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Pas de pitié pour les neveux, Jeeves
Claude Alengry (traduit par)
Date de parution : 03/03/2022
Éditeurs :
10/18

Pas de pitié pour les neveux, Jeeves

Claude Alengry (traduit par)
Date de parution : 03/03/2022

Sur ordre du médecin, Bertram Wooster est parti se mettre au vert dans la délicieuse campagne anglaise. Mais c'était compter sans le petit monde qui gravite autour de lui :...

Sur ordre du médecin, Bertram Wooster est parti se mettre au vert dans la délicieuse campagne anglaise. Mais c'était compter sans le petit monde qui gravite autour de lui : Vanessa Cook, une ex-fiancée pour le moins entreprenante, tante Dahlia, qui s'est mise en tête de truquer le Derby à...

Sur ordre du médecin, Bertram Wooster est parti se mettre au vert dans la délicieuse campagne anglaise. Mais c'était compter sans le petit monde qui gravite autour de lui : Vanessa Cook, une ex-fiancée pour le moins entreprenante, tante Dahlia, qui s'est mise en tête de truquer le Derby à l'aide d'un vulgaire matou ; le père de Vanessa, qui ne sort jamais sans le majordome Plank, lequel a perdu tout sens commun depuis ses séjours en Afrique équatoriale... Des vacances comme on n'en souhaite pas à son pire ennemi !

« Si vous cherchez une définition de l'humour anglais, vous risquez de vous casser les dents. Mais si vous cherchez un roman plein de cet humour, prenez celui de Wodehouse. »
Libération

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EAN : 9782823874648
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe
EAN : 9782823874648
Façonnage normé : EPUB3
DRM : DRM Adobe

Ils en parlent

« Si vous cherchez une définition de l'humour anglais, vous risquez de vous casser les dents. Mais si vous cherchez un roman plein de cet humour, prenez celui de Wodehouse : les lieux sont imprévisibles, les personnages à nul autre pareils et, s'ils entament un dialogue, la repartie qui fuse, celle qui suit et toutes les autres ne sont jamais ce qu'on attend. Inracontable ! »
Libération

« Il faudrait être particulièrement tordu, et avoir l'esprit constipé, pour ne pas apprécier l'humour de P.G. : il est primesautier, simple, bon enfant et, en même temps, subtilement féroce, avec des pointes de non-sens bien réjouissantes. Et puis, diable, Wodehouse sait manier la plume, ce qui n'est pas toujours évident par les temps qui courent ! »
Jean-Baptiste Baronian, Le Vif / L'Express

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • lebelier 01/10/2021
    Comment résumer en peu de mots les aventures inextricables où se fourvoie bien malgré lui notre héros, Bertram Wooster toujours accompagné de son fidèle majordome, Jeeves ? Jeeves a cette particularité de ne s’exprimer qu’avec peu de mots, d’être d’une extrême courtoisie et diplomate jusqu’aux ongles, de ne jamais montrer ses émotions ou alors si peu : un sourcil qui se hausse d’un millimètre ou deux dans le pire des cas. Cette fois-ci, Bertie doit se rendre à la campagne, au calme, à la demande de son médecin qui lui reproche de mener la vie du « parfait jeune mondain » et surtout pour faire disparaître quelques boutons rouges venus éclore sur sa poitrine, signes de sa vie trépidante et dissolue. C’est donc dans le même endroit que sa tante Dahlia y passe sa villégiature chez des amis, les Briscoe. Mais le Destin et le passé rattrapent bien vite notre héros en la personne d’un ancien major, explorateur en Afrique devenu amnésique, de Miss Vanessa Cook, une des nombreuses ex de notre ami dont le père est d’une humeur peu amène ainsi qu’un vieil ami, Orlo Porter amoureux transi de la belle Vanessa. Les Cook et les Briscoe sont ennemis mortels depuis une vieille histoire mais aussi pour la seule et bonne raison qu’ils ont des chevaux de course concurrents l’un de l’autre dans le derby local. Or il se trouve qu’un chat demeurant chez les Cook s’est pris d’amitié avec leur cheval et doit rester à demeure pour conserver l’animal en bonne forme, sinon, sans le chat, il déprime. Il y va de l’enjeu de la course elle-même. Tout irait pour le mieux si la tante Dahlia n’avait pas misé une grosse somme sur le cheval des Briscoe et ne s’était pas mise en tête de faire enlever ledit matou. Bertie va se trouver bien sûr mêlé à tout ça à son corps défendant de quiproquos en quiproquos, de malentendus en malentendus, le calme de la campagne est vite un enfer pour notre pauvre héros. Jeeves disparaît un moment dans cette histoire pour aller lui aussi voir sa tante qui demeure dans ce fameux village de Maiden Eggesford et revient en fin de parcours pour rajouter des éléments au puzzle et laisser finalement Bertie, résoudre le problème. On dirait que sa seule présence rassure tant notre héros, qu’il fait les réflexions seul avec les informations que Jeeves lui communique. C’est le dernier « Jeeves » de la collection « Omnibus » en français, paru en 1974, un an avant la mort de l’auteur, et il semblerait que Jeeves soit mis de plus en plus mis sur la touche face à un Wooster bouillonnant qui prend du poil de la bête en se comportant, comme il le prétend toujours selon le « code des Wooster » (jamais de délation) ainsi qu’un « preux ». Un délice de lecture toujours retrouvé, cela va sans dire. Comment résumer en peu de mots les aventures inextricables où se fourvoie bien malgré lui notre héros, Bertram Wooster toujours accompagné de son fidèle majordome, Jeeves ? Jeeves a cette particularité de ne s’exprimer qu’avec peu de mots, d’être d’une extrême courtoisie et diplomate jusqu’aux ongles, de ne jamais montrer ses émotions ou alors si peu : un sourcil qui se hausse d’un millimètre ou deux dans le pire des cas. Cette fois-ci, Bertie doit se rendre à la campagne, au calme, à la demande de son médecin qui lui reproche de mener la vie du « parfait jeune mondain » et surtout pour faire disparaître quelques boutons rouges venus éclore sur sa poitrine, signes de sa vie trépidante et dissolue. C’est donc dans le même endroit que sa tante Dahlia y passe sa villégiature chez des amis, les Briscoe. Mais le Destin et le passé rattrapent bien vite notre héros en la personne d’un ancien major, explorateur en Afrique devenu amnésique, de Miss Vanessa Cook, une des nombreuses ex de notre ami dont le père est d’une humeur peu amène ainsi qu’un vieil ami, Orlo Porter amoureux transi de la belle Vanessa. Les Cook et les Briscoe sont ennemis...
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  • 4car 04/11/2014
    P GWodehouse , que je révise actuellement , est un écrivain prolifique dont l'art culmine dans la série où Jeeves mène la danse . Dans un anglais parfaitement anglais , Wodehouse fait sa cuisine ; en voici les ingrédients principaux : - un jeune rentier pommadin pas très futé , cultivé pas plus , amateur en matière d'habillement de petites touches personnelles , de faire la bombe aussi , en conséquence pas franchement abstène , fermement opposé au mariage ( une des ses activités principales est de se dépêtrer de fiançailles contractées par étourderie , chantage ou alcoolémie excessive ), membre actif du Club des Bourdons (!) - un majordome qui lit Spinoza , passe son temps à tirer le pommadin d'affaires délicates ( et en premier lieu les complots de diverses tantes , au nombre de deux ) , résoud tout problème moyennant d'exorbitantes contreparties ( droit de regard sur la couleur des chaussettes , prohibition de la ceinture dite à " l'espagnole ); sa moralité est d'une élasticité remarquable . - deux tantes : La Tante Dahlia , excentrique adorée de son neveu , pratiquant le chantage sans vergogne mais avec entrain (son arme secrète , le cuisinier français Anatole ); elle ne donne pas cher de la perspicacité du dit-neveu mais l'aime tendrement . La Tante Agatha terrifie le pauvret , il dit d'elle qu'elle "se nourrit de tessons de bouteilles et tue les rats avec les dents " , tout un programme ... - diverses jeunes filles à vélo et à petit frère abject ( mais n'est-ce pas là le lot de tout petit frère ? ) - des petits chiens hargneux, friands de mollets ( ces petits chiens sont généralement livrés en kit avec les jeunes filles à vélo.) - des policiers aussi zélès que suspicieux ; leurs réactions sont toutefois peu rapides . - une nièce de Juge montée en graine qui croit qu'une étoile naît quand éternue une fée - un Juge à grosse tête . Toute cette faune évolue de Londres à Blandings , dans le Shropshire , lève le coude , échappe à des mariages , tombe dans des mares , incendie des cottages , collectionne des pots d'argent ( hollandais moderne à éviter ) ou range des saumons sous les lits . Wodehouse dose ces ingrédients à son idée , la recette" n'est jamais ni tout-à-fait la même , ni tout-à-fait une autre ", la sauce est dite à la loufoque , on se régale à chaque fois et , pour ma part , je n'ai jamais eu d'indigestion .P GWodehouse , que je révise actuellement , est un écrivain prolifique dont l'art culmine dans la série où Jeeves mène la danse . Dans un anglais parfaitement anglais , Wodehouse fait sa cuisine ; en voici les ingrédients principaux : - un jeune rentier pommadin pas très futé , cultivé pas plus , amateur en matière d'habillement de petites touches personnelles , de faire la bombe aussi , en conséquence pas franchement abstène , fermement opposé au mariage ( une des ses activités principales est de se dépêtrer de fiançailles contractées par étourderie , chantage ou alcoolémie excessive ), membre actif du Club des Bourdons (!) - un majordome qui lit Spinoza , passe son temps à tirer le pommadin d'affaires délicates ( et en premier lieu les complots de diverses tantes , au nombre de deux ) , résoud tout problème moyennant d'exorbitantes contreparties ( droit de regard sur la couleur des chaussettes , prohibition de la ceinture dite à " l'espagnole ); sa moralité est d'une élasticité remarquable . - deux tantes : La Tante Dahlia , excentrique adorée de son neveu , pratiquant le chantage sans vergogne mais avec entrain (son arme secrète , le cuisinier français Anatole ); elle ne...
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  • isabellelemest 13/08/2014
    Lecture d'été s'il en est, Aunts aren't gentlemen du célèbre humoriste anglais Wodehouse, devenu une sorte d'icône de l'humour pince sans rire "tongue in cheek" de nos voisins d'Outre-Manche, ne donne pas mal à la tête. Les protagonistes sont des héros récurrents, le jeune blanc bec de bonne famille Bertie Wooster et son valet de chambre discret, cultivé et perspicace, Jeeves, vont affronter des imbroglios entretenus à plaisir pour donner à l'auteur l'opportunité de faire briller son esprit et ses bons mots. Invité par son médecin à faire retraite à la campagne dans l'intérêt de sa santé, Bertie cède à l'invitation d'une tante et loue un cottage non loin de chez elle. Mais il est question de paris sur une course hippique locale et l'atout maître des parieurs se trouve être un chat, improbable ami d'un des purs-sangs et sans lequel celui-ci ne saurait s'entraîner. Apparaît aussi une héritière en pleine crise de dépit amoureux, fille de l'irascible propriétaire du trotteur. S'ensuit une cascade de quiproquos et de mésaventures, avec des plongeons dans la boue, des adversaires ligotés dans des nappes, un tableau enfoncé sur leur tête, mille et une facéties, prétextes à des commentaires d'un imperturbable sang-froid, ou presque. Bref dans ce milieu de la gentry anglaise la plus convenable, les ressorts de l'humour restent très classiques mais pour autant fort détendants. Peu de surprises donc mais un indéniable plaisir, à savourer de préférence en version originale.Lecture d'été s'il en est, Aunts aren't gentlemen du célèbre humoriste anglais Wodehouse, devenu une sorte d'icône de l'humour pince sans rire "tongue in cheek" de nos voisins d'Outre-Manche, ne donne pas mal à la tête. Les protagonistes sont des héros récurrents, le jeune blanc bec de bonne famille Bertie Wooster et son valet de chambre discret, cultivé et perspicace, Jeeves, vont affronter des imbroglios entretenus à plaisir pour donner à l'auteur l'opportunité de faire briller son esprit et ses bons mots. Invité par son médecin à faire retraite à la campagne dans l'intérêt de sa santé, Bertie cède à l'invitation d'une tante et loue un cottage non loin de chez elle. Mais il est question de paris sur une course hippique locale et l'atout maître des parieurs se trouve être un chat, improbable ami d'un des purs-sangs et sans lequel celui-ci ne saurait s'entraîner. Apparaît aussi une héritière en pleine crise de dépit amoureux, fille de l'irascible propriétaire du trotteur. S'ensuit une cascade de quiproquos et de mésaventures, avec des plongeons dans la boue, des adversaires ligotés dans des nappes, un tableau enfoncé sur leur tête, mille et une facéties, prétextes à des commentaires d'un imperturbable sang-froid, ou presque. Bref dans...
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