Les Poupées : Le livre de Alexis Laipsker

Une plongée déroutante et brillante dans les méandres de l'esprit humain Avec Les Poupées, Alexis Laipsker livre un thriller aussi dérangeant que captivant, où la frontière entre le vrai et le faux, le visible et l'invisible, est constamment brouillée. Dès les premières pages, une tension sourde s’installe, soutenue par une écriture fluide et un sens du rythme parfaitement maîtrisé. L’auteur introduit un duo aussi inattendu qu’efficace : un commissaire au tempérament bien trempé et une psychologue aussi vive qu'impertinente. Leur dynamique apporte des touches d’humour bienvenues, qui contrastent avec la noirceur des crimes et offrent un vrai souffle au récit. Au fil de l’enquête, les zones d’ombre s’épaississent. L’intrigue joue brillamment avec les nerfs du lecteur : rien n’est simple, tout est trouble. On croit deviner, on soupçonne, on échafaude des théories... pour finalement être surpris, parfois même dérouté, jusqu’aux toutes dernières pages. C’est un roman qui marque. Par son atmosphère, par la construction de ses personnages, et par une révélation finale aussi puissante que déroutante. Alexis Laipsker confirme ici qu’il sait parfaitement manipuler son lecteur et l’emmener là où il ne s’attendait pas à aller. À ne pas manquer si vous aimez les thrillers psychologiques profonds, intelligents, et audacieusement construits. Tellement bien que je l'ai lu en à peine 48 heures.

Les Poupées d’Alexis Laipsker est un thriller glaçant et bien ficelé, porté par une tension constante et des personnages troublants. L’intrigue est captivante, même si certains rebondissements auraient gagné à être plus développés. Un bon page-turner qui confirme le talent de l'auteur.

Je me suis régalée ! Des chapitres courts et efficaces qui nous plongent au cœur d’une intrigue redoutable et bien menée. Les chapitres se fragmentent selon que l’on suit les pensées du tueur, l’installation et le quotidien d’une voyante dans un petit village et l’enquête menée par un flic bourru et une psychologue rusée. C’est assez dense, la réflexion du lecteur commence déjà ; quel est le lien entre tous ? Très peu de répit, on progresse à l’aveugle dans une histoire sordide, alerte au moindre indice. Mais l’auteur nous trompe et ce jusqu’à la fin qui m’a bluffée ; je n’ai rien vu venir. Du suspens, de l’action, du rebondissement, de la réflexion, autant d’ingrédients qui font de ce roman un très bon roman ! Adoré !

À la suite de la découverte d'une scène de crime qui dépasse tout ce que l'on peut imaginer, le commissaire Venturi, alias le « cowboy », se voit confié l'enquête qu'il va mener tambour battant. Accompagné d'une psychologue que l'on surnomme « menthe à l'eau », qui va tenter de rentrer dans la tête du tueur pour comprendre ses motivations et ses penchants psychiques, ils vont unir leurs forces pour parvenir à arrêter l'auteur de ces crimes ignobles avant que cela ne recommence. Un roman intense ; le déroulement de l'enquête est passionnant, on ne peut s'empêcher de tourner les pages pour arriver au dénouement final. En sortant de ce roman, on a une seule envie : lire le tome 2 et continuer les aventures de ce commissaire pas très académique, mais aux méthodes efficaces. Une totale réussite de la part d'Alexis Laipsker.