Une chose à cacher

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• Luria 31/03/2024

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  Je m'étais prévu un petit week-end de pâques au pwal. Polars et petits thriller au menu entre deux chocolats dont le dernier d'Elizabeth George. Le meurtre n'est pas le sujet principal mais plutôt le poids de la culture et des traditions. Comment les intégrer à son pays d'adoption et au monde actuel. Si je ne doute pas que ces mentalités existent toujours, celles qui ont encore des pensées "extrêmes", j'aurais préféré qu'Elizabeth George décrive et crée des personnages aux idées plus nuancées. Du moins j'ai trouvé que certains étaient très clichés ou peu crédibles. D'autres au comportement peu logique aux vues de leur statut. D'habitude elle arrive à créer une ambiance de petit village où on s'attache aux uns aux autres et à leur quotidien tout autant qu'à l'enquête. Cette fois-ci pour moi, ça a raté. Je pense que c'est parce qu'aucun perso n'est vraiment fouillé. Personne ne sort du lot. Et personne n'est sympathique. De même l'atmosphère fait pâle figure par rapport à d'autres de ses bouquins. Jusqu'à la petite séquence flipouille de fin de bouquin qui avait tellement un air de déjà-vu. Bref (non toujours pas) Si ce n'est pas mon roman préféré de la série j'ai aimé retrouver Barbara, Lynley, Nkata and co, c'était chouette de débuter et comprendre que c'était un chapitre les concernant. Par contre, comme ils ne partagent pas le haut de l'affiche on en aperçoit que des bribes. Lynley mésamoureux... Barbara aussi me direz vous, et Nkata qui petit à petit prend de l'épaisseur Néanmoins ça restait une lecture sympathique ou pour une fois je me suis plus attachée à la résolution de l'enquête, qui ne manquait pas de fils pour la lier de diverses façons et la rendre intrigante. Allez je vais laisser quelques lectures avant de reprendre les archives de cette chouette série. Après tout si j'ai moins aimé c'est peut-être aussi parce que c'est le troisième que je lis de façon assez rapprochée. Je m'étais prévu un petit week-end de pâques au pwal. Polars et petits thriller au menu entre deux chocolats dont le dernier d'Elizabeth George. Le meurtre n'est pas le sujet principal mais plutôt le poids de la culture et des traditions. Comment les intégrer à son pays d'adoption et au monde actuel. Si je ne doute pas que ces mentalités existent toujours, celles qui ont encore des pensées "extrêmes", j'aurais préféré qu'Elizabeth George décrive et crée des personnages aux idées plus nuancées. Du moins j'ai trouvé que certains étaient très clichés ou peu crédibles. D'autres au comportement peu logique aux vues de leur statut. D'habitude elle arrive à créer une ambiance de petit village où on s'attache aux uns aux autres et à leur quotidien tout autant qu'à l'enquête. Cette fois-ci pour moi, ça a raté. Je pense que c'est parce qu'aucun perso n'est vraiment fouillé. Personne ne sort du lot. Et personne n'est sympathique. De même l'atmosphère fait pâle figure par rapport à d'autres de ses bouquins. Jusqu'à la petite séquence flipouille de fin de bouquin qui avait tellement un air de déjà-vu. Bref (non toujours pas) Si ce n'est pas mon roman préféré de la série j'ai aimé...

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• domipou 29/03/2024

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  Ce roman aborde le thème de l'excision encore pratiquée dans de nombreux pays et perpétuée dans les pays occidentaux par certaines communautés issues de l'immigration. Ce roman montre bien le poids des traditions chez ces dernières, traditions défendues par des hommes aussi bien que par des mères ... Il décrit aussi la souffrance de ces fillettes ou de ces femmes devenues adultes , marquées dans leur chair et leur féminité. La force de cet ouvrage réside davantage dans cette dénonciation de l'excision et de ses ravages que dans l'intrigue policière autour de la mort de Théo. C'est bien écrit et ça se lit très facilement jusqu'au bout des 600 pages
• marinakip 22/03/2024

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  J'avais lu son premier livre il y a très longtemps et j' avais oublié qu'elle a un vrai talent pour nous captiver ! J'ai adoré le livre et les thèmes abordés (excision, difficultés de couple, tisser des liens entre différentes cultures) et je l'aurais dévoré beaucoup plus vite s'il n'y avait pas eu beaucoup de longueurs. Ce n'est pas les détails qui m'ont dérangée, mais les répétitions (par exemple "elles veulent essayer une opération réparatrice mais elles ont peur d'être déçues", répété je ne sais combien de fois). Il n'empêche que je le recommande vivement !
• Anmoon 28/01/2024

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  C’est avec plaisir que j’ai retrouvé les personnages récurrents d’Elizabeth George, dont le roman précédent était sorti en poche en 2020. Cette auteure américaine déroule toutes ses intrigues en Angleterre, avec aux commandes, Thomas Linley, aristocrate commissaire, assisté de Winston Nkata et Barbara Havers, ses adjoints efficaces, et soutenu par Deborah et Simon Saint James, ses amis. Dans ce nouvel opus traitant de mutilations génitales féminines, nous suivons en parallèle deux histoires : celle d’une inspectrice d’origine nigériane qui luttait contre ces mutilations infligées aux filles et femmes, retrouvée morte, assassinée, chez elle, et celle d’une famille, elle aussi originaire de ce pays, dans laquelle le poids de l’autorité du père et la tradition forment un cocktail assez explosif.   Elizabeth George prend son temps pour poser le cadre de son histoire, l’équipe d’enquêteurs n’apparaissant qu’au-delà de la centième page. Cela lui permet de développer ambiance et protagonistes, et c’est un de ses talents, je trouve. Je préfère souvent les livres plus longs, qui permettent de découvrir des personnages plus aboutis, et avec elle, c’est une garantie… Dans son édition de poche, ce dernier roman fait quand même plus de huit cent cinquante pages… L’équilibre entre enquête et vie personnelle des personnages récurrents est également réussi, et ils sont développés sans, je trouve, tomber dans la caricature des héros malmenés par la vie (Linley est pourtant veuf, et du meurtre de sa femme, l’auteure a écrit le livre le plus réussi de son œuvre, à mon avis : Anatomie d’un crime). En résumé, un polar bien écrit, des retrouvailles appréciées avec Linley, Havers et Nkata, et une histoire que j’ai trouvée crédible et très intéressante. C’est avec plaisir que j’ai retrouvé les personnages récurrents d’Elizabeth George, dont le roman précédent était sorti en poche en 2020. Cette auteure américaine déroule toutes ses intrigues en Angleterre, avec aux commandes, Thomas Linley, aristocrate commissaire, assisté de Winston Nkata et Barbara Havers, ses adjoints efficaces, et soutenu par Deborah et Simon Saint James, ses amis. Dans ce nouvel opus traitant de mutilations génitales féminines, nous suivons en parallèle deux histoires : celle d’une inspectrice d’origine nigériane qui luttait contre ces mutilations infligées aux filles et femmes, retrouvée morte, assassinée, chez elle, et celle d’une famille, elle aussi originaire de ce pays, dans laquelle le poids de l’autorité du père et la tradition forment un cocktail assez explosif.   Elizabeth George prend son temps pour poser le cadre de son histoire, l’équipe d’enquêteurs n’apparaissant qu’au-delà de la centième page. Cela lui permet de développer ambiance et protagonistes, et c’est un de ses talents, je trouve. Je préfère souvent les livres plus longs, qui permettent de découvrir des personnages plus aboutis, et avec elle, c’est une garantie… Dans son édition de poche, ce dernier roman fait quand même plus de huit cent cinquante pages… L’équilibre entre enquête et vie personnelle des personnages récurrents est également réussi, et ils sont développés sans, je trouve, tomber dans la caricature des héros malmenés par la vie (Linley...

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• adda33 14/01/2024

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  Très bon policier. Dont l'intrigue tourne autour du thème de l'excision. Beaucoup de personnages mais on suit avec facilité les liens entre les différents personnages. L'auteur approfondit bien la psychologie des personnages et montre la complexité liée au thème de l'excision, le sujet est bien traité ainsi que la différence de classe.