Hunger Games - Lever de soleil sur la moisson : Le livre de Suzanne Collins

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Hunger Games - Lever de soleil sur la moisson - Trailer

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" Ils n'utiliseront pas mes larmes pour leur divertissement. "
–; Haymitch Abernathy

À l'aube des cinquantièmes Hunger Games, la peur s'empare des districts de Panem. Cette année, en l'honneur des Jeux de l'Expiation, le nombre de tributs arrachés à leur famille pour participer à ces jeux cruels sera doublé !

Dans le district 12, Haymitch Abernathy tente de ne pas trop penser au terrible tirage au sort. Il est concentré sur sa survie et sur la survie de celle qu'il aime.
Alors, quand le destin le désigne comme tribut, son monde s'écroule.

Forcé de tout quitter, il est emmené au Capitole avec trois autres membres de son district : une amie qu'il considère comme une sœur, un parieur compulsif et la fille la plus prétentieuse de la ville.

Alors que les Jeux sont sur le point de commencer, Haymitch comprend que les épreuves sont truquées et qu'il n'a aucune chance. Pourtant, quelque chose en lui le pousse à se battre... pour que ce combat dépasse les frontières de l'arène mortelle.

De (auteur) : Suzanne Collins
Traduit par : Guillaume Fournier

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Expérience de lecture

Avis des libraires

"Cinq ans après l'énorme succès de La Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur, la saga mythique est de retour avec une préquelle palpitante qui retrace le parcours du charismatique Haymitch."|Baptiste Maisonnave et Sandrine Bajos
Le Parisien
"Adepte de la saga de la première heure, l'autrice de ces lignes s'est précipitée sur ce nouvel ouvrage et n'a pas réussi à le lâcher. 465 pages avalées en une soirée et un petit-déjeuner. Et pour cause, Haymitch est un personnage mystérieux, et ce nouveau livre nous explique comment il est devenu celui que l'on connait."|Elodie Petit
Elle.fr
"Les pages de ce nouveau chapitre des Hunger Games s'enchaînent à un rythme soutenu, émotionnel, croissant, au point de ressentir toute la rage et l'impuissance des faibles, mais aissi un sentiment de rédemption et de grande dignité."
GQ
"Les fans ne seront pas déçus !"|Mélissa Alcoléa
MIDI LIBRE
"Dans Lever de soleil sur la Moisson, on rencontre le Haymitch de seize ans, amoureux, débrouillard et heureux de vivre malgré les injustices de Panem."
LE HUFFPOST

Avis Babelio

LaFilleEnRouge

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 semaines

Je dois l’avouer, je n’avais pas lu le premier préquel sur Snow, seulement vu son adaptation au cinéma. Mais dès qu’ils ont annoncé ce nouveau projet autour d’Haymitch et de ses Jeux, je n’ai pas hésité une seconde. Et quelle lecture… Ce roman n’est pas un simple retour à Panem : c’est bouleversant, sombre, cruel, et on redonne toute sa profondeur à un personnage que l’on croyait connaître. Haymitch Abernathy, que l’on retrouve des années plus tard mentor nonchalant et souvent alcoolisé de Katniss, apparaît ici dans toute sa complexité. À seize ans, il est intelligent, rusé, rebelle dans l’âme. Humain avant tout. C’est un jeune homme qui aime, qui doute, qui protège, qui défie le système sans perdre son identité. On découvre son humour, sa sensibilité, son instinct de survie mais aussi ses failles. Et c’est bouleversant de voir comment ce garçon lumineux sera peu à peu brisé par la violence des Jeux et par la cruauté du Capitole. Sa relation avec Lenore apporte d’ailleurs une tendresse poignante, une lumière fragile au milieu du chaos. On sait dès le départ que cela ne durera pas, mais on s’y accroche, parce que cela rend son parcours encore plus humain et déchirant. Ce que Suzanne Collins réussit brillamment, c’est de montrer que les Hunger Games ne sont pas qu’une arène sanglante. Ils sont une machine politique, une propagande implacable, un système destiné à écraser toute idée de rébellion. La manipulation des spectateurs pour des sponsors, les trahisons, les alliances éphémères, la mise en spectacle de la souffrance… tout est décrit avec une précision qui fait froid dans le dos. Et à travers ce récit, on sent combien Panem fait écho à notre monde actuel : le pouvoir par l’image, la soumission par la peur, la nécessité d’un spectacle pour détourner les foules. La diversité de personnages secondaires enrichit encore le récit : Maysilee, courageuse alliée ; Louella, dont l’innocence détruite marque profondément ; Ampert, figure de soutien ; Mags, déjà si attachante et forte ; Wiress et Beetee, les cerveaux décalés et brillants ; Effie, dévouée mais la main sur le cœur ; sans oublier Snow, qui s’impose peu à peu dans sa cruauté glaciale. Lenore m'a vraiment touchée. Décalée, lumineuse, entière, elle a un regard différent sur le monde, sur Haymitch et le lien qui existe entre eux est si pur qu'il m'a touchée. Le souci c'est qu'on sait, dès la moisson, que ca ne durera pas. Que c'est voué à être éteint, comme cette flamme que tout consume mais qu'on souffle dessus pour l'étouffer. Il est très attaché à elle et fait partie intégrante de ce qu'il est. Un contraste saisissant sur la situation actuelle. Et puis il y a Plutarch Heavensbee. Entrevu auparavant, il révèle ici une ambivalence fascinante qui m'a captivée. Stratège de l’ombre, fin connaisseur du système, il surprend et intrigue par son rôle dans la construction de la rébellion. L'auteure sème des graines que l’on retrouve dans la trilogie principale, donnant une cohérence saisissante à l’ensemble de la saga et qu'on s'amuse à chercher. Mais chacun laisse une trace et renforce l’intensité dramatique de cette 50e édition, sans doute l’une des plus violentes et marquantes de la saga. J’ai beau avoir lu la trilogie et vu ses adaptations, cette arène m’a percutée différemment. On ne cherche pas seulement à tuer ici : on cherche à humilier, à détruire, à soumettre. Les épreuves sont conçues pour broyer corps et esprits, pour prouver que rien ni personne n’échappe à leur contrôle et on le voit à leurs choix de pièges par exemple. Et pourtant, malgré toute cette noirceur, reste une étincelle. Infime, fragile, mais tenace. Celle de l’espoir. La fin, cruelle et brutale, ne laisse aucun répit. Pas de consolation, pas de miracle. Juste la vérité nue, injuste et nécessaire. Et bizarrement, c’est ce qui rend ce roman inoubliable. Parce qu’il montre que la rébellion ne commence pas avec Katniss : elle prend source bien avant, dans le sang, les sacrifices et entre autres, les cicatrices d’Haymitch et de ses compagnons d’infortune. C'est révoltant, c'est horrible, c'est déchirant. Mais il faut que la violence et l'horreur augmente pour que la révolte enfle encore. Il est bien beau de se rebeller mais rien n'est gratuit dans la vie... voici vos tributs. Lever de soleil sur la moisson est bien plus qu’un préquel. C’est un cri. Une histoire qui nous oblige à regarder l’horreur en face, à accepter que la résistance a un prix, et que dire non peut coûter la vie. Mais c’est aussi un hommage à ceux qu’on oublie, à ces jeunes sacrifiés dont les luttes minuscules et les résistances invisibles ont permis à d’autres de se lever. En refermant ce roman, j’avais le cœur en miettes, mais persuadée qu’il fallait qu’il existe. Pour comprendre Haymitch. Pour donner du poids à la saga. Pour faire écho à notre propre monde. Un récit puissant, bouleversant et nécessaire.

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Desmotsetdespages

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 semaines

« Lever de soleil sur la moisson » est un crève-cœur. Dans ce roman, Suzanne Collins s’est surpassée dans l’art de montrer la cruauté humaine. On découvre l’histoire de Haymitch, envoyé dans l’arène lors de la cinquantième édition des Hunger Games. Ces Jeux de l’Expiation poussent les choses encore plus loin : cette année-là, 48 enfants sont arrachés à leur famille afin de s’entretuer dans l’arène. Avec une plume simple, efficace et poétique, Suzanne Collins nous plonge dans la tête d’Haymitch, personnage emblématique de la trilogie principale. Voir le contraste entre le garçon de seize ans et l’adulte se révèle douloureux. Même si l’on connaît certains détails de son destin tragique grâce aux tomes précédents, l’impact n’est en rien annihilé. On assiste à la descente aux enfers d’un personnage qui, alors qu’il tente de survivre et de se battre contre un régime dictatorial, finit par tout perdre, y compris lui-même. En dehors de l’histoire tragique d’Haymitch, de nombreuses dénonciations sont faites. L’autrice insiste particulièrement sur la propagande de l’État, avec les slogans répétés et désignés comme les uniques bonnes pensées. Cette propagande va de pair avec la manipulation des médias : elle est montrée dans toute son horreur. Ce qui est frappant, aussi, c’est la déshumanisation subie par les tributs : bêtes de foire et de scènes, ces enfants ne sont plus qu’objets de divertissement, oubliés en tant qu’êtres humains. À travers ce prequel, la rébellion gronde. Elle commence à se mettre en place (même si l’on en voit les prémices dans « La ballade du serpent et de l’oiseau chanteur ») : Haymitch est un élément clef. Il est l’étincelle qui ravivera les braises. Il est aussi la figure tragique qui rappelle à quel point les régimes totalitaires se montrent inhumains. Je n’ai jamais autant haï Snow que durant ce tome. (Petit reminder : ce n’est pas parce que l’acteur a un joli faciès dans le film qu’il faut aimer le personnage. Le trouver intéressant et bien construit, oui. Mais l’aimer, l’idéaliser ? Rappelez-vous qui est le véritable ennemi.) Cette rébellion n’est pas seulement montrée à travers Haymitch. L’art se révèle un outil de combat contre l’oppression. Les chants, les poèmes s’affirment comme des cris à l’encontre d’un régime totalitaire gangrené par la manipulation et la cruauté. En plus de ses messages forts véhiculés, « Lever de soleil sur la moisson » nous offre une riche galerie de personnages. Tous sont touchants et tragiques à leur manière. À travers eux se dessine un genre de found family. Ce fut déchirant d’assister à leur fin. Le roman est graphiquement très violent. Je dirais même qu’il s’agit du plus dur de la saga. De nombreuses références aux autres tomes (prequel comme trilogie principale) sont disséminées dans le livre. Tout est connecté, s’emboite pour former un tout menant à la révolte que nous connaissons. Il est difficile d’en dire plus sans spoiler l’intrigue, il est difficile d’en parler tout court tant ce roman est percutant. Sachez seulement qu’il fait écho à notre propre monde, à sa cruauté. Lisez-le ! Notez toutefois une part de fan service, qui, pour moi, n’enlevait rien au sens du récit, mais pourrait en déranger certains.

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lucieroyer0501

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 semaines

« Il n’y a personne dans les parages, parce que tout le monde est mort. » « Lever de soleil sur la moisson » est un crève-cœur. Dans ce roman, Suzanne Collins s’est surpassée dans l’art de montrer la cruauté humaine. On découvre l’histoire de Haymitch, envoyé dans l’arène lors de la cinquantième édition des Hunger Games. Ces Jeux de l’Expiation poussent les choses encore plus loin : cette année-là, 48 enfants sont arrachés à leur famille afin de s’entretuer dans l’arène. Avec une plume simple, efficace et poétique, Suzanne Collins nous plonge dans la tête d’Haymitch, personnage emblématique de la trilogie principale. Voir le contraste entre le garçon de seize ans et l’adulte se révèle douloureux. Même si l’on connaît certains détails de son destin tragique grâce aux tomes précédents, l’impact n’est en rien annihilé. On assiste à la descente aux enfers d’un personnage qui, alors qu’il tente de survivre et de se battre contre un régime dictatorial, finit par tout perdre, y compris lui-même. En dehors de l’histoire tragique d’Haymitch, de nombreuses dénonciations sont faites. L’autrice insiste particulièrement sur la propagande de l’État, avec les slogans répétés et désignés comme les uniques bonnes pensées. Cette propagande va de pair avec la manipulation des médias : elle est montrée dans toute son horreur. Ce qui est frappant, aussi, c’est la déshumanisation subie par les tributs : bêtes de foire et de scènes, ces enfants ne sont plus qu’objets de divertissement, oubliés en tant qu’êtres humains. À travers ce prequel, la rébellion gronde. Elle commence à se mettre en place (même si l’on en voit les prémices dans « La ballade du serpent et de l’oiseau chanteur ») : Haymitch est un élément clef. Il est l’étincelle qui ravivera les braises. Il est aussi la figure tragique qui rappelle à quel point les régimes totalitaires se montrent inhumains. Je n’ai jamais autant haï Snow que durant ce tome. (Petit reminder : ce n’est pas parce que l’acteur a un joli faciès dans le film qu’il faut aimer le personnage. Le trouver intéressant et bien construit, oui. Mais l’aimer, l’idéaliser ? Rappelez-vous qui est le véritable ennemi.) Cette rébellion n’est pas seulement montrée à travers Haymitch. L’art se révèle un outil de combat contre l’oppression. Les chants, les poèmes s’affirment comme des cris à l’encontre d’un régime totalitaire gangrené par la manipulation et la cruauté. En plus de ses messages forts véhiculés, « Lever de soleil sur la moisson » nous offre une riche galerie de personnages. Tous sont touchants et tragiques à leur manière. À travers eux se dessine un genre de found family. Ce fut déchirant d’assister à leur fin. Le roman est graphiquement très violent. Je dirais même qu’il s’agit du plus dur de la saga. De nombreuses références aux autres tomes (prequel comme trilogie principale) sont disséminées dans le livre. Tout est connecté, s’emboite pour former un tout menant à la révolte que nous connaissons. Il est difficile d’en dire plus sans spoiler l’intrigue, il est difficile d’en parler tout court tant ce roman est percutant. Sachez seulement qu’il fait écho à notre propre monde, à sa cruauté. Lisez-le ! Notez toutefois une part de fan service, qui, pour moi, n’enlevait rien au sens du récit, mais pourrait en déranger certains.

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_emi_lit

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 semaines

Hunger Games est une de mes sagas préférées, et c'est la série dystopique que je préfère ! J'étais euphorique quand la sortie d'un autre prequel a été annoncée, et j'étais impatiente de l'avoir. Quand je l'ai enfin tenu entre mes mains, je l'ai dévoré ! Il est tout de suite devenu mon tome préféré de la saga. Ce tome m'a détruite émotionnellement, encore plus que les autres. À chaque chapitre, mon cœur se retrouvait un peu plus brisé. On s'accroche énormément aux personnages et on ressent toutes leurs émotions avec une force énorme ! J'ai pleuré à chaque chapitre, mais surtout j'ai été impressionnée de trouver tant de liens entre ce prequel et la trilogie principale. Ce livre nous fait réfléchir à tout ce qui se passe dans la trilogie principale, et on se rend compte que tout avait un sens caché. Suzanne Collins aborde d'importants sujets de société : la propagande, L'IA, et la fragilité de nos civilisations. C'était une lecture incroyable mais terriblement triste ! Note : coup de cœur Emilie

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Ado & Young Adults , Romans adolescents 13+
  • EAN
    9782266350747
  • Collection ou Série
  • Format
    Grand format
  • Nombre de pages
    480
  • Dimensions
    226 x 143 mm

L'auteur

Suzanne Collins

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19,90 € Grand format 480 pages