Lisez! icon: Search engine
Lady Susan - suivi de Les Watson et Sanditon
Nicolas Porret-Blanc (traduit par)
Date de parution : 08/11/2017
Éditeurs :
Écriture

Lady Susan - suivi de Les Watson et Sanditon

Nicolas Porret-Blanc (traduit par)
Date de parution : 08/11/2017
« Quel plaisir exquis de soumettre un esprit insolent, d’œuvrer pour qu’un être prédisposé à vous haïr finisse par admettre votre supériorité. »   Publiées après la mort de Jane... « Quel plaisir exquis de soumettre un esprit insolent, d’œuvrer pour qu’un être prédisposé à vous haïr finisse par admettre votre supériorité. »   Publiées après la mort de Jane Austen en 1817, les œuvres posthumes présentées dans ce volume sont ici restituées dans leur intégralité.Lady Susan met en scène... « Quel plaisir exquis de soumettre un esprit insolent, d’œuvrer pour qu’un être prédisposé à vous haïr finisse par admettre votre supériorité. »   Publiées après la mort de Jane Austen en 1817, les œuvres posthumes présentées dans ce volume sont ici restituées dans leur intégralité.Lady Susan met en scène une veuve souhaitant à tout prix privilégier sa liberté. Désargentée, elle est contrainte d’emménager chez son beau-frère, un riche banquier, pour la fille duquel elle doit trouver un bon parti. Et au jeu de l’amour, les conventions sociales l’emportent souvent...Dans Les Watson, Emma doit retourner vivre parmi les siens, dans le Surrey, après de longues années d’absence. Mais comment combler le fossé qui s’est creusé entre eux... et espérer rencontrer l’amour ?Sanditon, roman inachevé, s’amuse de la prétention des Parker, décidés à faire de leur bourgade un lieu à la mode...Ces trois textes de jeunesse sont une introduction rêvée à l’œuvre de la plus grande romancière anglaise du xixe siècle, dont ils préfigurent la ne ironie et un sens hors du commun de l’observation.
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782359052725
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 198
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782359052725
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 198
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • H-mb 05/01/2024
    Un Jane Austen que je ne connaissais pas ! Il s'agit d'un roman épistolaire qu'elle a écrit en 1793/94 mais qui ne fut jamais publié de son vivant. Dans son contenu et dans sa forme, c'est bien un roman du XVIIIe siècle. L'intrigue est simple et "classique", avec une jeune fille qui refuse le mariage que sa mère cherche à lui imposer. Ce qui est moins classique, surtout pour Austen, c'est Lady Susan, qui fait montre d'une vraie méchanceté envers sa fille d'abord mais aussi envers les autres personnages. C'est par ailleurs une femme adultère sans vergogne. Austen nous montre donc l'esprit d'une "femme méchante" en action, de l'intérieur, un exercice qu'elle ne retentera pas ultérieurement. De plus Lady Susan n'est pas seulement une "méchante", elle est aussi spirituelle, énergique, intelligente et charmeuse, ce qu'admettent même ses ennemis. C'est peut-être le problème du livre d'ailleurs : son déséquilibre. Elle a les meilleures lignes et entraîne tout le roman. Face à elle, il n'y a personne qui puisse relever le gant. Mais ça ne m'a pas empêchée de grandement apprécier le livre. Je regrette bien que Austen n'ait jamais repris ce roman plus tard dans sa carrière.
  • cecile70 19/12/2023
    3 nouvelles de Jane Austen, qui sont, comme leurtitre l'indique : Lady Susan, Les Watson et Sanditon. Concernant Lady Susan, cette nouvelle n'est parue qu'après sa mort, sans doute peut-être en raison du caractère un peu différent de Lady Susan, qui est perfide et ne resemble pas à ses personnages habituels. Cette histoire sous forme épistolaire, nous montre une Lady plutôt désagréable mais très belle, qui gère son monde autour d'elle, manipule et fait tout pour arriver à ses fins. Elle cherche à régenter la vie de sa fille et à faire le mariage de son choix pour elle-même. J'ai bien aimé. A propos de "les Watson", je suis partagée. J'étais un peu moins emballée par le début de l'histoire. Une jeune femme passe quelques jours dans une famille riche et est courtisée. Petit problème ? Jane Austen n'a jamais terminé cette nouvelle. Je reste donc un peu sur ma faim, sans savoir où elle voulait aller avec cette histoire. J'aurais aimé le savoir par une note de l'éditeur avant de commencer cette lecture. Concernant Sanditon, des familles s'installant, comme son nom l'indique, à Sandinton, cherche à développer cette petite ville et font des rencontres. Je reste mitigée là aussi sur cette lecture. Ce n'est pas l'oeuvre que je retiendrai de Jane Austen.3 nouvelles de Jane Austen, qui sont, comme leurtitre l'indique : Lady Susan, Les Watson et Sanditon. Concernant Lady Susan, cette nouvelle n'est parue qu'après sa mort, sans doute peut-être en raison du caractère un peu différent de Lady Susan, qui est perfide et ne resemble pas à ses personnages habituels. Cette histoire sous forme épistolaire, nous montre une Lady plutôt désagréable mais très belle, qui gère son monde autour d'elle, manipule et fait tout pour arriver à ses fins. Elle cherche à régenter la vie de sa fille et à faire le mariage de son choix pour elle-même. J'ai bien aimé. A propos de "les Watson", je suis partagée. J'étais un peu moins emballée par le début de l'histoire. Une jeune femme passe quelques jours dans une famille riche et est courtisée. Petit problème ? Jane Austen n'a jamais terminé cette nouvelle. Je reste donc un peu sur ma faim, sans savoir où elle voulait aller avec cette histoire. J'aurais aimé le savoir par une note de l'éditeur avant de commencer cette lecture. Concernant Sanditon, des familles s'installant, comme son nom l'indique, à Sandinton, cherche à développer cette petite ville et font des rencontres. Je reste mitigée là aussi sur cette lecture. Ce n'est pas...
    Lire la suite
    En lire moins
  • ElBaathory 08/04/2021
    J’étais très curieux de découvrir ce roman composé d’un des premiers écrits de Jane Austen ainsi que de deux romans inachevés, dont un à cause de sa maladie dont elle décédera quelques mois après. De ce fait, j’avais envie de voir ce que l’auteure nous avait réservé avant de rendre son dernier souffle et surtout ce qu’elle écrivait avant d’être la plume reconnue qu’elle est aujourd’hui. Lady Susan : J’ai beaucoup aimé la forme épistolaire de Lady Susan, très largement inspirée de Les Liaisons Dangereuses de Pierre Choderlos De Laclos. J’ai trouvé ce choix rafraîchissant du fait que je ne suis pas habitué à ce style, et cela encore moins en ce qui concerne Jane Austen. Malgré ce choix, sa plume n’en est pas moins délicieuse, percutante et facile à lire. Cependant, je dois admettre que j’ai trouvé son style bien moins critique et acerbe que précédemment. Néanmoins, il ne faut pas oublier pas qu’il s’agit de ses débuts dans la littérature et que celle-ci cherchait encore certainement le ton et la forme de son art. De plus, l’échange de ces lettres offrent un rythme certain et se laissent lire avec entrain et intérêt. De format court, cette œuvre est bien plus abrupte et rapide dans l’avancée de son intrigue et sans que cela me dérange totalement, il m’a semblé manquer d’un je ne sais quoi pour que je sois totalement happé par l’ambiance de l’époque. Pour autant et malgré son format, les personnages sont une fois de plus construits avec assurance et maitrise. J’ai vraiment pris plaisir à suivre Susan Vernon. Cette jeune femme à l’antipode de toutes les héroïnes présentée jusqu’à présent par Jane Austen. Cette dernière se dévoile calculatrice et assez machiavélique, rappelant indirectement la marquise de Merteuil. J’ai aimé cette différence qui offre un nouvel aspect du talent de l’auteure. Suivre les plans diaboliques de cette jeune veuve, à la beauté ravageuse, se veut finalement plaisant et même parfois assez drôle et bien que finalement assez moralisateur, c’est surtout un roman tyrannique qui nous est dévoilé à travers cette héroïne aussi jolie, qu’hypocrite. Malgré la construction atypique de Lady Susan et Jane Austen étant, de nombreux personnages gravitent autour de Susan et certains m’ont plus ou moins marqué. A commencer par celui de sa fille, Frederica. Celle-ci agit en principal victime de sa mère qui ne cessera de la manipuler à sa guise malgré les nombreux avertissements et autres remarques d’autres protagonistes. J’ai aussi retenu son amie Alicia qui est l’une des pièces maîtresses de toute cette débauche et j’ai fortement aimé lire les lettres échangées entre ces deux femmes, remplies de cynisme et d’immoralité. Finalement, j’ai beaucoup aimé ce roman de Jane Austen pour la différence qui en résulte. C’est bien la première fois qu’une héroïne de notre auteure est aussi impudente et immorale et j’ai aimé ce choix audacieux. Tout comme j’ai apprécié la différence de construction de son intrigue, faisant de cette œuvre une œuvre distincte du reste de sa bibliographie. Les Watson et Sanditon : Malheureusement, les deux autres récits présents dans ce roman sont tous les deux inachevés et je trouve cela difficile de juger un tel travail. Néanmoins Les Watson n’a pas été sans me rappeler Orgueil et Préjugés pour sa construction et surtout l’importance de la place de la famille. Celle-ci est l’élément centrale et la clé de cette intrigue incomplète et l’aperçu des relations mets en évidence la joute qui caractérise si bien la plume et le style de Jane Austen. C’est fort dommage qu’on ne sache pas la raison de cet arrêt soudain d’écriture car l’histoire commençait à devenir intéressante et pertinente à lire. D’autant plus que cette dernière se déroulait dans les Landes anglaises que j’affectionne tant. Pour ce qui est de Sanditon, je dois admettre que j’ai avant tout été séduit par son cadre idyllique et bucolique. En effet, Sanditon n’est autre qu’une petite bourgade en pleine expression, située en bord de mer, grâce à la vision rêveuse de Mr Parker que nous rencontrons en mauvaise posture dès les premières pages. J’ai surtout apprécié le fait que les personnages se développaient en même temps que ce village. Cette combinaison offre un résultat assez unique dont j’aurais aimé connaître la finalité. Surtout que ce choix se veut totalement inédit de la part de l’auteure. Même si cette dernière mettait souvent en avant l’univers de ses œuvres, ce dernier se dévoile être l’élément central de son roman et le lien unique entre chaque personnage. Ainsi, ces deux manuscrits regorgent d’intrigues que j’aurais souhaité découvrir dans leurs intégralités pour leurs personnages et pour leurs univers. Je ne préfère pas lire la suite de Sanditon, rédigée à partir des notes laissées par Jane Austen et je préfère rester sur une note, certes inachevée, mais authentique. En conclusion, seul Lady Susan m’a totalement séduit grâce à son héroïne beaucoup moins bienveillante et sage qu’à l’accoutumée et pour l’échange épistolaire parfaitement maitrisé, que j’ai suivi avec entrain et intérêt. Concernant les autres manuscrits, je suis content d’avoir pu les découvrir et je les considère surtout comme un bonus relatif à la plume de Jane Austen.J’étais très curieux de découvrir ce roman composé d’un des premiers écrits de Jane Austen ainsi que de deux romans inachevés, dont un à cause de sa maladie dont elle décédera quelques mois après. De ce fait, j’avais envie de voir ce que l’auteure nous avait réservé avant de rendre son dernier souffle et surtout ce qu’elle écrivait avant d’être la plume reconnue qu’elle est aujourd’hui. Lady Susan : J’ai beaucoup aimé la forme épistolaire de Lady Susan, très largement inspirée de Les Liaisons Dangereuses de Pierre Choderlos De Laclos. J’ai trouvé ce choix rafraîchissant du fait que je ne suis pas habitué à ce style, et cela encore moins en ce qui concerne Jane Austen. Malgré ce choix, sa plume n’en est pas moins délicieuse, percutante et facile à lire. Cependant, je dois admettre que j’ai trouvé son style bien moins critique et acerbe que précédemment. Néanmoins, il ne faut pas oublier pas qu’il s’agit de ses débuts dans la littérature et que celle-ci cherchait encore certainement le ton et la forme de son art. De plus, l’échange de ces lettres offrent un rythme certain et se laissent lire avec entrain et intérêt. De format court, cette œuvre est bien...
    Lire la suite
    En lire moins
  • ElisabethJGranville 25/11/2020
    J'aime Jane Austen, y compris ces trois œuvres dites mineures. Un roman court de jeunesse mordant et plein d'ironie et deux débuts de roman abandonnés, le premier assez proche du canon, le second plus comique. Un vrai plaisir à lire La critique complète et d'autres sur
  • Jangelis 22/11/2018
    Je ne suis pas une grande connaisseuse de Jane Austen, même si j'ai lu ses six romans qualifiés de majeurs, (qu'il faudrait que je relise pour mieux les découvrir) ainsi que tout ce que j'ai pu rencontrer comme romans "autour de Jane Austen". Mais je suis fascinée par son écriture et sa façon de nous raconter la vie de ces personnages. J'étais donc très intéressée par ces trois courts romans et ravie de pouvoir les recevoir, et je n'ai vraiment pas été déçue, au contraire. Une préface très intéressante du traducteur présente bien ces textes, et nous donne des pistes pour les situer dans l'oeuvre de Jane Austen. Je l'ai lu avec plaisir au début, puis relu à la fin après avoir dégusté les trois romans, pour revoir les précisions !! Lady Susan 100 pages Roman épistolaire, une exception dans l'oeuvre de Jane Austen. Et quelle force dans ces lettres. L'héroïne est une manipulatrice hors pair, c'est époustouflant. Il s'agit très certainement d'une oeuvre de jeunesse, et il est ahurissant qu’une si jeune fille, dans un milieu assez protégé qui plus est, ait su mettre en scène une femme aussi épouvantable. Cette Lady Susan semble si franche, si honnête dans sa façon de se présenter elle-même dans ses lettres, que ça en devient parfois comique à force de méchanceté. Elle essaie si bien de persuader qu'elle agit pour le bien de sa fille notamment, qu'on se demande si elle ne finit pas par y croire elle-même ! C'est un texte très fort autour d'une personne réellement manipulatrice, mais c'est aussi comme toujours chez Jane Austen une belle description de l'époque, des us et obligations auxquels on doit se conformer. Et un vrai plaisir à lire, même si trop court. Les Watson 74 pages Roman inachevé Une histoire assez étonnante de fratrie. Et de bal aussi. Une fois de plus, je me suis plongée dans l’histoire, sans lever le nez d'un bout à l'autre, toute surprise que ce soit déjà terminé. Parce que contrairement à d'autres Jane Austen, ici, c'est moins les relations entre hommes et femmes que celles entre les soeurs qui dominent. Mais comme toujours, ça ne se raconte pas, ça se vit, et l'écriture de l’autrice nous emporte quel que soit le sujet. Avec en prime bien entendu, une peinture de la société de l'époque extrêmement fine et haute en couleurs. Le bal, les visites codifiées à l'extrême, les relations entre riches et moins riches, l’établissement des filles, tout se déroule de façon fascinante sous nos yeux. Un personnage d'enfant de dix ans, il me semble qu'on en rencontre assez peu dans le reste de l'oeuvre. Ce petit Charles est amusant et attachant, avec ses manières d'adulte et ses tristesses d'enfant. La jeune Emma semble un peu trop gentille et bienveillante pour survivre dans ce monde, et j'étais un peu déçue de l'abandonner si rapidement. Sanditon 100 pages Roman inachevé Un roman assez différent, puisque le personnage principal est un homme, Mr Parker, qui se démène pour que son village, Sanditon, attire les touristes et arrive à concurrencer Eastbourne ou d'autres lieux connus de la côte. Même si ensuite c'est Charlotte qu'on suit, Mr Parker est le centre de la nouvelle. J'ai un peu moins apprécié ce texte, des longueurs surtout dans les discours de Sir Edward. C'est évidemment voulu, pour montrer combien il est lassant, mais c'est un peu longuet du coup parfois. Et puis, c'est une oeuvre non terminée, donc sans doute non corrigée de près par l'autrice, peut-être ça aussi qui fait la différence. Mais j'ai tout de même pris grand plaisir à la lire, toujours cette écriture très prenante. Quelques passages m'ont fait penser à Knock ou le triomphe de la médecine. Pas le côté manipulateur ici, mais la volonté d'implanter un médecin, les réflexions sur les gens qui se croient en bonne santé ... Un siècle plus tôt quelques idées qui se rejoignent ! J'ai aimé aussi retrouver ici l'importance de la mer, les stations balnéaires, la côte sud de l'Angleterre, le plaisir d'être au bord de l'eau. Il me semble (mais je peux me tromper) que c'est assez peu présent dans l'oeuvre de Jane Austen, où on se promène plus souvent dans la campagne. Au final, j'ai vraiment apprécié cette lecture, que l'on peut conseiller aussi bien aux fans de Jane Austen, pour découvrir ses textes moins connus, qu'à ceux qui la connaissent mal, ils pourront apprécier sur des romans très courts l'écriture, la force et le décor !Je ne suis pas une grande connaisseuse de Jane Austen, même si j'ai lu ses six romans qualifiés de majeurs, (qu'il faudrait que je relise pour mieux les découvrir) ainsi que tout ce que j'ai pu rencontrer comme romans "autour de Jane Austen". Mais je suis fascinée par son écriture et sa façon de nous raconter la vie de ces personnages. J'étais donc très intéressée par ces trois courts romans et ravie de pouvoir les recevoir, et je n'ai vraiment pas été déçue, au contraire. Une préface très intéressante du traducteur présente bien ces textes, et nous donne des pistes pour les situer dans l'oeuvre de Jane Austen. Je l'ai lu avec plaisir au début, puis relu à la fin après avoir dégusté les trois romans, pour revoir les précisions !! Lady Susan 100 pages Roman épistolaire, une exception dans l'oeuvre de Jane Austen. Et quelle force dans ces lettres. L'héroïne est une manipulatrice hors pair, c'est époustouflant. Il s'agit très certainement d'une oeuvre de jeunesse, et il est ahurissant qu’une si jeune fille, dans un milieu assez protégé qui plus est, ait su mettre en scène une femme aussi épouvantable. Cette Lady Susan semble si franche, si honnête dans sa façon de se présenter elle-même dans ses lettres,...
    Lire la suite
    En lire moins
Inscrivez-vous à la Newsletter Lisez!, la Newsletter qui vous inspire !
Découvrez toutes les actualités de nos maisons d'édition et de vos auteurs préférés