« Un livre profondément déroutant, qui, avec finesse, rebat les cartes du roman américain. [...] Ode à la littérature, Les Jours de silence est un puissant élixir mélancolique qui tord les tripes, renvoie aux affres du temps qui passe, à l'absurdité de la vie, mais qui donne aussi les clefs de la consolation et la sérénité. »
Philippe Chevilley / Les Echos
« Un texte âpre et somptueux, tout imprégné de tristesse languide.»
Fabrice Colin / Le Magazine Littéraire
« Un des plus beaux livres sur les liens familiaux que vous lirez en cette rentrée. »
Gladys Marivat / Lire
« On se laisse facilement gagner par la mélancolie et le mystère qui tissent l'atmosphère de ce premier roman au souffle puissant. »
Paloma de Boismorel / Gaël
« À sa façon, Les Jours de silence offre le plaisir des romans d’autrefois, ce mélange d’intimité et d’ampleur, et cette certitude que les familles sont des destinées à part entière. La prose, si joliment détaillée, est de celle qui vous emporte dans le récit… Voilà un roman qui porte la marque d’un indéniable talent. »
The New York Times Book Review
« Les fantômes les plus terribles ne se cachent pas les maisons, mais dans notre esprit. Et c’est justement ce que nous rappelle Les Jours de silence. Au cœur d’un paysage psychologique escarpé apparaît un Sud gothique d’une grande beauté, infusé de poésie vernaculaire et de personnages tout prêts à crever la page. En explorant ce chemin fait de profondes descentes et de remontées, Phillip Lewis tisse un roman rempli d’un puissant espoir : le lecteur ne peut que le suivre, pris au piège de ses mots. »
Matthew Thomas, auteur de Nous ne sommes pas nous-mêmes
"Avec une ampathie contagieuse pour ses personnages, Lewis démêle les liens complexes de l'amour filial et compose une vibrante élégie à son pays natal".
Véronique Cassarin-Grand / L'OBS
"Mystérieux, atmosphérique, d'une belle écriture maîtrisée et limpide, un premier roman enchanteur et attachant sur les mystères de l'écriture".
Isabelle Potel / Madame Figaro
"Voici de la littérature américaine comme on l'aime".
Fanny Del Volta / Point de vue
« Phillip Lewis a le don de la narration. [...] un récit palpitant dont le sujet douloureux aborde l'incapacité à communiquer et l'inaptitude à nommer l'essentiel dans une famille isolée de Caroline du Nord. [...]. [L'auteur] entretient le suspense jusqu'au bout, il a le sens des rebondissements et tient son lecteur en haleine grâce à une imagination débridée qu'il distille habilement ».
M.-D. R. / Focus Vif (Belgique)
"[Phillip Lewis] nous fait partager avec tendresse et pudeur tous ces moments de bonheur et de tristesse qui forgent une existence et dirigent nos pas. Un très émouvant roman sur la famille et la littérature. Magnifique !"
Jean-Paul Guéry / Le courrier de l'ouest
"L'Intime et le psychologique prennent l'ampleur d'un torrent se heurtant aux rives de la fatalité familiale, et se déversant dans des paysages crépusculaires ,incandescents.
Un somptueux roman d'apprentissage hanté par la littérature ! "
Copyright Page des Libraires septembre 2018
Béatrice Putegnat / Librairie des Cyclades 92210 Saint Cloud
~On se laisse emporter sans même s'en apercevoir dans cette fresque américaine mettant en scène trois générations qui vivent et s'aiment dans une petite ville de Caroline du Nord, là où le rude climat ne peut être combattu que par la chaleur de la littérature.
Aux côtés du petit Henry, on erre dans les couloirs de son inquiétante maison-vautour, tout droit sortie d'une nouvelle de Poe, hantée par les grommellements d'un père charismatique, écrivain sans oeuvre, aussi fascinant qu'imprévisible.
Et puis il y a l'amour, celui que Henry rencontrera à la fac en cherchant à fuir ce trou perdu qui l'a vu grandir. Mais peut-on être autre chose que le fruit des paysages d'où l'on vient ?
Cette ténébreuse et envoûtante saga familiale est une vraie réussite, qui sait varier les registres, doser les émotions, et agripper le lecteur avec un suspens discret. Le premier roman pénétrant d'un auteur à suivre.
Grégoire Courtois / Librairie Obliques 89000 Auxerre
"Phillip Lewis nous bouleverse avec ce premier roman imprégné de nostalgie. [...] Une belle interrogation sur le poids du passé et les destins manqués".
Héloïse Goy / Télé 7 jours
"Une belle réussite".
Jean-Claude Vantroyen / Le Soir (Belgique)
« Lewis aborde avec finesse le mythe du grand roman américain et les vies hantées par les rêves trop sublimes ».
Frédérique Bréhaut / Le Maine Libre
"Qu'est-ce que le Grand Roman Américain ? Lewis ne craint pas de s'y frotter. Il fait ça avec un mélange de souffle et de modestie. [...] Un vaste sentiment de perte, d'innocence bafouée traverse ces pages d'un naturel confondant".
Éric Neuhoff / Le Figaro Littéraire
Ce beau roman d’apprentissage est un portrait complexe d’une famille des Appalaches qui débute dans les années 50.
Henry Aster, est un homme de lettres qui vit entouré de livres, en décalage complet avec sa famille. Obsédé par l’écriture de son livre et par sa mère, il fonde une famille dans une maison peuplée de fantômes et transmet l’amour des livres à ses enfants. Lorsque se mère meure, Henri Aster va tout quitter et s’enfuir. Son fils Henri junior va partir également sur les traces de ce père absent.
Une histoire passionnante ou les personnages sont pudiques, bloqués par des sentiments contradictoires, à la recherche de leur identité profonde.
Librairie Bisey