Que serais-je sans toi ? : Le livre de Guillaume Musso, Olivier Prémel

Avis assez partagé sur ce roman. Martin et Gabrielle, c'est une histoire d'amour qui dure le temps d'un été mais qui avec la distance et les mois se terminent. Chacun rongé par la solitude tente de se reconstruire. Mais un élément perturbateur va venir secouer le passé pour créer un futur commun : le père de Gabrielle, Archibald. La première fois que je l'ai lu j'étais au lycée, et j'avais adoré. Une histoire d'amour à l'eau de rose, placé sous le signe du pardon. Finalement j'ai décidé de le relire une dizaine d'années plus tard et ce roman s'adresse beaucoup plus aux adolescents en quête de cicatrisation post-rupture, et à la recherche d'un espoir. J'ai trouvé l'histoire un peu décousue et peu réaliste malheureusement. Mais ça reste une lecture plutôt agréable en été.

[masquer]Une histoire mêlant œuvre d'art, passion de l'aventure et quête de sens. La majeure à partie de l'histoire a été rythmée par les deux héros tout en laissant un suspens autour de Gabrielle et de leurs liens respectifs. La dernière partie avec le coma des héros m'a semblé moins réaliste et plus fantasque mais la fin n'en reste pas moins belle.

Que dire de ce roman... un Musso donc une valeur sûre. Il est question d'amour tout d'abord mais sous toutes ces formes. On se prend d'affection pour ces personnages et on tourne les pages, pressés de connaître la suite de leurs aventures. Les courts chapitres permettent une lecture fluide et agréable. J'ai passé une très bon moment et j'ai adoré cette jolie histoire.

Un livre qui se laisse lire très facilement, delà à dire qu’il restera dans ma mémoire pour longtemps, ce n’est pas certain. Des histoires d’amour qui s’entrecroisent sur plusieurs générations, les non-dits et les manque de communication qui, comme à leur habitude, entraînent des quiproquos, des rancœurs, et des histoires qui ne se font pas.. quoi que, c’est un Guillaume Musso ne l’oublions pas #x1f609 Le tout sur fond de San Francisco, et de vol de tableaux… J’ai beaucoup aimé la dernière partie dans un aéroport, je n’en dis pas plus, mais c’est une allégorie qui m’a beaucoup plu :)