Mon cœur a déménagé

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• lulusoho 10/04/2024

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  . Obsédée par la mort de sa maman, suite à des violences conjugales, Ophélie, confiée à l'aide sociale à l'enfance, va tout faire pour la venger. Il y a des Bussi que j'ai aimés lire mais celui là n'en fait clairement pas parti. Il y a beaucoup trop d'invraisemblances et d'incohérences pour que j'ai pu adhérer à l'histoire. ....
• Devoreuse2polars 09/04/2024

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  J'ai toujours attendu les sorties de Michel Bussi avec impatience. Des twists qu'on ne lit pas mais qu'on dévore en quelques petites heures. Et puis, je me suis lassée, des invraisemblances, toujours plus ou moins le même fil que l'on tire. Bref, je l'ai boudé pendant quelques années. Je me suis finalement laissé à nouveau amadouer avec celui-ci. Je dois reconnaître que l'écriture a changé, pas à mon grand plaisir car je n'ai pas particulièrement apprécié le narrateur qui parle, tout à tour au fil des chapitres, à un personnage du roman. Au risque de me faire huer, j'ai détesté le personnage de Folette, Ophélie. Elle est taciturne, maussade, égocentrique et pardon mais pas très futée. Ses amis, Nina et Steve, sont pour ma part bien plus complexes. J'aurai aimé que l'on approfondisse davantage leur vie respective. Des longueurs à certains moments, où je ne cache pas que j'ai finalement continué en ne lisant que les dialogues. Alors, oui, il y a toujours ce fameux twist, mais je trouve ça tiré par les cheveux, improbable et cousu de fil blanc. Sans surprise, vous avez compris que ce n'est pas le meilleur que j'ai lu. Je ne veux néanmoins ne pas rester sur un échec, je vais donc lui donner une nouvelle chance avec Trois vies par semaine. J'ai toujours attendu les sorties de Michel Bussi avec impatience. Des twists qu'on ne lit pas mais qu'on dévore en quelques petites heures. Et puis, je me suis lassée, des invraisemblances, toujours plus ou moins le même fil que l'on tire. Bref, je l'ai boudé pendant quelques années. Je me suis finalement laissé à nouveau amadouer avec celui-ci. Je dois reconnaître que l'écriture a changé, pas à mon grand plaisir car je n'ai pas particulièrement apprécié le narrateur qui parle, tout à tour au fil des chapitres, à un personnage du roman. Au risque de me faire huer, j'ai détesté le personnage de Folette, Ophélie. Elle est taciturne, maussade, égocentrique et pardon mais pas très futée. Ses amis, Nina et Steve, sont pour ma part bien plus complexes. J'aurai aimé que l'on approfondisse davantage leur vie respective. Des longueurs à certains moments, où je ne cache pas que j'ai finalement continué en ne lisant que les dialogues. Alors, oui, il y a toujours ce fameux twist, mais je trouve ça tiré par les cheveux, improbable et cousu de fil blanc. Sans surprise, vous avez compris que ce n'est pas le meilleur que j'ai lu. Je ne veux néanmoins ne pas rester sur un échec,...

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• cline36 06/04/2024

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  Un roman comme je les aime de Michel Bussi. Un vrai plaisir de l'avoir dévoré. C'est l'histoire de Fodette de ses 7 ans à ses 23 ans. Elle a été témoin de la mort de sa mère. Comment va-t-elle vivre cela ? Nous avons le plaisir de suivre ses pensées avec les rebondissements bien connus de l'auteur qui nous tient en haleine jusqu'à fin.
• Aurelia33 05/04/2024

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  Le 29 avril 1983, la vie de Folette bascule. En pleine nuit, dans les allées d’une cité HLM, son père au chômage et alcoolique, poursuit sa mère, qui tient péniblement les cordons de la bourse. Un drame annoncé qui s’achève par une mort et une arrestation… Placée dans un foyer, la petite fille, devenue adolescente puis adulte n’aura de cesse de creuser des bouts de pistes pour identifier et faire payer tous ceux qu’elle considère comme les coupables. D’une part son père, avec qui elle refuse tout échange, et surtout Vidame, le délégué à la tutelle qui gérait leur maigres ressources et qui malgré les supplications de sa maman est parti sans se retourner ce tragique soir. Aidée par sa fidèle Nina, une âme égarée comme elle et de Lazare, un vieux flic de son quartier ayant gardé son instinct de chasseur, elle tente de reconstruire ces derniers funestes instants. Entre révolte sociale, secrets, deals, vengeance…, l’auteur nous propose un livre aux rebondissements de puce lové dans un portrait d’une France mobilisée. Moi qui d’habitude succombe totalement aux histoires de Michel Bussi, j’avoue n’avoir pas du tout accroché à celle-ci… La lecture est comme toujours fluide et aisée, les chapitres courts et les descriptions fournies mais… Non seulement je n’ai pas beaucoup aimé l’héroïne que je trouve obsessionnelle, égoïste et dangereuse (malgré d’évidentes circonstances atténuantes). Mais les personnages qui gravitent autour d’elle sont tout aussi malmenés (par la vie ou par les risques inconsidérés pris par Folette) quant aux autres, leur cupidité ou leur mutisme sont exaspérants. Des tragédies successives, un suspense qui s’essouffle au fil des 370 pages et un final rocambolesque et assez pathétique. Le 29 avril 1983, la vie de Folette bascule. En pleine nuit, dans les allées d’une cité HLM, son père au chômage et alcoolique, poursuit sa mère, qui tient péniblement les cordons de la bourse. Un drame annoncé qui s’achève par une mort et une arrestation… Placée dans un foyer, la petite fille, devenue adolescente puis adulte n’aura de cesse de creuser des bouts de pistes pour identifier et faire payer tous ceux qu’elle considère comme les coupables. D’une part son père, avec qui elle refuse tout échange, et surtout Vidame, le délégué à la tutelle qui gérait leur maigres ressources et qui malgré les supplications de sa maman est parti sans se retourner ce tragique soir. Aidée par sa fidèle Nina, une âme égarée comme elle et de Lazare, un vieux flic de son quartier ayant gardé son instinct de chasseur, elle tente de reconstruire ces derniers funestes instants. Entre révolte sociale, secrets, deals, vengeance…, l’auteur nous propose un livre aux rebondissements de puce lové dans un portrait d’une France mobilisée. Moi qui d’habitude succombe totalement aux histoires de Michel Bussi, j’avoue n’avoir pas du tout accroché à celle-ci… La lecture est comme toujours fluide et aisée, les chapitres courts et...

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• OlivierLeLouer 04/04/2024

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  C’est toujours un plaisir d’entamer un Bussi et toujours une douleur de le terminer, car il faudra attendre quelques temps pour recommencer le cycle.. Mais c’est le mot de tous les livres de nos auteurs préférés ! Ici l’auteur nous fait suivre la vie de Folette qui a perdu sa mère et qui cherche à prouver sa vérité tout au long de l’intrigue. Et comme d’habitude, on se laisse vite prendre au jeu des devinettes et on pense savoir la vérité mais la fin nous montre nos contradictions et nous fait dire « à quand le prochain ? »