Collector Hunger Games - Tome 4 La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur : Le livre de Suzanne Collins
Collector Hunger Games - Tome 4 La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur - Trailer
Dévoré d'ambition
Poussé par la compétition
Il va découvrir que la soif de pouvoir a un prix
C'est le matin de la Moisson qui doit ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games. Au Capitole, Coriolanus Snow, dix-huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L'avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux maigres chances de Coriolanus. Il devra faire preuve de charme, d'astuce et d'inventivité pour faire gagner sa candidate.
Mais le sort s'acharne. Honte suprême, on lui a confié le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins sont désormais liés. Chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l'échec, au triomphe ou à la ruine.
Dans l'arène, ce sera un combat à mort.
De (auteur) : Suzanne Collins
Traduit par : Guillaume Fournier
Expérience de lecture
Avis Babelio
ElodieButterfly
• Il y a 4 semaines
Une nouvelle Moisson a lieu pour ouvrir la dixième édition annuelle des Hunger Games! Au Capitole, Coriolanus Snow, dix huit ans, se prépare à devenir pour la première fois mentor aux Jeux. L’avenir de la maison Snow, qui a connu des jours meilleurs, est désormais suspendu aux mains de Coriolanus. Il va devoir user de ses charmes, d’astuce et d’inventivité pour faire gagner sa candidate. Malheureusement pour lui, il se voit confier le plus misérable des tributs : une fille du district Douze. Leurs destins maintenant liés, chaque décision peut les conduire à la réussite ou à l’échec, au triomphe ou à la ruine. Dans l’arène, c’est un combat à mort. Je suis partie à la rencontre de Coriolanus Snow (je n’arrive pas toujours pas à me faire à son prénom). Il a 18 ans, c’est donc bien avant qu’il ne devienne le président que l’on connaît. J’ai aimé apprendre à le connaître et le voir se transformer, évoluer, changer, utiliser les cartes qu’il avait en main, pour avancer, pour survivre… Découvrir ce personnage sous tous ces angles fut vraiment très intéressant! En faite j’ai ADORÉ ce tome! Tellement prenant que c’était dur de le lâcher. Plus j’avançais et plus je me demandais comment cela pouvait se terminer! 600 pages pour retourner dans l’arène et me tenir en haleine, vivre les jeux du début, voir comment ils sont devenus ceux que nous avons connu grâce à la trilogie. Je ne sais pas pourquoi j’ai attendu autant de temps pour le lire, alors qu’il est dans ma PAL depuis sa sortie (soit depuis 2020). Mais je suis heureuse d’avoir enfin replongé dans cet univers! Cette Saga est vraiment ma BEST ! Je l’aime d’Amour
Audrey1804
• Il y a 4 semaines
En apprendre davantage sur le futur président Snow ? Je dis oui ! Si on se base sur les avis de lecteurs, ce tome 4 est celui qui a le moins convaincu. Est-ce à cause du personnage principal, le grand méchant de la trilogie de base ? Est-ce à cause de la personnalité du tribut auquel il est associé, Lucy ? Est-ce à cause de l’effet répétitif du scenario originel : des tributs, une arène, un seul survivant ? Je peux comprendre ce manque d’enthousiasme... même si je ne le partage pas. Pour ma part, j’ai beaucoup aimé ce préquel. Je trouve qu’il apporte des éléments pertinents, que ce soit à propos de l’évolution des Jeux et de l’enfance de Snow. D’ailleurs, sur ce point, même si l’ensemble manque un peu de profondeur, j’ai apprécié de découvrir l’envers du décor. Snow n’est clairement pas un héros conventionnel : l’auteure ne cherche pas à le rendre sympathique, et ça, ça fait du bien ! Il n’y a pas de leçon de morale : Snow fait ses choix et trace sa propre voie. Au fil des pages, son visage devient de plus en plus déshumanisé, et c’est justement ce que j’ai trouvé captivant. À l’inverse, Lucy m’a semblé plus effacée et lisse - peut-être parce qu’on ne voit jamais les choses de son point de vue. On aurait aimé en apprendre plus sur elle. À mon sens, c'est là que le récit pêche un peu : les liens entre Snow et Lucy manquent d’intensité. Il n’y a pas cette étincelle qui ferait basculer le lecteur dans l’émotion. Cela dit, la lecture reste fluide, agréable, et les personnages secondaires sont vraiment bien construits. Comme souvent avec Suzanne Collins, la fin est douce-amère : on voudrait davantage d’explications et de détails mais c’est aussi ce qui fait sa force. À nous d’imaginer la suite. Bref, cet épisode des Hunger Games est, pour moi, une réussite. En revanche, j’avoue m’être ennuyée en regardant son adaptation cinématographique : fidèle, oui… mais un peu trop lisse. Là où le roman a une âme, le film l’a égarée en cours de route (ce n'est que mon avis bien sûr).
LizzieC12
• Il y a 1 mois
« Are you, are you coming to the tree ? They strung up a man they said who murdered three. Strange things did happen heren no stranger would it be. If we met at midnight in the hanging tree » Quel plaisir de retrouver cet univers dystopique (et cette chanson) pour un nouvel épisode de la saga Hunger Games. Cette fois, j’ai regardé l’adaptation avant de lire le roman et je l’avais beaucoup aimé malgré mes craintes. C’est donc confiante que je me suis lancée dans la lecture du livre et que je l’ai adoré. Dans ce préquel, Suzanne Collins nous raconte la jeunesse du Président Snow, alors qu’il n’était encore que le simple Coriolanus Snow, élève de l’Académie du Capitole. Alors qu’il est choisi comme mentor de la tribut féminine du District 12 pendant les 10e Hunger Games, on va enfin comprendre comment il est devenu le tyran sadique et implacable, que l’on connaît dans la trilogie originale. On apprendra aussi pourquoi il hait autant le District 12 et ses habitants. Quelle joie de retrouver la plume de Suzanne Collins ! Son style direct, ses descriptions détaillées mais sans excès, sa capacité à nous plonger dans les pensées de son personnage principal et à passer de scènes d’action haletantes à des moments dramatiques m’avaient beaucoup manqué. Il n’est pas indispensable d’avoir lu les aventures de Katniss avant de lire cet épisode. Comme c’est un préquel, on y croise très peu de personnages connus et l’histoire de Panem, ainsi que la création et le fonctionnement des Hunger Games, nous sont de nouveau expliqué. Divisé en trois parties (avant, pendant et après les jeux), le récit ne souffre d’aucune longueur ou temps mort, ce qui est vraiment agréable. A chaque fois que l’on pense que tout est calme, un événement vient tout chambouler pour rebattre les cartes et relancer l’intérêt de l’intrigue. Comme dans les tomes précédents, chaque page était une montagne russe émotionnelle. Je me suis angoissée pour les personnages et je ressors retournée de cette lecture. J’ai aimé découvrir le Panem d’il y a 65 ans, entre les débuts tâtonnants des Hunger Games, les cicatrices laissées par la guerre et les privations sur les habitants du Capitole, la dure vie dans les Districts et les innovations que nous connaîtrons parfaitement du temps de Katniss (l’utilisation des drônes par exemple). L’autrice se permet pas mal de clins d’œil à la saga originale et c’est un plaisir de les trouver. Ce n’est pas du simple fan-service car ça explique pas mal de choses sur certains aspects contenus dans les autres livres. Côté personnage, commençons par parler de Snow. C’était passionnant de suivre son évolution tout au long du roman. Et à l’inverse du film, où on a l’impression qu’il bascule subitement du côté obscur, on suit ici très bien son cheminement sur la voie de la cruauté. Dès le début, des détails m’ont mis mal à l’aise et alertée sur son véritable caractère. Sous ses boucles blondes et sa réserve de façade, se cache un dangereux psychopathe. Sa rage et sa folie montent crescendo jusqu’à l’explosion finale, qui nous révèle toute l’horrible vérité sur ce personnage. J’ai adoré le détester sur plus de 600 pages. Face à lui, se dresse Lucy Gray Bird, tribut fille du District 12 et dont Coriolanus est le mentor. Mystérieuse et séduisante, Lucy Gray est un personnage charismatique qui va rester dans les mémoires des habitants du Capitole et faire tourner la tête de Coriolanus. Je me suis beaucoup attachée à ce personnage qui est l’exact opposé de Katniss. Alors que cette dernière attire peu la sympathie, est combative et sérieuse, Lucy Gray est une jeune fille libre, joyeuse et qui ne craint pas d’exprimer ses sentiments. Sous son apparence de gitane faible et fragile, se cache une concurrente coriace et rusée. Elle est devenue un de mes personnages favoris de cet univers. La relation toxique, pleine de jalousie et de secrets de Coriolanus et Lucy Gray est passionnée, mais on sent que ça ne pourra que mal finir. Il y a plein d’autres personnages sur lesquels il y aurait des choses à dire, mais je vais en choisir deux : Sejanus et la Docteur Gaul. J’ai eu beaucoup de compassion et d’amitié pour Sejanus, personnage incompris, épris de liberté et qui a du mal à trouver sa place. C’est sans doute envers ce personnage que Coriolanus a le comportement le plus révoltant et je ne pouvais que l’apprécier encore plus. A l’inverse, le personnage du Docteur Gaul est le plus détestable et effrayant de l’univers Hunger Games. Sans âme et sans cœur, cruelle et imprévisible, cette Haute-Juge est absolument terrifiante. Chacune de ses apparitions est angoissante, car on se demande toujours ce qu’elle va inventer et elle représente vraiment le côté le plus sombre de l’humanité. Pour conclure, j’ai adoré me replonger dans cet univers fascinant, angoissant et addictif. Par certains côtés, il ressemble au nôtre et ça fait peur. C’est un récit haletant qui fait découvrir les origines du Président Snow, tout en nous racontant la vie après la guerre et au début des Hunger Games.
Jabberwoky
• Il y a 1 mois
Pour faire un vrai bon livre Young Adult, un des principaux challenges, c'est de réussir à allier une certaine simplicité, de la romance et des personnages qui font rêver, sans prendre son lectorat pour des cons. Et cela n'a l'air de rien, mais ce n'est vraiment pas donné à tout le monde. Il n'y a qu'à voir le nombre de bouquins YA dont les scénarios, l'univers et les personnages ont la profondeur d'une flaque, y compris parmi les bouquins qui nous sont vendus comme des pépites. L'engouement du public a en général plus à voir avec une certaine démagogie qui fait vibrer la corde sensible des relations érotico-toxiques dans nos cerveaux de primates qu'avec des histoires vraiment travaillées. Suzanne Collins, elle, a trouvé la recette de la potion magique et elle la maitrise à la perfection. On retrouve ici les qualités qui ont fait de la trilogie originale un succès retentissant, à commencer par un vrai scénario aux rebondissements toujours inattendus, porté des personnages imprévisibles et réalistes. L'histoire se passe 64 ans avant les aventures de Katniss Everdeen et Panem sort à peine de la guerre ayant opposé les Districts et le Capitol. Nous suivons Coriolanus Snow dans ces jeunes années, et sa rencontre avec la fascinante Lucy Gray Baird. Comment ce jeune homme fier, mais paumé et mal nourris, se transformera-t-il en dictateur tueur d'enfants ? Cette incursion dans la tête du futur Président est menée avec brio, en évitant les écueils du manichéisme facile. Coryo est humain, terriblement humain, et sa monstruosité nous est expliquée avec une certaine compassion. Le terrible engrenage du fascisme qui attise la violence et l'égoïsme inné de l'être humain pour mieux lui permettre de déshumaniser autrui – et donc faciliter le meurtre et l'asservissement de quiconque ne lui ressemble pas, est exposé sans voyeurisme mais avec une honnêteté quasi brutale. Et au vu de la situation internationale actuelle, je trouve le parti pris courageux (et nécessaire). La romance entre les deux protagonistes est l'occasion pour Suzanne Collins de parler de l'importance de rester fidèle à ses convictions, de la différence entre amour véritable et possessivité, et du fait que non, l'amour ne conquiert pas tout, n'en déplaise à Disney. Le tout servi par une prose simple, maitrisée et agréable, avec des descriptions qui plantent le décor sans chichis. Une vraie réussite, a mettre entre toutes les mains.
Avis des membres
Fiche technique du livre
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- Genres
- Ado & Young Adults , Romans adolescents 13+
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- EAN
- 9782266346047
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- Collection ou Série
- Hunger Games
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- Format
- Grand format
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- Nombre de pages
- 608
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- Dimensions
- 235 x 150 mm
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25,00 € Grand format 608 pages