Ce qu'il faut de haine : Le livre de Jacques Saussey, Ingrid Donnadieu

J’ai adoré ce roman policier. Les intrigues et le récit sont prenants. Ce que j’ai apprécié le plus, c’est d’être surprise tout au long de l’ouvrage. À chaque événement, l’inattendu nous tombe dessus. De plus, les chapitres sont courts, ce qui donne un rythme palpitant à l’histoire. Tout commence par le jogging d’une jeune fille et la découverte d’un corps en décomposition… Celui d’une femme. L’enquête va nous apprendre qu’il s’agit d’une ancienne DRH de différentes entreprises. Elle était recrutée pour licencier, disons même pour « nettoyer » les indésirables. Lors de son passage dans certaines sociétés, des suicides ont eu lieu. La police judiciaire remonte alors son passé… un passé tumultueux. Une femme que peu de gens regrettent. J’ai adoré ce roman jusqu’à la fin… une fin surprenante. C’est ce que j’aime le plus : être surprise jusqu’à la dernière page ! Bonne lecture !

J’ai passé un très bon moment de lecture avec Ce qu’il faut de haine de Jacques Saussey. L’intrigue démarre fort, avec une scène d’ouverture particulièrement macabre : un corps écartelé, grouillant de vers, découvert au bord d’une rivière. Ce tableau choc donne immédiatement le ton – oui, c’est parfois gore, . L’histoire se déroule dans un petit village du Morvan, où les apparences sont trompeuses et les secrets bien enfouis. Jacques Saussey sait créer une atmosphère pesante, presque oppressante, tout en maintenant un suspense bien dosé. Les rebondissements sont là, les personnages bien campés, et les pages se tournent presque toutes seules. La psychologie des habitants, la méfiance ambiante et la part d’ombre de la victime rendent l’enquête captivante. J’ai aimé que le récit reste fluide, sans longueur inutile, avec un bon équilibre entre tension et développement des personnages. L’héroïne, Alice, attachante, apporte une touche de vulnérabilité qui contraste avec l’horreur de ce qu’elle découvre. En résumé, un thriller bien construit, sombre et prenant, qui plaira à ceux qui aiment frissonner sans tomber dans l’excès ou la surenchère.

Je viens de terminer Ce qu’il faut de haine de Jacques Saussey, et je dois dire que ce roman m’a profondément marquée. Le début, particulièrement dur et éprouvant, met immédiatement le lecteur face à une réalité crue qui bouscule. Puis l’intrigue se déploie avec une grande maîtrise, portée par une tension constante et de nombreux rebondissements. L’écriture est soignée, précise et prenante, rendant la lecture difficile à interrompre tant on est absorbé par l’histoire. Les personnages, bien construits et nuancés, donnent encore plus de profondeur à ce thriller intense. Un excellent roman que je recommande vivement aux amateurs du genre.

« La vengeance est un plat qui se mange froid… mais toujours nappé d’asticots. » Avec Ce qu’il faut de haine, Jacques Saussey signe un polar au scalpel, noir comme une nuit sans sommeil. Une intrigue savamment orchestrée, où chaque pièce du puzzle s’emboîte avec une précision chirurgicale. Les personnages, écorchés vifs, révèlent au fil des pages une noirceur insoupçonnée. Leur psychologie fouillée fascine autant qu’elle dérange. Rien n’est laissé au hasard, jusqu’au dénouement final. Frissons garantis et un excellent moment de lecture !