Obsolète : Le livre de Sophie Loubière

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Convoquant tout autant le roman d'anticipation que la littérature de suspense, Sophie Loubière nous offre une plongée fascinante et terrifiante dans un monde rétrofuturiste visionnaire. Une œuvre totale par une grande voix du roman noir français.

2224. Depuis le Grand Effondrement de la civilisation fossile, l'humanité s'est adaptée. Économiser les ressources, se protéger du soleil, modifier son habitat, ses besoins, en finir avec toute forme de violence, vivre en harmonie et adhérer au tout-recyclage.
Y compris celui des femmes. Afin d'enrayer le déclin de la population, les femmes de cinquante ans doivent quitter leur famille et laisser la place à une autre en âge de procréer, pour entamer un autre cycle de vie au Domaine des Hautes plaines.
L'heure a sonné pour Rachel. Solide et sereine, elle est prête. Mais qu'en est-il de son mari et de ses enfants ? Et que faire de ses doutes grandissants ? Car personne ne revient jamais des Hautes-Plaines. Et Rachel sent bien que ce n'est pas le lieu de rêve promis par la Gouvernance aux futures Retirées...

" Inventif et superbement mené. " ELLE

" Une dystopie féministe aussi diabolique que dérangeante. "
Le Parisien

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De (auteur) : Sophie Loubière

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Expérience de lecture

Avis des libraires


" Férocement palpitant. " Alice Develey, Le Figaro littéraire
Le Figaro littéraire
" Le récit est dense, sans cesse en mouvement, et nous immerge totalement dans ce futur si palpable. Un roman noir imaginatif, malin et engagé, sans être militant pour autant. " Yoann Labroux Satabin, Télérama, TTT

" Le retour intriguant d'une voix singulière du genre. " Télérama

Télérama
" Le suspense va crescendo, la psychologie complexe des personnages s'installe et l'incertitude règne, insoutenable jusqu'au dénouement. " Fabien Vernois, La Croix

La Croix
" Ce roman, très étrange, assez déroutant, devient addictif au fil de la lecture. La réflexion qu'il déploie autour de la femme mature est très fine. Elle peut aussi choquer. Pour autant, l'histoire, parfaitement menée, entrecoupée d'éléments de polar, maintient l'attention jusqu'à la dernière page et laisse son empreinte bien longtemps après... " Notre Temps
Notre temps

" Un roman noir et provocant dont on ne se défait pas. " L'Est républicain
L'Est républicain

" Emmenée par une novlangue orwellienne, en lisière du cauchemar imaginé par Margaret Atwood dans La Servante écarlate, Sophie Loubière nous propose une surprenante excursion vers la sortie des ténèbres. " Lionel Germain, Sud-Ouest
Sud Ouest

" Un roman dense qui remue les consciences sur la répétition de nos erreurs et la persistance de nos illusions. " Thierry Boillot, L'Alsace

L'Alsace
" Ce grand roman d'anticipation donne du poids au mot "féminisme' et met en exergue l'importance et le pouvoir intemporel des femmes. Brillant ! " Alexandre C., Librairie Port-Maria

librairie Port-Maria
" Sophie Loubière ne fait jamais les choses à moitié, et sa dystopie est un miracle, le genre de texte visionnaire, d'une beauté et d'une profondeur qu'on ne rencontre que peu. De quoi marquer le gros lecteur que je suis, de manière indélébile. " Yvan Gruz - ÉmOtionS
EmOtionS
" Inventif et superbement mené. " Clémentine Goldszal, ELLE

Elle
" Mon coup de cœur absolu. Fantastique ! " Olivia de Lamberterie, " Télématin " sur France TV
Télématin

" La plume happe. L'histoire envoûte. Obsolète est un formidable roman d'anticipation qui pose de profondes questions sur l'Homme et la Nature, notre soif de sang, de mythes et d'idées. C'est férocement palpitant. " Alice Develey, Le Figaro littéraire

Le Figaro littéraire
" Vertigineux. " Alexandra Scwhartzbrod, Libération

" Bien sûr, on s'est jetée sur ce livre. Et l'on n'a pas été déçue. L'histoire est tellement géniale, et les personnages attachants, qu'on aurait bien fait, sur la fin, le tour de Paris en métro afin de pouvoir terminer le livre avant d'arriver à destination. " Alexandra Scwhartzbrod, Libération
Libération

" Une dystopie féministe aussi diabolique que dérangeante. " Sandrine Bajos, Le Parisien

" Une intrigue fascinante finement tricotée. " Hubert Artus, Le Parisien
Le Parisien

" Un grand thriller d'anticipation " Point de vue
Point de vue

Avis Babelio

Aloysius3993

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 1 semaine

Je vous propose aujourd’hui la chronique du roman « Obsolète » de Sophie Loubière. C’est un livre conçu pour nous manipuler ! Si j’ai eu quelques petites difficultés à entrer dans l’histoire, elles se sont vite évaporées pour laisser place à une lecture complètement addictive. C’est dans le rayon du genre policier-thriller que j’ai trouvé ce roman. Et si on peut discuter de sa place dans ce rayon du fait de l’aspect dystopique, il est indéniable que son rythme le classe rapidement dans les livres impossibles à lâcher. Dans un cadre plutôt tranquille, les évènements finissent par s’enchaîner rapidement, créant autant de questions qu’il y a de réponses au fil des pages. Et si je pense qu’on aurait pu placer ce livre à mi-chemin entre le rayon policier et imaginaire c’est grâce à l’ingéniosité de la dystopie qui est amenée ici. On nous décrit une communauté qui vise à survivre après l’effondrement des populations dû à des raisons climatique. Et si le début paraît un peu simple, on se rend vite compte que l’autrice a creusé la question et propose une vision complexe et immersive. Beaucoup de détails techniques futuristes permettent de nous immerger complètement. La place de la femme est, comme la couverture et le titre l’indiquent, au cœur des thématiques abordées dans cette histoire. On questionne sa place en tant que mère, femme, sœur … sans pour autant que la multiplication de point d’interrogation soit néfaste à l’histoire. La thématique de l’écologie est très présente du fait du contexte de la dystopie. Beaucoup d’informations scientifiques, d’applications futuristes sont abordées dans le livre sans que celui-ci devienne compliqué à lire. Il est plein de bon sens vis-à-vis des pistes sur lesquelles réfléchir pour préserver la planète. C’est aussi un livre de questionnement. L’autrice nous propose une œuvre sans vraiment chercher à nous imposer une idée, un mode de fonctionnement. Elle imagine un futur et nous laisse juger de ce qui est éthique ou non, de ce qui est bien ou mal, de qui se comporte correctement ou non … Et plus on progresse dans la lecture plus on se demande s’il y a un choix parfait. Le lecteur est complétement manipulé ! L’autrice a construit un roman où elle sème le doute, des amorces de réponses viennent contredire ce qu’on perçoit des scènes. Elle nous tient en haleine jusqu’aux dernières lignes tellement c’est bien construit. Et malgré cette organisation ambitieuse, le lecteur a encore la place de réfléchir à ces questions sociétales. Je suis allée vers ce livre grâce à son visuel qui m’a fait penser au film « Don’t worry darling ». Si la thématique féministe est partagée par ces deux œuvres, c’est sûrement l’un de leurs seuls points en commun … à ceci près qu’ils sont tous deux excellents !

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collectifpolar

5.00 sur 5 étoiles

• Il y a 1 semaine

Aujourd’hui je vous parle d’un roman percutant qui m’a à la foi stimulée et chamboulée. Un roman qui va longtemps me marquer J’ai lu ce roman un peu tardivement après sa parution, j’ai attendu d’avoir l’esprit tranquille et d’être au calme, en vacances, et j’ai donc lu obsolète au mois de juillet 2024. Et…comment dire ?… J’ai adoré, j’ai été conquise tout de suite, par le propos, par l’idée de départ, par l’écriture d’une justesse folle ! Oui mais voilà, alors que cette lecture est sur la première marche de mon top ten de l’année, je n’arrive toujours à parler de cette superbe histoire tellement il y a à dire. C’est tellement riche d’idées, de réflexions et d’émotions… Et puis je n’arrive toujours pas à la chroniquer de peur d’en dire trop et de la divulgacher ou pire ne pas en dire assez et de ne pas donner envie de le lire ! Il y a tellement à dire, à dire de ce roman si intelligent et surtout sans esbrouffe. D’abord l’écriture de Sophie Loubière sans pareil, sobre car chaque mot est à sa place, chaque terme est choisi avec gout , chaque phrase résonne avec justesse. Pas besoin de sensationnel ici pour faire du sensas ! Et puis il y a le thèmes, pardon les thèmes abordés par ce roman qui a su mélanger les genres avec ingéniosité. Elle dépeint un avenir où la question de l’obsolescence programmée des femmes est au centre de la société reconstitué longtemps après un cataclysme planétaire. Car pour lutter contre l’infertilité, les femmes de 50 ans sont envoyées aux Hautes-Plaines et remplacées au sein de leur foyer par un modèle plus jeune. Il faut repeuplé le monde, l’avenir de l’espèce humaine est en danger. Il faut donc revoir et reconstruire une, des, la société. Tout a été rayé de la carte, et hier n’existe plus. Alors peu à peu émerge un nouveau modèle de société, un monde plus vertueux et respectueux de l’environnement. Les grandes villes n’hésitent plus, ici on préfère un monde recomposé en petites communautés avec un système économique bien plus local, et surtout plus responsable et éco et autosuffisant avec si possible un bilan carbone proche du zéro. C’est de survie dont on parle là, le réchauffement climatique c’est pas juste un concept, c’est une réalité, : Les hivers sont pluvieux, engendrant des inondations et surtout ils sont froids, mais d’un froid polaire qui ne laisse aucune chance si on s’y perd et les été ne sont pas beaucoup mieux puisqu’ils sont secs, brulants et caniculaires. Dans cette nouvelle société il faut se débarrasser de l’inutile. Fini et depuis longtemps le société de consommation, de sur consommation qui a amené à notre perte. Aujourd’hui il faut s’inspirer des savoir de nos ancêtres, il faut reconnecté avec l’agriculture vertueuse, il faut inventer une nouvelle façon d’utiliser parcimonieusement les ressources, il faut utiliser les énergie renouvelables, faire de la soft technologie et recycle se qui peut l’être. Il faut penser communauté, bien commun, il faut mettre tout en commun, nos savoir, nos ressources, nos connaissances. Il faut s’autogérer. Et pourtant ce qui peut être un peu contradictoire c’est que c’est une IA qui régit nos modes de pensées de tout à chacun. Car il faut du savoir vivre, du savoir êtes pour vivre en harmonie tous ensemble. Vivre tous et toutes ensemble en bonne intelligence, ce n’est pas donné à tous et toutes. Car en dehors des limite du village c’est le chaos. Dehors tous les dangers nous guettent. Et pour arriver à reproduire des micro-sociétés où on a réussi à limiter voir éliminer le mal., il a fallu du temps et des règles strictes. Et depuis le Grand Effondrement de la civilisation fossile et les crises qui ont suivi, l’humanité s’est adaptée. Économiser les ressources, se protéger du soleil, modifier son habitat, ses besoins, et adhérer au tout-recyclage. Y compris celui des femmes semble indispensable pour l’équilibre et la survie de l’humanité. Pourtant en cette année 2224 , sur la côte d’Opale, entre Cap-Blanc-Nez et Cap-Gris-Nez, les corps de trois fillettes sont retrouvés. Alors après plus d’un siècle sans criminalité, les autorités étouffent l’affaire. Et Rachel, 49 ans, l’ignore encore mais elle et sa famille vont avoir un rôle majeur à jouer dans ce monde en déroute. Et pour nous faire vivre cet dystopie il nous faut des personnage. Et ici ils sont particulièrement bien incarner. Il y a là Rachel Fischer, coiffeuse de son état et son mari l’archéologue Keen Taylor. Keen un étranger il est natif de l’île de Skye bien loin de l’autre coté de la mer. Ensemble il en deux enfant une fille Sky et un garçon Néo. Et si Keen est un mari ténébreux et peu loquace, il est fou amoureux de son épouse. Il y a aussi le père de Rachel, ce petit tailleur octogénaire remarié et jeune papa de deux jumeaux Hasna Kabila une belle et jeune métisse, mariée à John M#283;lník. ce mec est ce que l’on pourrait appelé un mâle alpha. Il nous parait un peu binaire comme dans l’ancien monde, pourtant il se révèlera être plein de nuances et de contradictions. Surtout il aurait voulu être le prétendant de Rachel. Mais celle ci l’éconduit chaque fois qu’il se rapproche un peu trop. Chez les amis de Rachel il ya aussi Odette Frévent, une femme que j’ai perçu comme gourmande de tout, marrante mais avec un humour un poil décalé, provoquant un brin vulgaire. C’est marrant je ne suis assez identifié à ce personnage en particulier. Peut-être parce que le couple d’Odette est un couple de femme. Il y a aussi les autres camarades de Rachel comme Maud Pamaturia, cette instructrice en Art thérapie a vraiment un don pour captiver ses jeunes apprenants. Maud est une femme que l’on dirée libre et libérée. Une solitaire qui a des convictions ou devrais-je dire des croyance. Pour complété le tableau on rencontrera Oscar Prodotis est un quinqua sympa, copain avec John et Kee . Mais il aime pas trop que l’on ne respecte pas les procédures et les protocoles qui régisse la vie du village. Car Oscar a été désigné pour le poste de chargé des relations avec la Gouvernance Territoriale au sein du conseil villageois. Oh il a rien d’un dictateur notre Oscar, surtout que le poste de chef ne lui est assigné que pour 6 mois. Le rôle de chef du conseil villageois change régulièrement et chacun des adultes du village l’exerce à tour de rôle. Et on va aussi rencontre d’autre protagoniste de l’histoire lorsque Rachel partira en recyclage. Heureusement n’est pas seule à partir, elle sera accompagnée de ses amies Odette et Hasna. Vous l’aurez compris, j’ai adoré ce roman foisonnant où Sophie Loubière nous décrit une société tout à fait vraisemblable. Elle a imaginé imaginer des villages connectés les uns aux autres, constitués de biens communs (commerces, ateliers, moulins, fermes, bâtiments scolaires, hôpitaux..) et d’unités d’habitations autosuffisantes, résistantes, parfaitement intégrées à l’environnement naturel et adaptés au climat. Une terre où après le grand effondrement la nature a repris le dessus. Elle aussi s’est adaptée, très vite et surtout elle a repris l’espace que l’humanité lui avez soutirés. Bref, un paysage profondément modifié par la pollution et le réchauffement climatique et ces chaleurs quotidienne à plus de 50°. Ce que j’ai vraiment aimé aussi c’est que notre autrice a conçu un monde loin d’être monolithique. La stérilité masculine est aussi au centre de ce roman, et du coup on se rend compte que l’homme est un animal comme les autres, et qu’à cause des facteurs environnementaux avec ses milliers de molécules toxiques déversées dans notre atmosphère depuis des siècles, notre espèce est menacée de disparaître un jour. Ce livre tire la sonnette d’alarme. et c’est peut-être là que mon avis diffère avec l’auteur. Depuis bien longtemps, je me dis que la terre et la faune et la flore iraient beaucoup mieux si l’homme disparaissait, je cherche encore l’armée des douze singes. Mais cessons cette digression et revenons à notre livre. Sophie Loubière nous décrit ici un monde futuriste non binaire et nous propose un futur possible. Un futur qui a tout pour me plaire, fini la vision patriarcale de la SF. Ici la diversité c’est la vie, c’est sans doute même la meilleure façon de sortir l’humanité de l’obscurantisme religieux ou de toute forme d’intolérance politique. Oui Obsolète c’est de la SF comme je l’aime , de l’imaginaire inclusive, mais aussi une histoire qui bouscule, qui alerte voire qui dénonce et surtout qui stimule alors ne restons pas là sans rien faire ! … Soyons de vrai.es citoyen.nes engagé.es pour une société plus juste, plus ouverte, plus tolérante, acceptant toutes les différences et surtout plus consciente des enjeux climatiques. Et oui Sophie, je suis d’accord avec toi, « La femme est l’avenir de l’homme », comme le chanter Ferrat bien inspiré par le poète Aragon.

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aliasdam

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 semaines

Dans un monde où la civilisation s'est effondrée, des groupes de survivants se sont retrouvés pour fonder une nouvelle société. Les religions n'existent plus, les armes nucléaires un passé oublié, bref, un monde rêvé. Seulement, les femmes n'ont plus le droit de vivre avec leurs familles quand elles atteignent l'âge de 50 ans. Le compagnon / la compagne se retrouve veuf/veuve, mais ces derniers sont fortement sollicités pour se remarier avec une femme plus jeune. Quant aux cinquantenaires, elles sont attendues dans un autre monde, où elles seront chouchoutées. Bienvenue en 2224. A travers les portraits de plusieurs personnages - masculins et féminins, vivons les derniers instants de quelques familles amis. Alors que les relations vivent le climax de leurs sensations, trois jeunes filles sont retrouvées mortes dans une grotte. Le meurtre, inexistant dans cette nouvelle société, réapparait-il? Le livre, fort de 500 pages, s'avère diablement efficace dans la peinture d'une société renouvelée et la vision enchanteresse d'un passé révolu. Multiples personnages signifient la multiplicité des points de vue personnages secondaires inexistants. La peinture de cette nouvelle civilisation questionne le lecteur mais se ramollit très vite aux chapitres en italique. Une diatribe obscure, qui lasse vite. La lecture s'enchaîne sans intérêt, où l'on souffre de ne pas comprendre où veut en venir l'auteure. Evidemment, ces chapitres se révèlent importants dans les deux dernières parties du roman, éclairant avec joie innovation sur un personnage clef du livre. Par un postulat foutrement diabolique, Sophie Loubière critique notre société contemporaine (les femmes en mouchoir jetable), et propose une enquête policière qui se révèle plus intéressante que la psychologie des personnages.

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Alienor606

3.00 sur 5 étoiles

• Il y a 2 semaines

2224, l’humanité s’est adaptée au changement climatique et la nature s'est faite plus hostile. Une société en harmonie et soucieuse de son impact écologique. Une société avec un lien très étroit avec une IA qui module et oriente son quotidien...et cette règle de survie qui fait disparaître les femmes de plus de 50 ans pour favoriser la natalité mais où vont elles et que deviennent elles? Un roman post-apocalyptique, une vision du futur intéressante et qui pose question. Mais cette société moderne où la technologie prend une grande place m’a un peu laissé sur ma faim. Une ambiance un peu semblable à la « servante écarlate de M. Atwood » avec plus de technologie mais une fois encore l’évolution de l’humanité se fait au détriment des femmes.

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Fiche technique du livre

  • Genres
    Policiers & Thrillers , Roman Noir
  • EAN
    9782266348331
  • Collection ou Série
  • Format
    Poche
  • Nombre de pages
    528
  • Dimensions
    180 x 110 mm

L'auteur

Sophie Loubière

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10,30 € Poche 528 pages