À couper le souffle : Le livre de Alexis Laipsker

Gros coup de cœur pour ce livre. Le rythme est excellent, l’intrigue bien ficelée, les rebondissements s’enchaînent sans temps mort. J’ai été happée dès les premières pages. L’ambiance est presque cinématographique, et les personnages sont bien construits ! Hâte de découvrir les autres romans de cet auteur

Disons le, je suis une fan d'Alexis et sa capacité à nous rendre accroc.. ces chapitres qui s'arrêtent sur un doute, une suggestion qui rend impossible d'arrêter la lecture. Ou oui on s'arrête.... mais comme moi vous vous relèverez la nuit pour finir car vous vous voulez savoir, car il faut savoir... Bref, encore un thriller implacable, diabolique et surtout très addictif... Merci !!!

Nouvelle enquête pour Venturi et Menthe à l'eau. Des personnes sont enfermées dans des lieux insolites, il ne leur reste que 17 heures à vivre. Un jeu morbide se joue avec la police, un jeu qui consiste à trouver des personnes dont la survie ne sera que de 17 heures. Encore faudrait il que la police comprenne les codes... Jusqu'à ce qu'une des victimes soit la fille de Venturi. L'enquête devient brûlante, elle devient de la "survie", elle électro-choque les personnages. Venturi va-t-il seulement y arriver? J'ai comme d'habitude adoré. J'adore les petits clins d'oeil, j'adore la dynamique de l'enquête. Bref je me suis éclatée !!!! Quai du Polar 2025 - Dédicaces

Un tueur exécute ses victimes en les enterrant vivants sous terre leur laissant une capacité de survie de dix-sept heures. La dernière victime n’est autre que l’une des filles du Cow-Boy, le commissaire Venturi. Le compte à rebours a débuté. J’ai retrouvé avec plaisir le duo Venturi et Montalvert. Mais j’ai aussi apprécié le personnage du commandant Sarkissian qui dénote dans le paysage par ses tenues vestimentaires. L’écriture est toujours incisive et les pages se tournent rapidement grâce à des chapitres courts. Le lecteur est tenu en haleine, comme les personnages car lutter contre le temps est impossible, même si j’ai découvert l’identité du fossoyeur dès son apparition dans sa première scène. Quant à la découverte du lieu de l’ensevelissement de la fille du commissaire, j’ai très vite compris quel subterfuge les policiers ont utilisé. J’ai, malgré tout, passé un très bon moment de lecture.