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La Maison Ipatiev
Laurent Bury (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/06/2012
Éditeurs :
L'Archipel

La Maison Ipatiev

Laurent Bury (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 01/06/2012
À Kashin, petit village russe, Georgy Jachmenev, 16 ans, sauve la vie du tsar au péril de la sienne. Le destin du jeune paysan s'en trouve aussitôt bouleversée.Nicolas II le... À Kashin, petit village russe, Georgy Jachmenev, 16 ans, sauve la vie du tsar au péril de la sienne. Le destin du jeune paysan s'en trouve aussitôt bouleversée.Nicolas II le fait venir à Saint-Pétersbourg, où il est admis dans la Leib-Garde de sa Majesté, avec pour mission de veiller sur... À Kashin, petit village russe, Georgy Jachmenev, 16 ans, sauve la vie du tsar au péril de la sienne. Le destin du jeune paysan s'en trouve aussitôt bouleversée.Nicolas II le fait venir à Saint-Pétersbourg, où il est admis dans la Leib-Garde de sa Majesté, avec pour mission de veiller sur le tsarévitch Alexei.Secrètement amoureux de la grande duchesse Anastasia, il suivra les Romanov jusqu'à Ekaterinenbourg, où il sera le témoin impuissant du massacre.Londres, quelque soixante ans plus tard. Bibliothécaire retraité, Georgy revoit sa vie défiler au chevet de Zoïa, son épouse bien aimée qui se meurt d'un cancer, lasse des épreuves supportées depuis la révolution d'Octobre : l'exil, l'émigration, la mort brutale de leur fille unique et ce sentiment de culpabilité, qui ronge, dit-on, les rescapés des grandes catastrophes...Alternant passé et présent, l'auteur fait revivre le faste de la cour, la violence de la Révolution d'octobre, et s'attache au destin d'un couple soudé par un amour indéfectible mais replié sur son secret...
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EAN : 9782809807325
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 349
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809807325
Façonnage normé : EPUB2
Nombre de pages : 349
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Millina 18/10/2022
    Les Romanov m’ont toujours intrigué depuis que j’ai vu le film d’animation de la DreamWorks. C’était un de mes préférés. J’ai dû le voir plus d’une douzaine de fois. Du coup, quand j’ai vu passer ce titre dans la blogosphère, je n’ai pas résisté longtemps. Je ne dirais pas que c’est un coup de cœur, mais c’est une très bonne lecture. J’ai voyagé, appris et contemplé des paysages froids enneigés au smog de Londres. Cette histoire est mouvementée, mais le rythme reste contemplatif à l’image des souvenirs qui refont surface. On a envie de s’y pencher, de se rouler dedans, d’y rester et parfois de s’en extirper au plus vite. Le début m’a déstabilisé. L’auteur commence par la fin de vie du narrateur. Il dévoile sa vie petit à petit sans suivre un ordre chronologique. Quand je l’ai découvert, j’ai eu peur d’être perdue. John Boyne nous promène dans le passé de date en date. Ces dates tournent autour d’un certain événement : avant et après. Cette manière d’organiser le récit entretient le suspense. Gueorgui est un vieil homme quand on le rencontre pour la première fois, c’est également le narrateur de ce récit. Il n’a pas eu une vie facile, et il vient de perdre l’amour de sa vie. Elle a souffert dans sa fin de vie, mais c’est la lumière de sa vie, son unique amour. Sa mort fait remonter des souvenirs, le chemin qui lui a permis de la rencontrer. Effectivement, Gueorgui est un fils de paysan. Il travaille les terres avec son père pour le tsar. Il va faire preuve d’héroïsme et il sauve le cousin du tsar, cela lui ouvrira le palais impérial. Les Romanov m’ont toujours intrigué depuis que j’ai vu le film d’animation de la DreamWorks. C’était un de mes préférés. J’ai dû le voir plus d’une douzaine de fois. Du coup, quand j’ai vu passer ce titre dans la blogosphère, je n’ai pas résisté longtemps. Je ne dirais pas que c’est un coup de cœur, mais c’est une très bonne lecture. J’ai voyagé, appris et contemplé des paysages froids enneigés au smog de Londres. Cette histoire est mouvementée, mais le rythme reste contemplatif à l’image des souvenirs qui refont surface. On a envie de s’y pencher, de se rouler dedans, d’y rester et parfois de s’en extirper au plus vite. Le début m’a déstabilisé. L’auteur commence par la fin de vie du narrateur. Il dévoile sa vie petit à petit sans suivre un ordre chronologique. Quand je l’ai découvert, j’ai eu peur d’être perdue. John Boyne nous promène dans le passé de date en date. Ces dates tournent autour d’un certain événement : avant et après. Cette manière d’organiser le récit entretient le suspense. Gueorgui est un vieil homme quand on le rencontre pour la première fois, c’est également le narrateur de ce récit. Il n’a pas eu une vie facile, et il...
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  • Tachan 05/09/2022
    Depuis toute petite j'adore l'Histoire et je suis fascinée par certaines figures historiques mythique comme c'est le cas pour Anastasia, fille du dernier tsar dont la mère porte en plus mon prénom. J'ai lu et vu nombre de romans et reportages sur sa famille mais face à l'enthousiasme de Steven concernant ce roman, alors qu'il est dans le même cas que moi, ça m'a donné très envie de le découvrir à mon tour ! Le titre déjà interpelle : La maison des intentions particulières, il est la traduction la plus proche du titre originel mais d'anciennes parutions l'avaient remplacé par La maison Ipatiev ou Ne m'appelle plus Anastasia, qui sont encore plus parlant, Ipatiev étant la dernière demeure des Romanov. La couverture, elle aussi, m'a interpellée avec cette femme vêtue de rouge au milieu de cette allée enneigée avec ce cheval prêt à faire demi-tour pour s'enfuir au galop. C'est une très belle composition. Cependant ma lecture fut plus complexe que ce à quoi je m'attendais. J'ai d'abord eu beaucoup de mal à pleinement apprécier ce roman car j'en attendais autre chose. Connaissant plutôt bien l'histoire de la fin du règne de Nicolas II, je pensais vivre ces années / mois-là au plus près. Ce ne fut pas le cas. J'ai donc été perturbée en étant une spectatrice plus lointaine que prévu et qui plus est avec des trous assez importants dans la chronologie, ainsi que des libertés assez flagrantes. Malgré tout j'ai passé un très bon moment. Pourquoi ? Parce que l'auteur fait vraiment oeuvre de romancier. Il nous propose une histoire inédite qui se traduit par une double temporalité que j'ai adoré, en mode "Malgré Tout" (la BD) où le temps s'écoule à reculons jusqu'au moment clé d'un côté, et en mode je m'introduis dans la grande Histoire à l'aide d'un petit personnage de l'autre. C'est une belle idée pour revisiter un mythe déjà connu et rebattu. Le narrateur de cette histoire, celui grâce à qui celle-ci vaudra le coup, c'est Gueorgui Yachmenev, un jeune paysan russe, qui suite à un concours de circonstance va se retrouver parmi les très proches de la famille impériale pour assister à leur chute. A ses côtés, nous allons découvrir la vie de la paysannerie en Russie au début du XXe siècle, puis la vie des domestiques à la cour impériale, et enfin la vie intime de cette famille si éloignée de nous : les Romanov, dont les époux se surnomment entre Nicky et Sunny, et dont les enfants aiment bien faire des frasques dans le dos de ceux qui les surveillent et protègent. L'auteur nous propose une vraie incursion dans les coulisses de cette grande Histoire. Mais paradoxalement, ce n'est pas la partie de l'histoire que j'ai préféré. Non, moi ce que j'ai aimé, c'est le récit de Gueorgui adulte qui raconte à reculons son exil avec sa femme Zoïa, de leurs vieilles années à l'heure actuelle, jusqu'au tout début de cet exil en 1918. A travers ce récit, nous allons voir comment ce couple si soudé va surmonter ou pas au fil des décennies les traumatismes de cette Révolution qui va arriver peu à peu sur l'autre ligne temporelle. Nous allons les découvrir dans le Londres présent avec une Zoïa malade, avant de remonter peu à peu dans le temps tandis que leur couple affronte bien des souffrances : tromperie, deuil, perte d'enfants, tentative de suicide, perte d'amis, etc. C'est une vie bien rude qui nous est contée dans un contexte historique riche puisqu'ils ont également connu la Guerre froide, la chute de Lénine, la Seconde Guerre Mondiale et l'ostracisme des Russes, mais aussi la montée de l'extrême-droite en Europe. Leur histoire devient au fil des chapitres aussi riche qu'émouvante avec un Gueorgui pierre angulaire de celui-ci, alors on lui pardonne ses débuts peu crédible et leur fuite improbable. Cependant, à vouloir raconter tout cela, l'auteur a dû faire des choix, des impasses et c'est notamment dans le récit passé de ce qu'ils ont vécu que cela pêche le plus, l'autre fil scénaristique n'en souffrant pas vu que conçu comme ça avec ces bonds dans le temps. Ainsi si j'ai ressenti de l'attachement pour le couple Gueorgui-Zoïa adultes, ce ne fut pas du tout le cas avec leurs pendant jeunes, ni avec la famille du Tsar. A force de ne nous raconter que quelques instantanés de vie, je n'ai pas ressenti d'attachement particulier pour ceux-ci et je n'ai pas vraiment perçu ça comme un drame que la Révolution les renverse. Il y a même un certain parti pris historiographique pas forcément très juste, ni honnête, envers Nicolas et Alexandra qui m'a agacée, celle-ci étant transformée en la Marie-Antoinette russe, ce qui ne fut pas forcément le cas... La maison des intentions particulières fut donc une riche lecture mais pas sans défaut. J'en ai aimé l'audace narrative avec cette double ligne temporelle dans l'avancement et le recul se croisent. J'ai été profondément émue par le narrateur âgé et sa femme et leur parcours de vie après le grand drame de l'Histoire. Mais, ce fut justement la partie historique qui a pêché pour moi, manquant de détails, manquant de justesse, ayant trop de parties pris et prenant trop de liberté malheureusement sur un sujet que je connais. Ce ne fut donc pas la pleine réussite que j'attendais mais tout de même un très joli moment.Depuis toute petite j'adore l'Histoire et je suis fascinée par certaines figures historiques mythique comme c'est le cas pour Anastasia, fille du dernier tsar dont la mère porte en plus mon prénom. J'ai lu et vu nombre de romans et reportages sur sa famille mais face à l'enthousiasme de Steven concernant ce roman, alors qu'il est dans le même cas que moi, ça m'a donné très envie de le découvrir à mon tour ! Le titre déjà interpelle : La maison des intentions particulières, il est la traduction la plus proche du titre originel mais d'anciennes parutions l'avaient remplacé par La maison Ipatiev ou Ne m'appelle plus Anastasia, qui sont encore plus parlant, Ipatiev étant la dernière demeure des Romanov. La couverture, elle aussi, m'a interpellée avec cette femme vêtue de rouge au milieu de cette allée enneigée avec ce cheval prêt à faire demi-tour pour s'enfuir au galop. C'est une très belle composition. Cependant ma lecture fut plus complexe que ce à quoi je m'attendais. J'ai d'abord eu beaucoup de mal à pleinement apprécier ce roman car j'en attendais autre chose. Connaissant plutôt bien l'histoire de la fin du règne de Nicolas II, je pensais vivre ces années / mois-là au...
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  • Eleanara 09/08/2022
    J'ai adoré ! J'ai mis un petit moment avant de me décider à me lancer dans ce roman. Je n'ai pas été déçue. En tant que grande passionnée de la Russie, j'ai été largement satisfaite. L'écriture de l'auteur ne s'est pas révélée lourde, contrairement à ce que je pensais (bien qu'il y ait quelques passages un peu lourds), l'histoire s'est avérée passionnante, les personnages attachants. J'ai été transportée dans cette histoire. J'ai préféré les passages avec l'ancienne vie du personnage principal, en Russie... Vous comprendrez pourquoi. Pendant un long moment, j'ai crains qu'Anastasia ne survive pas. La fin ne m'a pas déçue, je n'en n'attendais pas mieux. C'est une jolie histoire (j'aurais préféré que ce soit réel...),qui nous en apprend davantage sur la famille Romanov, les tsars, la Russie, la vie dans ce pays durant cette période. Je le recommande.
  • ElBaathory 14/12/2021
    Pour l’anecdote, ce roman devait faire partie de ma wishlist de Noël mais lorsque j’ai relu son alléchant résumé et à cause – ou grâce – à la limite des stocks disponibles ainsi que du fait de mon impatience légendaire, j’ai décidé de ne pas prendre de risque et de me l’offrir dès maintenant. Sans surprise et une fois lecture faite, je suis plus que content de ne pas avoir attendu et de posséder un tel trésor – synonyme de coup de cœur – dans ma bibliothèque. Pourtant, lorsque j’ai débuté ma lecture et même si j’ai dès les premiers pages été complètement happé par l’histoire contée avec simplicité par John Boyne, je ne m’attendais pas à ressortir de cette lecture aussi triste que mélancolique et avec le cœur si lourd et piétiné. L’auteur m’a tout simplement fait vibrer et inconsciemment, je me suis totalement attaché aux personnages présentés dans cette œuvre dans laquelle j’y ai laissé un bout de moi. Il faut bien admettre que ce dernier détient un style accrocheur et totalement pertinent. Sans être des plus singulière, sa plume n’en est pas moins percutante et détient un je ne sais quoi des plus séduisant et émouvant à lire. C’est pourquoi, il m’a été difficile de lâcher ma lecture et de faire mes adieux à Zoïa et Gueorgui, ce couple aussi attachant qu’émouvant à découvrir et dont la vie n’aura pas été de tout repos. J’ai adoré détenir tous les tenants et les aboutissants de cette dernière et étonnamment, j’ai aimé les deux temporalités dévoilés. Quelle ne fût pas ma surprise de découvrir une telle construction et alors que je craignais de ne m’intéresser et de n’accrocher qu’à celle dédiée à la Russie d’antan ainsi qu’à cette autocratie portée par le dernier Tsar, Nicolas II, ce ne fût pas le cas. Finalement et qu’il s’agisse du passé ou du présent, chacune des histoires merveilleusement dessinées m’ont totalement charmé et convaincu. Mieux encore, les deux finissent par s’imbriquer avec une étroitesse et une symbiose remarquable et grandiose. Ainsi, John Boyne maîtrise avec brio et efficacité la construction de son œuvre qui se dévoile subtile à souhait et d’une finesse louable. C’est pourquoi, je me suis laissé porter par cette dernière et même si j’ai très rapidement découvert la finalité de cette dernière, je suis plus que comblé par celle-ci qui a le mérite de me laisser le cœur lourd, la gorge serrée et les larmes aux yeux. Bien entendu et bien que basé sur des faits réels, ce roman est davantage une fiction qu’une authentique biographie de l’histoire des Romanov. Pour autant, l’auteur parvient à réaliser une intrigue plausible et palpitante à suivre. Ainsi, de l’arrivée du fermier Gueorgui au palais impérial, à la chute de cette impressionnante famille, j’ai été transporté corps et âmes dans un savoureux et délicieux mélange de réalisme et d’invention dans lequel la limite est si fine qu’elle en devient quasiment invisible. Cet exaltant et grisant sentiment – que j’avais déjà ressenti avec Le Journal Secret de Charlotte Brontë de Syrie James – me laisse à chaque fois stupéfait et admiratif du travail de l’auteur et totalement pantelant et bouleversé face à une telle réussite. A tel point que, pour mon plus grand plaisir, j’ai totalement perdu mes repères et je ne savais plus qui disait quoi, qui disait vrai. Ainsi, cette lecture m’a totalement emporté et littéralement subjugué. Je me suis laissé immerger par l’histoire de cette famille qui me passion toujours autant et qui laisse derrière elle bien des mystères dont John Boyne est parvenu à s’inspirer et combler avec simplicité mais non sans efficacité. Sa fiction se dessine et se dévoile presque réelle et authentique et n’a cessé de m’émerveiller. Cet émerveillement est avant tout dû à l’ambiance générale de La Maison des Intentions Particulières ainsi qu’à ses personnages. En effet, l’atmosphère de cette œuvre se dévoile d’une mélancolie pure et saisissante, à la limite de la tristesse. Tandis que ses personnages se démontrent des plus attachants et des plus empathiques. Malheureusement, je ne peux les détailler davantage pour ne rien dévoiler alors que j’ai tant de choses à en dire. Simplement, j’ai plus qu’adoré les suivre dans leur périple et découvrir, en même temps que ce bon et courageux Gueorgui, l’envers ainsi que les coulisse de cette riche vie impériale. C’est pourquoi qu’il est totalement réducteur de présenter ce roman comme une simple romance du fait qu’il renferme beaucoup plus que que cela. L’auteur décortique et analyse, certes d’une manière brève et succincte, les us et coutumes de la Russie et plus précisément ce que fût la fin de la famille de Nicolas II et du règne des Tsars. Ce dernier offre ainsi un très large aperçu des enjeux politiques de cette époque tout en évoquant aussi tant d’autres sujets comme celui de la guerre et de ses conséquences sur la population ouvrière, par exemple. Cette lecture se dévoile ainsi aussi riche que divertissante à parcourir. C’est simple et pour vous situer, cette savoureuse lecture, dont je me suis délecté avec entrain et avidité, se situe entre la magnifique adaptation Anastasia et la pertinente biographie de Jean des Cars. John Boyne allie histoire et fiction avec finesse et offre un récit palpitant et poignant, rythmé d’un style efficace et d’une plume mélancolique à souhait qui ne m’aura pas épargné un seul instant. Ainsi, c’est le cœur lourd et serré que j’ai tourné la dernière page de cet incroyable et saisissante lecture. Cette lecture a été réalisée à l’occasion du Cold Winter Challenge 2021 : Menu Cocooning hivernal – Catégorie Bonhomme en pain d’épices.Pour l’anecdote, ce roman devait faire partie de ma wishlist de Noël mais lorsque j’ai relu son alléchant résumé et à cause – ou grâce – à la limite des stocks disponibles ainsi que du fait de mon impatience légendaire, j’ai décidé de ne pas prendre de risque et de me l’offrir dès maintenant. Sans surprise et une fois lecture faite, je suis plus que content de ne pas avoir attendu et de posséder un tel trésor – synonyme de coup de cœur – dans ma bibliothèque. Pourtant, lorsque j’ai débuté ma lecture et même si j’ai dès les premiers pages été complètement happé par l’histoire contée avec simplicité par John Boyne, je ne m’attendais pas à ressortir de cette lecture aussi triste que mélancolique et avec le cœur si lourd et piétiné. L’auteur m’a tout simplement fait vibrer et inconsciemment, je me suis totalement attaché aux personnages présentés dans cette œuvre dans laquelle j’y ai laissé un bout de moi. Il faut bien admettre que ce dernier détient un style accrocheur et totalement pertinent. Sans être des plus singulière, sa plume n’en est pas moins percutante et détient un je ne sais quoi des plus séduisant et émouvant à lire....
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  • Piavouis 28/08/2021
    Deuxième livre de John Boyne, et je retrouve bien des aspects qui m'avaient plu dans le premier (Les Fureurs invisibles du cœur, excellent), mais sans le même coup de cœur. Le jeu temporel, la narration à la première personne et la description des ambiances de chaque scène sont toujours aussi plaisants. La plume de Boyne fait toujours des miracles et la lecture est agréable. Toutefois, le sel (voir le mordant) que j'avais trouvé dans ma première lecture de Boyne m'ont un peu manqué. Avec un sujet "princier" et historique c'était, je le reconnais, moins évident. Il m'a toutefois parfois manqué un peu de surprise pour vraiment être subjugué par La Maison des intentions particulières. Je dois toutefois concéder que le sujet est passionnant, et je me suis retenu à peu près tous les soirs de ma lecture d'aller fouiller les pages Wiki de tous les personnages (le tsar, Raspoutine, Anastasia et bien d'autres) et, plus globalement de l'histoire russe. De ce côté, chapeau bas, ce n'était pas gagné !
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