Hunger Games T3 Collector : Le livre de Suzanne Collins

Je pleure #x1f62d raaah tellement triste d’avoir fini cette saga (même si il me reste encore les prequelles #x1f972). C’était vraiment génial j’ai beaucoup aimé ce tome que jai lu très vite a mon grand regret. J’ai très hâte de voir l’adaptation cinématographique ! J’ai tout de même préférée les 2 tomes précédents notamment le 1 car [masquer] ce tome 3 est bien plus violent (malgré la violence et la dureté des tomes et 2) et l’histoire de Peeta m’a rendu triste. [/masquer]

Katniss Everdeen a survécu aux Hunger Games, mais à quel prix ? Le Capitole a détruit son foyer, sa famille est en danger, et Panem tout entier s’embrase. Emblème malgré elle de la rébellion, Katniss devient le Geai Moqueur, symbole de l’espoir mais aussi cible à abattre. Dans un monde ravagé par la guerre, entre manipulations politiques et luttes sanglantes, la jeune fille doit choisir : jusqu’où est-elle prête à aller pour mettre fin à la tyrannie du président Snow ? Relire La Révolte, c’est plonger dans la conclusion sombre et implacable de la trilogie. Suzanne Collins y livre un récit beaucoup plus politique et psychologique que dans les tomes précédents. On y retrouve toute la noirceur de la guerre : propagande, pertes humaines, dilemmes moraux, manipulations… Katniss n’est plus seulement une héroïne, mais une survivante qui doute, qui vacille, qui se brise parfois. C’est une lecture éprouvante, mais nécessaire, qui rappelle que les vraies révolutions se gagnent rarement sans sacrifices. Même en connaissant la fin, la tension reste intacte et les émotions fortes. #9989; À lire si… tu veux découvrir la conclusion sombre et politique d’une saga culte, tu apprécies les dystopies qui ne se contentent pas d’un happy end, tu cherches une réflexion sur la guerre, la manipulation et le poids des symboles, tu veux ressentir des émotions fortes et ambivalentes. #10060; À éviter si… tu recherches une conclusion lumineuse et optimiste, tu n’aimes pas les récits où la guerre occupe toute la place, tu préfères les héroïnes toujours sûres d’elles, sans doutes ni fragilités. La Révolte est une fin dure, parfois dérangeante, mais incroyablement marquante. Suzanne Collins ose montrer que la guerre ne fait pas de vainqueurs, seulement des survivants. Une conclusion puissante qui reste gravée longtemps après la dernière page.