrayante que ce qu'on aurait pu imaginer amateur de sensation forte ce livre est pour vous. Pour ma part j'ai aimé que l'histoire commence bien après l’arrivée de la Tox à Raxter. Les personnages sont depuis longtemps passées en mode survie et elles ne sont pas la pour rire. Les liens entre les personnages est assez dense, on en apprend sur leur passé douloureux nous permettant de nous plonger au coeur des tourmentes des trois amies. La relation entre Hetty, Byatt et Rees est tout simplement un des points forts de ce roman. L'exercice du huis clos est parfaitement maîtrisé chez Rory Power qui nous offre des frayeurs dans n'importe quel pièce du pensionnat. D'ailleurs, on ne saura plus dire ce qui est le plus dangereux entre le pensionnat et la forêt. La Tox, cette maladie qui touche tout et n'épargne ni la flore, ni la faune et encore moins l'humain, est tout simplement si bien décrite et expliqué que l'on se demande si cette dernière...
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  • Khalya 30/04/2023
    Pas de prologue, d'introduction ou d'entrée progressive dans cet univers. Non. Dès les premières lignes, on est plongé directement au cœur du cauchemar de la Tox. La Tox ... on ne sait pas vraiment ce que c'est, sinon qu'elle s'attaque aux humains, aux animaux, aux plantes ... à tout. Et que ses effets sont aussi brutaux qu'imprévisibles. Alors qu'on voit les étudiantes de Raxter essayer de survivre aussi bien à la maladie qu'à la folie, on s'interroge : que se passe-t-il à l'extérieur ? Que savent les militaires ? Qu'a-t-on dit à leurs parents ? Hetty, Reese et Byatt sont soudées, solidaires ... ce qui ne les empêche pas d'essayer de se crever les yeux pour un morceau de pain ! J'ai eu du mal avec les agissements de l'enseignante. Peu importe ses intentions, elle a traité les étudiantes comme des enfants, là où un grand nombre d'entre elles ont entre 16 et 19 ans. Une concertation entre toutes pour décider de la marche à suivre aurait été préférable à cette dictature sous couvert de bienveillance qui a directement conduit aux événements finaux. Quant à la directrice ... il n'y a pas de mots pour décrire ce que je pense d'elle. La fin, comme tout le monde a prévenu, est ouverte. Mais honnêtement, je préfère ça. Car au vu de la situation, il n'y avait qu'une seule fin fermée qui aurait été crédible et cette fin ouverte à au moins le mérite de laisser une lueur d'espoir.Pas de prologue, d'introduction ou d'entrée progressive dans cet univers. Non. Dès les premières lignes, on est plongé directement au cœur du cauchemar de la Tox. La Tox ... on ne sait pas vraiment ce que c'est, sinon qu'elle s'attaque aux humains, aux animaux, aux plantes ... à tout. Et que ses effets sont aussi brutaux qu'imprévisibles. Alors qu'on voit les étudiantes de Raxter essayer de survivre aussi bien à la maladie qu'à la folie, on s'interroge : que se passe-t-il à l'extérieur ? Que savent les militaires ? Qu'a-t-on dit à leurs parents ? Hetty, Reese et Byatt sont soudées, solidaires ... ce qui ne les empêche pas d'essayer de se crever les yeux pour un morceau de pain ! J'ai eu du mal avec les agissements de l'enseignante. Peu importe ses intentions, elle a traité les étudiantes comme des enfants, là où un grand nombre d'entre elles ont entre 16 et 19 ans. Une concertation entre toutes pour décider de la marche à suivre aurait été préférable à cette dictature sous couvert de bienveillance qui a directement conduit aux événements finaux. Quant à la directrice ... il n'y a pas de mots pour décrire ce que je pense d'elle. La fin, comme tout le monde a prévenu,...
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