Mamma Maria : Le livre de Serena Giuliano

Rendez-vous sur la côte amalfitaine où on suit Sofia, une traductrice qui quitte Paris pour retourner aux sources et elle se rend notamment chez Mamma Maria, un café local où Maria accueille ses clients à bras ouverts. Nous y retrouvons de nombreux habitués venus ici partager un moment chaleureux avec la Mamma, comme elle est surnommée. Cependant… ça n’a pas pris. La recette avait pourtant tout pour me plaire. J’ai préféré la légèreté de Ciao Bella. Mamma Maria est un peu trop caricaturé et il y a trop de longueurs à mon goût. A lire idéalement en vacances, avec un spritz à la main. C’est un roman très court, qui se lit en deux temps trois mouvements !

J’aime énormément la plume de Serena Giuliano. C’est le deuxième roman que je lis d’elle, et ce ne sera clairement pas le dernier. Dans Mamma Maria, on plonge au cœur d’un petit village de la côte amalfitaine. C’est un roman à deux voix : celle de Sofia, qui revient dans sa contrée natale, et celle de Maria, la “mamma” du village. La magie opère surtout dans le café de cette dernière, véritable lieu de vie et de chaleur humaine. Impossible d’en dire trop sans vous gâcher la découverte… mais sachez que derrière le soleil, la nourriture italienne et la joie de vivre se cache aussi un thème de fond très important. C’est un livre pétillant et touchant, peuplé de personnages attachants, qui fait voyager et réfléchir à la fois.

#128214; Résumé Sous le coup d’une déception amoureuse, Sofia décide de quitter Paris pour revenir dans son petit village natal, perché sur la côte amalfitaine. Là, elle retrouve la douceur des choses simples : un espresso en terrasse, le soleil italien, une chanson d’Adriano Celentano. Le cœur battant du village, c’est le caffè Mamma Maria. Ce lieu est bien plus qu’un café : c’est un refuge, un rendez-vous pour tous, jeunes et anciens, où chacun vient trouver chaleur, réconfort et parfois un peu d’espoir. Maria, la patronne, est la « mamma » de tous, une figure bienveillante et solaire qui accueille les âmes cabossées. Mais un matin, une petite fissure apparaît dans cette dolce vita : le vieux Franco ne vient pas à sa partie de scopa quotidienne. Et avec cette absence se dessinent d’autres réalités, plus profondes, derrière les rires et la convivialité. #128172; Mon avis #10024; Ce roman est un vrai soleil en pages, mais pas seulement. Derrière l’humour et la tendresse, Serena Giuliano aborde des thèmes forts : l’accueil, la solidarité, les liens qui unissent une communauté, mais aussi les blessures intimes et les cicatrices de la vie. J’ai adoré l’ambiance italienne, vibrante et colorée, qui donne l’impression d’entendre les rires et les discussions à voix haute sur la place du village. Les personnages sont hauts en couleur, profondément humains, et deviennent vite une famille qu’on aimerait rejoindre. Ce qui m’a touchée surtout, c’est cette façon de montrer que même dans les endroits les plus simples, il peut y avoir des trésors d’amour, d’écoute et d’humanité. On sourit, on s’émeut, parfois on a la gorge serrée, mais toujours avec chaleur et justesse. #128218; Mamma Maria m’a offert une parenthèse lumineuse et profondément humaine. Un roman qui réconforte, qui fait réfléchir et qui rappelle combien un lieu ou une personne peuvent changer une vie.

Sofia est de retour dans son village natal pour se reconstruire après une rupture. Très vite, elle va être impliquée dans une histoire d’amitié, de tolérance et d’humanité, bien loin des préjugés de bon nombre de ses voisins. La plume de l'auteure est belle, fluide et drôle. Les personnages sont attachants et hauts en couleur. J’ai adoré le personnage de Maria, une femme de caractère très touchante. Les paysages de la côte amalfitaine sont tellement bien décrits que j’en ai senti les odeurs et perçu les couleurs. J’ai très envie de découvrir cette région d’Italie. J’ai adoré ce roman d’une humanité et d'une douceur dont notre monde a tant besoin. C’est un coup de cœur !