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Les Temps difficiles
William Hugues (traduit par), Philippine Voltarino (avec la collaboration de), Alfred Dumesnil (préface de)
Date de parution : 06/09/2017
Éditeurs :
Archipoche

Les Temps difficiles

William Hugues (traduit par), Philippine Voltarino (avec la collaboration de), Alfred Dumesnil (préface de)
Date de parution : 06/09/2017
Mr Gradgrind est un homme éminemment « pratique », qui ne connaît dans la vie que les faits, rien que les faits. Il a fondé une école où l’on enseigne... Mr Gradgrind est un homme éminemment « pratique », qui ne connaît dans la vie que les faits, rien que les faits. Il a fondé une école où l’on enseigne à lire et à écrire, mais surtout à compter. Il se méfie de l’imagination, méprise le rire autant que les... Mr Gradgrind est un homme éminemment « pratique », qui ne connaît dans la vie que les faits, rien que les faits. Il a fondé une école où l’on enseigne à lire et à écrire, mais surtout à compter. Il se méfie de l’imagination, méprise le rire autant que les larmes, et tient l’oisiveté pour mère de tous les vices.Tom et Louisa, ses deux enfants, sont élevés selon ces durs principes. Et pour leur plus grand bien : le premier est engagé dans la banque de Mr Bounderby, qui règne en despote sur les usines de Coketown, tandis que sa sœur, bien malgré elle, devient la femme de ce bourgeois bouffi d’orgueil...Mais sous l’apparence de la vertu, Tom dissimule une nature vénale, tandis que Louisa réprime ses émotions jusqu’au mensonge. L’irruption à Coketown d’un curieux candidat à la députation, dandy et séducteur, va dérégler le beau « système Gradgrind » et déclencher une série de catastrophes...Satire terrible et drôle du matérialisme de l’Angleterre industrielle, Les Temps difficiles (1854) choisit ses vrais héros parmi le peuple des fabriques. Dickens y donne vie à des personnages inoubliables, tels la ridicule Mrs Sparsit, le malheureux ouvrier Blackpool, ou encore la touchante Sissy Jupe, enfant abandonnée par un cirque ambulant... 
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EAN : 9782377350728
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 358
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782377350728
Façonnage normé : EPUB3
Nombre de pages : 358
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • hervethro 20/11/2022
    Pour Dickens, et d’une manière généralement admise aujourd’hui après les efforts déployés par Françoise Dolto, tout se joue dans l’enfance. Ses héros, Oliver Twist, David Copperfield ou Nicolas Nickleby, devenus de véritables connaissances au fil de leurs pérégrinations, en sont la preuve par quatre. Dans les Temps Difficiles, l’auteur s’arrête moins sur des gamins difficiles ou maltraités que sur cette part d’enfance que chacun porte en soi. La part d’imagination, de fantaisie qui est l’apanage de la jeunesse et que certains, trop nombreux pour ne pas dire quasiment tous, perdent avec l’accumulation des années, des responsabilités, une respectabilité… (Ce ne sont pas les vieux que je n’aime pas mais ce qui les fait vieillir). Thomas Gradgrind est un homme cartésien. L’incarnation humaine des faits et des chiffres. Pas de place pour les sentiments ou autres fredaines trop originales pour son esprit aussi sec et implacable qu’une table de multiplication. Mr Gradgrind a trois enfants (pourquoi trois d’ailleurs puisque la puinée est quasiment inexistante dans le roman?) et on va assister aux résultats d’une éducation dialectique. De ses méfaits indélébiles. Le garçon finira mal, tandis que la fille prendra sur elle, cachant si bien ses sentiments qu’ils s’étioleront, notamment au contact de son époux, un industriel pour qui, une fois de plus, deux et deux font quatre et pas une virgule de trop. On y rencontre aussi deux personnages à l’opposé de cette rigueur des sentiments. Une fille de cirque, abandonnée par son père mais à la façon dont quelqu’un qui se noie lâcherait la main afin qu’elle ne sombre pas avec lui. Et un ouvrier plein de bonté et d’une fierté, d’une droiture qu’on ne rencontre guère dans les hautes sphères de la société anglaise du XIXème. Tout ce petit monde s’entrechoque dans une ville minière dépeinte à la perfection comme la bouche de l’enfer. On n’a aucune peine à se projeter dans cet univers, le talent de Dickens faisant mouche à chaque fois. On en ressort avec un cœur meilleur. Voilà la magie de la lecture. Pour Dickens, et d’une manière généralement admise aujourd’hui après les efforts déployés par Françoise Dolto, tout se joue dans l’enfance. Ses héros, Oliver Twist, David Copperfield ou Nicolas Nickleby, devenus de véritables connaissances au fil de leurs pérégrinations, en sont la preuve par quatre. Dans les Temps Difficiles, l’auteur s’arrête moins sur des gamins difficiles ou maltraités que sur cette part d’enfance que chacun porte en soi. La part d’imagination, de fantaisie qui est l’apanage de la jeunesse et que certains, trop nombreux pour ne pas dire quasiment tous, perdent avec l’accumulation des années, des responsabilités, une respectabilité… (Ce ne sont pas les vieux que je n’aime pas mais ce qui les fait vieillir). Thomas Gradgrind est un homme cartésien. L’incarnation humaine des faits et des chiffres. Pas de place pour les sentiments ou autres fredaines trop originales pour son esprit aussi sec et implacable qu’une table de multiplication. Mr Gradgrind a trois enfants (pourquoi trois d’ailleurs puisque la puinée est quasiment inexistante dans le roman?) et on va assister aux résultats d’une éducation dialectique. De ses méfaits indélébiles. Le garçon finira mal, tandis que la fille prendra sur elle, cachant si bien ses sentiments qu’ils s’étioleront, notamment au contact...
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  • Chocolatiine 22/12/2020
    La vie n'est guère amusante dans l'Angleterre de la Révolution industrielle. D'un côté, le monde ouvrier est représenté par Stephen Blackpool et Rachael, que leur honnêteté et leur courage au travail ne sauveront pas d'une existence d'infortunes, illuminée seulement par la conscience de leur amour réciproque - mais impossible. Marié à une grande alcoolique, écarté de son usine pour avoir refusé de rejoindre le mouvement syndicat, accusé d'un vol à la Banque, il ne connaîtra jamais le bonheur avec la femme qu'il aime. De l'autre côté, le monde bourgeois ne se porte pas mieux. Louisa et Thomas, éduqués dans le système prétendu infaillible de leur père, exclusivement basé sur les faits et méprisant les sentiments, ne seront eux non plus jamais heureux. Désespoir pour l'une, déshonneur pour l'autre, aucun d'eux ne s'en tirera comme l"aurait souhaité leur père. Si ce roman laisse la sensation que tout le monde finit malheureux, il n'en reste pas moins extrêmement intéressant. Avec une pointe d'humour et d'ironie, Charles Dickens met en scène les conflits sociaux du XIXème siècle d'une main de maître. Mention spéciale pour l'équipe Josiah Bounderby de Coketown, le prétendu self-made man, et Mrs Sparsit, qui est assurément d'une bouffonnerie extraordinaire. La lecture en version originale a été rendue ardue par l'emploi fréquent de l'anglais populaire ancien là où cela était opportun. Cela reste néanmoins faisable et je ne doute pas que la version française soit très agréable à lire.La vie n'est guère amusante dans l'Angleterre de la Révolution industrielle. D'un côté, le monde ouvrier est représenté par Stephen Blackpool et Rachael, que leur honnêteté et leur courage au travail ne sauveront pas d'une existence d'infortunes, illuminée seulement par la conscience de leur amour réciproque - mais impossible. Marié à une grande alcoolique, écarté de son usine pour avoir refusé de rejoindre le mouvement syndicat, accusé d'un vol à la Banque, il ne connaîtra jamais le bonheur avec la femme qu'il aime. De l'autre côté, le monde bourgeois ne se porte pas mieux. Louisa et Thomas, éduqués dans le système prétendu infaillible de leur père, exclusivement basé sur les faits et méprisant les sentiments, ne seront eux non plus jamais heureux. Désespoir pour l'une, déshonneur pour l'autre, aucun d'eux ne s'en tirera comme l"aurait souhaité leur père. Si ce roman laisse la sensation que tout le monde finit malheureux, il n'en reste pas moins extrêmement intéressant. Avec une pointe d'humour et d'ironie, Charles Dickens met en scène les conflits sociaux du XIXème siècle d'une main de maître. Mention spéciale pour l'équipe Josiah Bounderby de Coketown, le prétendu self-made man, et Mrs Sparsit, qui est assurément d'une bouffonnerie extraordinaire. La lecture en version originale a...
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  • Melpomene125 03/05/2019
    Charles Dickens utilise le conte et la satire pour évoquer les problèmes que pose le début de la révolution industrielle au XIXe siècle. L’action se déroule à Coketown (la ville du charbon) qui n’est autre que Manchester. Ce roman me semble moins connu que les autres œuvres de Dickens comme David Copperfield, Oliver Twist, De Grandes espérances ou Un chant de Noël mais il pose des questions essentielles, en résonance avec notre époque, à travers l’histoire de personnages dont le nom est choisi avec humour : M. Bounderby (plastronneur), Mrs Sparsit (avarice) ou encore M. Gradgrind (moudre), pour faire rire et réfléchir à la fois. Josiah Bounderby est un riche industriel qui prétend être parti de rien et avoir construit son empire seul, à la force du poignet qui l’a sorti du ruisseau où une mère indigne l’avait abandonné. M. Gradgrind tient une école où il forme les élèves à avoir l’esprit pratique, à ne se soucier que des « FAITS », à être rationnels et à bannir l’imagination et les distractions qui vont avec. Ses enfants, Louisa et Tom, sont élevés ainsi, suivant les doctrines utilitaristes et matérialistes car M. Gradgrind est persuadé que ce choix les rendra heureux. Aussi les punit-il quand il les surprend en train de regarder en cachette un cirque itinérant. Qui les a pervertis ? Sissy, la fille d’un de ces saltimbanques. Son père vient de l’abandonner. Il ne réussissait plus aucun de ses numéros. Sissy croit qu’il l’aimait, voulait son bonheur et ne voulait pas l’entraîner dans sa chute. Thomas Gradgrind va se charger de son éducation et Sissy accepte, pensant que son père désirait un avenir meilleur pour sa fille. Qui sera heureux, malheureux ? Le pragmatisme et la raison mènent-ils forcément à réussir sa vie et donc au bonheur ? Épouser un homme qu’on n’aime pas parce que c’est un bon parti, qu’on n’a reçu aucune autre demande et qu’il peut placer ton frère à la banque est un choix logique, raisonnable. Est-ce pour autant le chemin de la réussite de son mariage et du bonheur ? Un emploi à la Banque, dans les affaires, la statistique et les chiffres, est-ce forcément l’accomplissement d’une vie ? Je trouve qu’il y a beaucoup de modernité dans cette œuvre de Dickens et des questions qui sont encore valables aujourd’hui sur l’idéologie et le sectarisme. Le pragmatisme et la raison sont un système de pensée. M. Gradgrind a construit toute son existence et l’éducation de ses enfants sur ce système. Il ne voulait pas faire le malheur de Louisa et Tom. Sissy aura-t-elle un meilleur destin ? J’ai apprécié passer quelque temps en leur compagnie. Leur histoire m’a émue et fait réfléchir. Ce roman est, pour moi, d’une grande profondeur dans les questions qu’il amène le lecteur à se poser, notamment celle de la place de la liberté à travers le personnage, entre autres, de Stephen Blackpool, un ouvrier accusé de vol qui paie cher son insoumission puisqu’il est obligé de fuir et est en butte à l’hostilité à la fois des patrons et des ouvriers, après avoir refusé de participer à leur syndicat. Charles Dickens utilise le conte et la satire pour évoquer les problèmes que pose le début de la révolution industrielle au XIXe siècle. L’action se déroule à Coketown (la ville du charbon) qui n’est autre que Manchester. Ce roman me semble moins connu que les autres œuvres de Dickens comme David Copperfield, Oliver Twist, De Grandes espérances ou Un chant de Noël mais il pose des questions essentielles, en résonance avec notre époque, à travers l’histoire de personnages dont le nom est choisi avec humour : M. Bounderby (plastronneur), Mrs Sparsit (avarice) ou encore M. Gradgrind (moudre), pour faire rire et réfléchir à la fois. Josiah Bounderby est un riche industriel qui prétend être parti de rien et avoir construit son empire seul, à la force du poignet qui l’a sorti du ruisseau où une mère indigne l’avait abandonné. M. Gradgrind tient une école où il forme les élèves à avoir l’esprit pratique, à ne se soucier que des « FAITS », à être rationnels et à bannir l’imagination et les distractions qui vont avec. Ses enfants, Louisa et Tom, sont élevés ainsi, suivant les doctrines utilitaristes et matérialistes car M. Gradgrind est persuadé que ce choix les rendra heureux. Aussi...
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  • LesLecturesDeLaDiablotine 18/10/2017
    "Les Temps difficiles" nous mène aux débuts de la révolution industrielle qui transforme l'aimable campagne anglaise en un pandémonium d'usines, de canaux, d'installations minières, de fabriques, d'entrepôts, de banlieues misérables où vit à la limite de la survie le prolétariat le plus exploité qui sans doute fût jamais. Sous un ciel de suie, Coketown, la ville du charbon qui est en réalité la ville de Manchester nous montre l'image de l'enfer que vit la classe ouvrière qui n'était clairement pas préparée et qu'elle apparaît comme la victime toute désignée de politiciens sans scrupules et d'une bourgeoisie, parfois compatissante et troublée dans son confort moral, mais toujours persuadée de la divinité de ses droits. Monsieur Gradgind a donné à ses enfants Tom et Louisa, une éducation où l'utilitarisme est le maître mot et où le divertissement est banni. De cet enseignement, Tom travaillera dans une banque et Louisa épousera un homme nanti, égoïste et bien plus âgé qu'elle ! C'est un mariage de raison et de convention et non un mariage d'amour jusqu'au jour où ce jeune dandy, Harthouse va venir mettre en branle ce mariage de raison et cette éducation stricte que fut celle de Louisa... "Les Temps Difficiles" n'est pas le roman de Dickens le plus connu mais il est activement engagé dans le social en dénonçant à travers son ouvrage l'éducation stricte des jeunes anglais, l'exploitation des petites gens par la classe sociale supérieure. On retrouve dans ce livre le plaisir de lire Dickens avec son humour qui lui est propre, et ce, malgré un thème sombre et ses personnages marquants. Je ne vous parle pas de la plume de l'auteur, comme vous devez vous en douter, il n'y aucune fausse note pour ce grand Monsieur. C'est un classique que je vous conseille de lire, de découvrir ou de redécouvrir."Les Temps difficiles" nous mène aux débuts de la révolution industrielle qui transforme l'aimable campagne anglaise en un pandémonium d'usines, de canaux, d'installations minières, de fabriques, d'entrepôts, de banlieues misérables où vit à la limite de la survie le prolétariat le plus exploité qui sans doute fût jamais. Sous un ciel de suie, Coketown, la ville du charbon qui est en réalité la ville de Manchester nous montre l'image de l'enfer que vit la classe ouvrière qui n'était clairement pas préparée et qu'elle apparaît comme la victime toute désignée de politiciens sans scrupules et d'une bourgeoisie, parfois compatissante et troublée dans son confort moral, mais toujours persuadée de la divinité de ses droits. Monsieur Gradgind a donné à ses enfants Tom et Louisa, une éducation où l'utilitarisme est le maître mot et où le divertissement est banni. De cet enseignement, Tom travaillera dans une banque et Louisa épousera un homme nanti, égoïste et bien plus âgé qu'elle ! C'est un mariage de raison et de convention et non un mariage d'amour jusqu'au jour où ce jeune dandy, Harthouse va venir mettre en branle ce mariage de raison et cette éducation stricte que fut celle de Louisa... "Les Temps Difficiles" n'est pas le...
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  • zembla 26/05/2012
    Dans la ville (imaginaire) de Coketown, Monsieur Gradgind a enseigné a ses enfants tom et Louisa une éducation où l'utilitarisme est le maître mot et où le divertissement est banni. De cet enseignement en sortira un fils qui travaillera dans une banque et une fille qui épousera un homme nanti, égoïste et de surcroît de 35 ans son aîné. Un mariage sans amour mais pragmatique jusqu'au jour où un jeune dandy rentre en scène, Harthouse et risque de faire voler en éclat cette éducation. Pas le roman de Dickens le plus connu mais sûrement le plus engagé socialement par une dénonciation de l'éducation rationnelle pratiquée sur les jeunes anglais et l'exploitation des plus démunis par les classes dominantes. On suit l'évolution de cette famille tenant de l'utilitarisme en voyant le résultat de cette philosophie, le camp des ouvriers n'étant représenté que par des personnages marquants mais secondaires.Ce livre est un livre a charge et revendiqué comme tel où l'on voit le fossé qui sépare les nantis et les pauvres. On retrouve dans ce livre le plaisir de lire du Dickens avec son humour malgré un thème sombre et ses personnages marquants. La qualité d'écriture est parfaite avec cette aptitude a dresser le portrait d'un personnage en quelques mots et tournures bien senties et de nous décrire un paysage en quelques phrases. Un classique a (re)découvrir pour un plaisir de lecture complet et qui me donne envie de relire ses oeuvres phares comme "Oliver Twist" et "David Copperfield". Dans la ville (imaginaire) de Coketown, Monsieur Gradgind a enseigné a ses enfants tom et Louisa une éducation où l'utilitarisme est le maître mot et où le divertissement est banni. De cet enseignement en sortira un fils qui travaillera dans une banque et une fille qui épousera un homme nanti, égoïste et de surcroît de 35 ans son aîné. Un mariage sans amour mais pragmatique jusqu'au jour où un jeune dandy rentre en scène, Harthouse et risque de faire voler en éclat cette éducation. Pas le roman de Dickens le plus connu mais sûrement le plus engagé socialement par une dénonciation de l'éducation rationnelle pratiquée sur les jeunes anglais et l'exploitation des plus démunis par les classes dominantes. On suit l'évolution de cette famille tenant de l'utilitarisme en voyant le résultat de cette philosophie, le camp des ouvriers n'étant représenté que par des personnages marquants mais secondaires.Ce livre est un livre a charge et revendiqué comme tel où l'on voit le fossé qui sépare les nantis et les pauvres. On retrouve dans ce livre le plaisir de lire du Dickens avec son humour malgré un thème sombre et ses personnages marquants. La qualité d'écriture est parfaite avec cette aptitude a dresser...
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