L'Archipel des Malotrus : Le livre de San-Antonio

Tome 66 sur 175 des aventures de San Antonio - 4e trimestre 1967 San Antonio et Béru s’envolent pour l’archipel des Malotrus. Comment ? Où ça se trouve ? Vous êtes vraiment nuls en géo, je vois ! On va dire que ça se situe quelque-part dans l’océan pacifique. Oui, c’est ça, allez donc vérifier sur une mappemonde… Ils atterrissent à l’aérodrome d’Obsénité-Atouva, la capitale, sur la piste Pasikonksa. Ce n’est pas très loin de l’île de Merdabéru. Le but est de convaincre la reine de cet archipel d’accorder à la France l’autorisation d’effectuer des essais atomiques sur l’île de Tanfédonpa. L’Angleterre est aussi sur les rangs, alors, il va falloir la jouer fine (On peut compter sur Bérurier pour cela !) La reine se nomme Kelbobaba, Béru aura un petit faible pour elle (et ce sera réciproque). Le ministre des affaires étrangères est M. Tabobo Hobibi. Sur place, nos deux comparses admireront la flore, ils y trouveront de très jolis polygonus graducus veinés. Ils passeront devant la maison natale du grand savant Houlaksécho (qui inventa l’eau chaude). Là-bas, les malotrusiens vénèrent le dieu Taldargeopabo, la déesse Dizenof (seuls les amateurs d’anciennes Citroën comprendront) le dieu Félakète, la déesse Oukonsemé, le dieu Refémele, la déesse Cequélébate, le dieu Tanhalonkomsa. Parmi d’autres personnages croisés nous avons le général Latumefey-Shier, un chef eunuque chargé du service des esclaves blanches nommé Latume-Lakoupe, un leader révolutionnaire : Anar chizan, un dénommé Alcide Citrique et un pauv’ type qui se fait poignarder : M. Kakaocho. Avouez que ça fait du monde ! C'est un peu lourd, non ? Tout ça pour finalement une intrigue moyenne et donc, un roman du même acabit. Un moment agréable malgré tout… Si ça vous amuse, lisez-le ! :o) Bonne lecture ! ;o)