L'appel de l'ange : Le livre de Guillaume Musso

[masquer]Je viens de lire mon premier livre de Guillaume Musso. M’attendant à une « simple » histoire d’amour, j’ai été agréablement surprise par cette histoire d’enlèvement non résolue, cet homme qui avait croisé Alice plus tard et la rencontre des deux protagonistes par l’échange malencontreux d’un téléphone portable à l’aéroport. Je recommande cette histoire. [/masquer]

Un super livre il vous tiens en haleine jusqu a la fin.c est histoire d une échange de téléphone par mégarde dans un aéroport ...Que faire sans votre téléphone ou il y a tout vos rdv et votre journal intime?Vous décidez de retrouver la personne pour le récupérer mais voilà vous êtes en France et l autre a New York!C est palpitant Elle est soit disant fleuriste et lui restaurateur !Et dans tout çà vous avez une jeune fille qui faut absolument retrouver pour la sauvée d entre mauvaises mains.et qui est cette jeune fille qui va les réunir?J espère que vous vivrez ce livre comme moi je l ai vécu.

J'ai passé un excellent moment en compagnie de Madeline et Jonathan. Je cherchais un livre divertissant, léger à lire et L'appel de l'ange a rempli avec succès ces deux missions #x1f44c Oui c'est un roman qui comporte des défauts, notamment vis-à-vis de la crédibilité de l'histoire, mais ça reste tout de même très bien ficelé même si on se doute que dans la vraie vie, un scénario de ce genre aurait 0 chance de se produire #x1f606 Bref, j'aime avoir ce genre de lecture entre deux romans plus conséquents, merci Guillaume Musso pour ce beau moment de divertissement #x1f642

Le titre au départ m’a interpellé. J’ai toujours été fascinée par le domaine spirituel et je me suis demandée ce que pouvait bien avoir écrit l’auteur et si cela avait un quelconque lien. Ne vous attendez pas à un roman sur la spiritualité. Guillaume Musso nous entraine dans un thriller percutant, passionnant, je n’ai pas eu envie de lâcher ma lecture et à chaque chapitre terminé, je souhaitais en savoir davantage sur l’histoire, sur ce que vivaient les personnages. J’ai dévoré « L’appel de l’ange » comme on dévore un bon repas.