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Le Journal de Mary
Date de parution : 04/05/2016
Éditeurs :
Belfond

Le Journal de Mary

Date de parution : 04/05/2016
Mary Meyer ? Son nom n’évoque rien et pourtant.
Plongée fascinante dans l’Amérique des années 1960, ce roman nous révèle le destin complexe de celle qui joua un rôle déterminant dans l’une des plus grandes énigmes du XXème siècle…

 
Fin des années 1950, États-Unis. Mary Meyer vit à Langley avec son mari haut gradé de la CIA et leurs trois enfants. Artiste peintre, féministe, pacifiste – elle est fichée... Fin des années 1950, États-Unis. Mary Meyer vit à Langley avec son mari haut gradé de la CIA et leurs trois enfants. Artiste peintre, féministe, pacifiste – elle est fichée par le FBI comme une activiste de gauche –, Mary est à l’affût de nouvelles expériences.
Quand l’un de ses enfants...
Fin des années 1950, États-Unis. Mary Meyer vit à Langley avec son mari haut gradé de la CIA et leurs trois enfants. Artiste peintre, féministe, pacifiste – elle est fichée par le FBI comme une activiste de gauche –, Mary est à l’affût de nouvelles expériences.
Quand l’un de ses enfants meurt accidentellement, tout s’effondre. Mary décide de s’installer seule avec ses deux garçons dans le quartier de Georgetown, à Washington, où résident toute la classe politique et la haute société. C’est alors qu’elle recroise un certain Jack, rencontré vingt
ans plus tôt à l’université, et que naît une passion qui va durer plusieurs années. Mary accepte de rester l’amour secret de cet homme qui ne peut l’officialiser en raison de ses fonctions. Elle est pourtant celle qui agit dans l’ombre, à ses côtés.
Celui qu’elle aime meurt à Dallas le 22 novembre 1963.
Mary est assassinée un an plus tard au bord du fleuve Potomac.
Le journal qu’elle tenait n’a jamais été retrouvé.
LE JOURNAL DU VÉRITABLE AMOUR DE JFK…

Plongée fascinante dans l’Amérique des années 1960, Le Journal de Mary nous
révèle le destin complexe de celle qui joua un rôle déterminant dans l’une des plus
grandes énigmes du XXe siècle.


 
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EAN : 9782714469090
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782714469090
Façonnage normé : EPUB2
DRM : DRM Adobe

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • JulieTeyssier 09/12/2023
    Histoire inventée mais tout de même proche du réalisme avec les aventures de la maîtresse particulière de JFK aussi dit Jack. L'amour est présent, mais difficile à l'exprimer, il va et vient ... Difficultés à savoir où s'arrête la fiction par rapport aux éléments réels .. En lisant je n'ai pas eu l'entrain que peut donner un livre ... parfois un peu saccadé à mon goût, peut être est ce le fait que l'histoire reprend un journal intime que je n'apprécie pas.
  • Annezzo 31/08/2023
    J'ai dans ma tête tout plein de petits tiroirs Kennedy bien remplis. Livres, émissions de radio, articles, études, documentaires, c'est bien fourni, et ô étonnement, je ne m'en lasse pas, des deux frangins et leur destin tragique. Que dire... Suis imbattable sur l'histoire de la famille, depuis les pauvres émigrés irlandais jusqu'au fiston de Jackie et Jack, dit "John John". Grâce à Don Delillo je sais tout sur Lee Harvey Oswald (Libra), grâce à Marc Dugain je suis pointue sur la girl with polka dot dress, la fille à la robe à pois et tout ce qui concerne l'assassinat de Bobby Kennedy et les délires de la CIA sur l'hypnose en passant par Sirhan Sirhan. Grâce à James Ellroy j'ai tout sur les magouilles de la CIA, des anti-castristes, du KKK et de la mafia italienne autour de l'assassinat de JFK puis de la préparation de celui de Bobby, en passant par le Vietnam. Grâce à Marc Dugain encore, j'ai le bon dossier sur Hoover que Ellroy a aussi savamment étudié. J'ai même découvert un des ennemis de Bobby du temps du Mac Carthysme, Roy Cohn l'avocat du diable le "créateur" de Donald Trump, grâce à Philippe Corbé. J'en sais un peu plus sur Jackie Kennedy, beaucoup sur Sinatra et le RatPack, les maîtresses communes entre Jack, Frankie et Sam Giancana il capo de tutti capi. Un peu sur Lemm l'ami de toujours, beaucoup sur Ethel l'épouse de Bobby et sa ribambelle d'enfants dont la onzième naquit après la mort de son père. J'en sais des tonnes sur Marylin, notamment avec Michael Korda et ses Immortels. J'ai bien en tête la fratrie Kennedy, et puis le pater noster, guère aimable le filou, avec sa très catholique et peu affectueuse Rose d'épouse. "Je n'ai jamais connu un jour où mon frère ne souffrait pas" disait Bobby. "Personne ne sait détester comme Bobby" disait Jack (JFK), j'ai adoré la complicité entre les deux frères, sans oublier ces deux femmes cultissimes qu'ils ont honorées, l'un avec le corps, l'autre avec le coeur, la blonde et la brune, Marilyn et Jackie. Grâce à la formidable série radiophonique d'Alexandre Adler, "le crime du siècle", j'ai poussé un peu plus dans ma connaissance de Jack Ruby, l'homme qui tua Oswald. Et évidemment, et cette série fait un point absolument remarquable sur le sujet, tout sur le Dday. Le 22 novembre 1963. Chaque centimètre de Elm Street ou de Daily Plaza, la librairie scolaire, chaque minute du trajet depuis l'aéroport, la place de chacun ce jour-là à midi et demi sur la place, dont un certain Georges Bush, que dis-je, deux Georges Bush, le père et son gamin de fils… Le monticule herbeux, Zapruder, l'angle du tournant, l'étage des tirs "officiels", sans parler du fusil italien de qualité moyenne, les douilles tombées au sol, le trajet des trois balles officielles, les témoins partagés sur la provenance du bruit des balles… Je vous en passe, et j'ai l'air de frimer comme ça, c'est juste pour dire que je suis LA référence sur les Kennedy que le monde nous envie. Enfin, à peu près. Mais je manquais de détails sur le destin de Mary Meyer. Elle a été assassinée en Octobre 1964 à Washington, moins d'un an après la mort de JFK. Tous deux étaient amants, mais elle a plus compté que les autres, semble-t-il. Ils étaient amoureux, complices. Il la consultait lors de décisions politiques. L'ex-mari de la dame faisait partie de la grande maison, l'Agence, la CIA. Elle faisant son jogging dans le parc du Potomac, on n'a jamais su qui lui a tiré deux balles dans le corps, un innocent (noir !) a été inculpé sur la base de témoignages un rien fumeux, mais disculpé un an plus tard, ce qui était rarissime à l'époque. Avant de lire "La contre-enquête", le livre de Jean Lesieur sur cette affaire, me suis offert ce roman, histoire d'avoir le film en tête. L'autrice précise qu'à partir de faits réels et avérés, elle a construit sa fiction, rempli des vides, imaginé les rapports entre ce dragueur de Jack et cette mère qui avait perdu son premier enfant dans un accident. Issue d'une grande famille, les Pinchot, libérée de ses chaînes, s'ouvrant à la peinture, mais aussi au cannabis puis au LSD, "Pinchy" partage tout avec son joli-coeur, qui lui, prend tout à la légère… Et lors de la mort de l'homme qu'elle aimait, elle lutte contre le désespoir en cherchant à faire éclater la vérité sur cette même Agence, doutant très fortement de la version officielle servie par la commission Warren. Elle écrivait un journal, dit-on, on ne sait pas si la CIA a réussi à mettre la main dessus. Alexandra Echkenazi nous l'écrit, ce journal, et invente des lettres de Jack amoureux, qui sont irrésistibles. Me suis fait plaisir à y croire, même si je doute qu'il ait eu envie non seulement de perdre la première élection, mais de refuser de se représenter en 1964. Par contre, de son humour, je ne doute pas ! Et on l'imagine craquant, le président S'en-fout-la-mort, avec sa petite Pinchy vaillante. Passé un doux moment en leur compagnie. Avant de passer aux choses "sérieuses", c'était bon de chantonner "Parlez-moi d'amour" avec un coeur tout neuf d'adolescente qui bat des cils.J'ai dans ma tête tout plein de petits tiroirs Kennedy bien remplis. Livres, émissions de radio, articles, études, documentaires, c'est bien fourni, et ô étonnement, je ne m'en lasse pas, des deux frangins et leur destin tragique. Que dire... Suis imbattable sur l'histoire de la famille, depuis les pauvres émigrés irlandais jusqu'au fiston de Jackie et Jack, dit "John John". Grâce à Don Delillo je sais tout sur Lee Harvey Oswald (Libra), grâce à Marc Dugain je suis pointue sur la girl with polka dot dress, la fille à la robe à pois et tout ce qui concerne l'assassinat de Bobby Kennedy et les délires de la CIA sur l'hypnose en passant par Sirhan Sirhan. Grâce à James Ellroy j'ai tout sur les magouilles de la CIA, des anti-castristes, du KKK et de la mafia italienne autour de l'assassinat de JFK puis de la préparation de celui de Bobby, en passant par le Vietnam. Grâce à Marc Dugain encore, j'ai le bon dossier sur Hoover que Ellroy a aussi savamment étudié. J'ai même découvert un des ennemis de Bobby du temps du Mac Carthysme, Roy Cohn l'avocat du diable le "créateur" de Donald Trump, grâce à Philippe Corbé. J'en sais...
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  • HarperValley 18/02/2019
    Qui a tué Mary Meyer? Cette femme de la haute société new-yorkaise a été le grand amour de Jack Kennedy. Elle a été assassinée un an après la mort de son amant, alors qu'elle n'a jamais caché ses doutes quant aux conclusions de la commission Warren. Selon ses proches, elle tenait un journal qui n'a jamais été retrouvé. Alexandra Echkenazi écrit ici son journal fictif et dresse le portrait d'une femme moderne pour son époque, d'une femme amoureuse, d'une femme libre. Cette immersion dans l'Amérique des années 60 est passionnante: l'émancipation de la femme, les tentatives d'apaisement dans les relations Est/Ouest, la fin de la ségrégation raciale.... On découvre ici le contexte dans lequel Kennedy a exercé son mandat, les décisions qu'il a du prendre dans un contexte international tendu et qui ne lui ont pas valu que des amis. Le style littéraire ne casse pas des briques, j'ai trouvé que l'histoire d'amour sonnait un peu creux, mais peut être est-ce un effet voulu par l'auteur. On lit un journal intime, pas d'un classique de la littérature. Bien que l'on connaisse le tragique destin de Mary, les pages se tournent facilement et le lecteur se laisse prendre au jeu de cette histoire d'amour. J'ai refermé ce livre avec un peu de frustration ne pouvant démêler le vrai du faux, les faits réels de ce qui est sorti de l'imagination de l'auteur. C'est un roman plaisant à lire qui rajoute une pierre au mystère entourant la mort de Kennedy.Qui a tué Mary Meyer? Cette femme de la haute société new-yorkaise a été le grand amour de Jack Kennedy. Elle a été assassinée un an après la mort de son amant, alors qu'elle n'a jamais caché ses doutes quant aux conclusions de la commission Warren. Selon ses proches, elle tenait un journal qui n'a jamais été retrouvé. Alexandra Echkenazi écrit ici son journal fictif et dresse le portrait d'une femme moderne pour son époque, d'une femme amoureuse, d'une femme libre. Cette immersion dans l'Amérique des années 60 est passionnante: l'émancipation de la femme, les tentatives d'apaisement dans les relations Est/Ouest, la fin de la ségrégation raciale.... On découvre ici le contexte dans lequel Kennedy a exercé son mandat, les décisions qu'il a du prendre dans un contexte international tendu et qui ne lui ont pas valu que des amis. Le style littéraire ne casse pas des briques, j'ai trouvé que l'histoire d'amour sonnait un peu creux, mais peut être est-ce un effet voulu par l'auteur. On lit un journal intime, pas d'un classique de la littérature. Bien que l'on connaisse le tragique destin de Mary, les pages se tournent facilement et le lecteur se laisse prendre au jeu de cette histoire...
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  • prettyrosemary 15/02/2018
    Ce roman se dévore littéralement. Entre le journal que tient Mary et les missives de Kennedy, Alexandra Echkenazi nous propose un récit très rythmé, qui donne l’impression que les pages se tournent toutes seules. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu une aussi belle histoire d’amour, tellement touchante, tellement authentique. JFK est irrésistible en séducteur chétif, en loser sublime, et surtout l’auteure en a fait un personnage vraiment drôle. On connait le mystère qui entoure l’assassinat de Kennedy, il en va de même pour Mary, qui, un an plus tard, connaitra une fin tragique. Et pour cause, Miss Meyer a de grands projets pour son pays et à travers son amant, dans le secret du bureau ovale, c’est un peu de sa voix qui est portée… Une voix dissonante, une voix qui gêne à l’heure de la chasse aux sorcières communistes et des tensions avec l’URSS. En évoquant ce mystère de l’histoire des Etats-Unis, Le Journal de Mary emprunte au thriller et on ne peut s’empêcher de trembler parce qu’on sait ce qui va arriver, mais ces pressions, ce climat de paranoïa, Alexandra Echkenazi les orchestre d’une main de maitre. Quand je l’ai commencé, j’ai d’abord trouvé l’écriture très accessible et fluide, mais bon, je me suis dit, « je ne suis pas bluffée ». Et puis, très vite, et notamment quand les choses se corsent pour la divine Mary, tu te rends compte qu’il y a ce je-ne-sais-quoi dans cette plume, ce petit talent très personnel pour appuyer pile là où ça fait mal et te faire quelque chose à l’intérieur.Ce roman se dévore littéralement. Entre le journal que tient Mary et les missives de Kennedy, Alexandra Echkenazi nous propose un récit très rythmé, qui donne l’impression que les pages se tournent toutes seules. Cela faisait longtemps que je n’avais pas lu une aussi belle histoire d’amour, tellement touchante, tellement authentique. JFK est irrésistible en séducteur chétif, en loser sublime, et surtout l’auteure en a fait un personnage vraiment drôle. On connait le mystère qui entoure l’assassinat de Kennedy, il en va de même pour Mary, qui, un an plus tard, connaitra une fin tragique. Et pour cause, Miss Meyer a de grands projets pour son pays et à travers son amant, dans le secret du bureau ovale, c’est un peu de sa voix qui est portée… Une voix dissonante, une voix qui gêne à l’heure de la chasse aux sorcières communistes et des tensions avec l’URSS. En évoquant ce mystère de l’histoire des Etats-Unis, Le Journal de Mary emprunte au thriller et on ne peut s’empêcher de trembler parce qu’on sait ce qui va arriver, mais ces pressions, ce climat de paranoïa, Alexandra Echkenazi les orchestre d’une main de maitre. Quand je l’ai commencé, j’ai d’abord trouvé l’écriture très accessible et...
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  • Roudoul 26/12/2017
    Livre vraiment très instructif et montrant un aspect totalement inattendu de la personnalité du président Kennedy que nous pensions incapable d'aimer une femme d'après tous les ouvrages parus très souvent sur lui.
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