Red Eyes Sword Zero - tome 4 : Le livre de Takahiro, Kei Toru

Un tome tout simplement explosif qui clôture l'arc sur les gardiens du temple. Takahiro sait vraiment y faire pour rendre ses histoires passionnantes. Même si les tomes sont saturés d'action, il arrive à distiller une histoire entre les personnages au gré des scènes d'actions toute aussi dingue les unes que les autres. C'est dans les combats qu'on ressent le lien unissant l'équipe d'Akame toujours aussi badass et incroyable dans cette préquelle. Le côté furie de Akame m'a toujours séduit dans les différentes séries, on dirait que rien ne peut l'atteindre elle décime ses ennemis à grands coups de katana avec son attaque spéciale Extermination. Une arme impériale qui lui colle à la peau. Pour rejoindre sa sœur Akame découpe ses ennemis les uns après les autres. On retrouve l'Akame de la série originelle. Après s'être frayé un chemin au travers de la chair de ses ennemis elle tombe sur le redoutable premier gardien. Ce dernier croit pouvoir l'emporter mais c'est mal connaître son ennemie et comme le dit si bien le premier gardien : Cette garce possède un don naturel pour ôter la vie ! Alors que les combats font rage, les gardiens grouillent un peu partout. On voit alors apparaître une redoutable tueuse de la série originelle à savoir cette bipolaire de Esdeath. Rien à dire elle est toujours aussi cintrée et barbare. Mais Esdeath à toujours aimé ces boucheries elle est née du sang des batailles, cela fait très Cimérien. Vous l'aurez compris, ce tome est hyper intense au niveau des combats. Mais avec les pertes des membres du second groupe vont intégrer le premier. Les deux sœurs se retrouvent donc après un long moment de séparation. Dans ce tome on comprend mieux pourquoi Kurome est autant fidèle à l'Empire et pourquoi elle ne suit pas Akame dans la rébellion. Kurome est bourré de Médoc et d'hypnose pour garder un meilleur contrôle sur elle et en faire une arme encore plus redoutable. Même si on sait que le destin va séparer les deux sœurs pour les opposés plus tard l'une à l'autre, cela fait plaisir de les voir réunies sur cette arc qui se referme.