Lisez! icon: Search engine
Avril enchanté
François Dupuigrenet-Desroussilles (traduit par)
Date de parution : 03/03/2011
Éditeurs :
10/18

Avril enchanté

François Dupuigrenet-Desroussilles (traduit par)
Date de parution : 03/03/2011

Deux jeunes Londonniennes, Mrs. Wilkins et Mrs. Arbuthnot, décident, un jour de pluie trop sale et d'autobus trop bondés, de répondre à une petite annonce du Times proposant un château...

Deux jeunes Londonniennes, Mrs. Wilkins et Mrs. Arbuthnot, décident, un jour de pluie trop sale et d'autobus trop bondés, de répondre à une petite annonce du Times proposant un château à louer pour le mois d'avril sur la Riviera. En cachette de leurs maris, elles cassent leurs tirelires et trouvent...

Deux jeunes Londonniennes, Mrs. Wilkins et Mrs. Arbuthnot, décident, un jour de pluie trop sale et d'autobus trop bondés, de répondre à une petite annonce du Times proposant un château à louer pour le mois d'avril sur la Riviera. En cachette de leurs maris, elles cassent leurs tirelires et trouvent deux autres partenaires pour partager les frais du séjour : l'aristocratique et très belle Lady Caroline Dester, qui veut fuir ses trop nombreux soupirants, et la vieille Mrs. Fisher, à la recherche d'un lieu paisible.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782264054364
Code sériel : 3062
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 368
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264054364
Code sériel : 3062
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 368
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Kio971 13/07/2023
    Juste après la Première Guerre Mondiale, quatre Anglaises - deux jeunes femmes d'origine modeste, malheureuses en ménage (l'une parce que son mari, avocat, lui fait constamment sentir à quel point elle est insignifiante ; l'autre, confite en dévotion, honteuse que son mari soit l'auteur de romans plutôt lestes ), une très jeune, très riche, et très belle aristocrate célibataire, et une vieille veuve acariâtre qui a été jeune à l'époque de la reine Victoria - décident de louer ensemble, pour un mois, un petit château médiéval, en Italie, au bord de la Méditerranée. Voilà le point de départ de Avril enchanté, d'Elizabeth Von Arnim, publié en 1922. Un siècle plus tard, à une époque où les livres que l'on édite sont souvent lourds et pesants, tant leurs thématiques sont sombres - inceste, autisme, violences conjugales, pédophilie, guerres, maltraitances à enfants, ...- Avril enchanté est un roman aussi rafraîchissant qu'une citronnade, avec aussi sa petite pointe d'acidité. Car nos quatre femmes, qui ne se connaissaient absolument pas avant de partir pour l'Italie, vont, lors de ce mois de vacances, aller à la découverte d'elles mêmes, à travers des situations parfois embarrassantes - accompagnées, au début, de quelques remarques acerbes de ci de là - et vont ainsi s'apercevoir qu'elles peuvent être bien autre chose que ce qu'elles ont été jusqu'ici. Là, à San Salvatore, dans la douceur tiède et parfumée d'un jardin italien, nos quatre Anglaises vont fleurir, comme des graines trop longtemps enfouies dans une terre froide et humide qu'un soleil inespéré fait soudainement éclore. Ainsi le château, San Salvatore - Le Sauveur - porte bien son nom, qui va sauver à tout jamais la vie de nos quatre héroïnes : même la revêche vieille victorienne finira par se montrer aimable et attentionnée envers ses semblables , se dépouillant de son égocentrisme et de son égoïsme comme d'un vieux vêtement d'hiver devenu complètement inutile dans le printemps italien. Je suis sortie de la lecture de ce roman aussi enchantée que le mois de son titre (même si j'ai trouvé la fin un peu simplette il est vrai), une lecture qui est un moment de plaisir semblable à celui que procure un bonbon acidulé.Juste après la Première Guerre Mondiale, quatre Anglaises - deux jeunes femmes d'origine modeste, malheureuses en ménage (l'une parce que son mari, avocat, lui fait constamment sentir à quel point elle est insignifiante ; l'autre, confite en dévotion, honteuse que son mari soit l'auteur de romans plutôt lestes ), une très jeune, très riche, et très belle aristocrate célibataire, et une vieille veuve acariâtre qui a été jeune à l'époque de la reine Victoria - décident de louer ensemble, pour un mois, un petit château médiéval, en Italie, au bord de la Méditerranée. Voilà le point de départ de Avril enchanté, d'Elizabeth Von Arnim, publié en 1922. Un siècle plus tard, à une époque où les livres que l'on édite sont souvent lourds et pesants, tant leurs thématiques sont sombres - inceste, autisme, violences conjugales, pédophilie, guerres, maltraitances à enfants, ...- Avril enchanté est un roman aussi rafraîchissant qu'une citronnade, avec aussi sa petite pointe d'acidité. Car nos quatre femmes, qui ne se connaissaient absolument pas avant de partir pour l'Italie, vont, lors de ce mois de vacances, aller à la découverte d'elles mêmes, à travers des situations parfois embarrassantes - accompagnées, au début, de quelques remarques acerbes de ci de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Wictoriane 10/06/2023
    Londres, années 1920. A la lecture d'une annonce dans le journal proposant un château à louer pour le mois d'avril sur la côte italienne, une jeune femme convainc une vague connaissance du club féminin qu'elle fréquente, de partir avec elle un mois, loin de leur époux et de leur vie plutôt monotone. Bientôt, elles décident de convier deux autres dames pour réduire les frais (le château est grand) et passent à leur tour une annonce. Dans un quasi huis clos, ces quatre femmes de qualité différentes vont peu à peu évoluer, améliorer leur caractère et la manière dont elles envisage leur vie, sous le charme certain de cet avril enchanté, à moins que ce ne soit le charme de l'Italie. *********************** J'ai besoin de lire des romans de cette qualité littéraire chaque jour ! Les situations sont cocasses, les répliques fusent. Tout le récit avance à vive allure, il n'y a pas de temps mort et parfois, j'avais envie de rentrer dans le récit pour dire "oh non, ne te laisse pas faire ! " Toutefois, sous l'apparence comique de situation, l'auteur nous emporte dans le conscient et l'inconscient de ces dames qui n'ont pas leur entière liberté ! Dépendantes de leur mari, de leur parents (qui espèrent un beau mariage) ou de leurs souvenirs (vieillesse et veuvage). Leur rencontre fortuite va permettre de débloquer des situations qui paraissaient de prime abord en phase terminale ! A la fin de la lecture, je n'ai qu'une envie : vivre moi aussi la dolce vita !Londres, années 1920. A la lecture d'une annonce dans le journal proposant un château à louer pour le mois d'avril sur la côte italienne, une jeune femme convainc une vague connaissance du club féminin qu'elle fréquente, de partir avec elle un mois, loin de leur époux et de leur vie plutôt monotone. Bientôt, elles décident de convier deux autres dames pour réduire les frais (le château est grand) et passent à leur tour une annonce. Dans un quasi huis clos, ces quatre femmes de qualité différentes vont peu à peu évoluer, améliorer leur caractère et la manière dont elles envisage leur vie, sous le charme certain de cet avril enchanté, à moins que ce ne soit le charme de l'Italie. *********************** J'ai besoin de lire des romans de cette qualité littéraire chaque jour ! Les situations sont cocasses, les répliques fusent. Tout le récit avance à vive allure, il n'y a pas de temps mort et parfois, j'avais envie de rentrer dans le récit pour dire "oh non, ne te laisse pas faire ! " Toutefois, sous l'apparence comique de situation, l'auteur nous emporte dans le conscient et l'inconscient de ces dames qui n'ont pas leur entière liberté ! Dépendantes de leur mari, de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • missbeelit 06/06/2023
    Impossible de le poser dès que je l'ai ouvert j'ai même traîné sur la fin à desseins car je ne voulais pas que ça s'arrête. Ce livre c'est comme un thé glacé un jour de grande chaleur: délicat, tendre et rafraîchissant. L'écriture de Von Arnim est tout en finesse: non seulement on voit les fleurs de ce jardin mais on les SENT! On s'agace et on s'attache à ces femmes qui n'aspire qu'à se sentir libre. Se sentir vivre. On rit devant la modernité des propos, ah Lottie!, mais surtout on ne peut qu'être émue par ces femmes qui ont le courage de fuir une monotonie qui les étouffe. Elles sont très touchantes et attachantes. Je voulais rester encore avec elle et savoir l'après de cette parenthèse enchantée qui les a transformé à jamais. La fin est finalement parfaite. Elle couronne une delicate évolution, qui plus est crédible pour chacune de ces femmes (même si je reste un peu dubitative de la rapidité de la fin de Caroline). En effet, elle étaient figées et l'air italien leur a redonné le goût de la vie et les a lié à jamais par des liens d'amitiés purs assez rare en littérature. Bref une magnifique ôde à l'amitié et aux besoins de se mettre sur pause pour faire un tri et mieux se comprendre. Impossible de le poser dès que je l'ai ouvert j'ai même traîné sur la fin à desseins car je ne voulais pas que ça s'arrête. Ce livre c'est comme un thé glacé un jour de grande chaleur: délicat, tendre et rafraîchissant. L'écriture de Von Arnim est tout en finesse: non seulement on voit les fleurs de ce jardin mais on les SENT! On s'agace et on s'attache à ces femmes qui n'aspire qu'à se sentir libre. Se sentir vivre. On rit devant la modernité des propos, ah Lottie!, mais surtout on ne peut qu'être émue par ces femmes qui ont le courage de fuir une monotonie qui les étouffe. Elles sont très touchantes et attachantes. Je voulais rester encore avec elle et savoir l'après de cette parenthèse enchantée qui les a transformé à jamais. La fin est finalement parfaite. Elle couronne une delicate évolution, qui plus est crédible pour chacune de ces femmes (même si je reste un peu dubitative de la rapidité de la fin de Caroline). En effet, elle étaient figées et l'air italien leur a redonné le goût de la vie et les a lié à jamais par des liens d'amitiés purs assez rare en littérature. Bref une magnifique ôde...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Melwasul07 14/05/2023
    Cela fait un petit moment que je tourne autour de « Avril enchanté » dont je trouve la couverture très belle et qui semblait être totalement mon style et j’ai fini par craquer sous la pression notamment d’Alice, @the.garden.in.my.mind 😉. • Nous y suivons ici les vacances de 4 anglaises, qui ne se connaissent pas avant le début de leur aventure mais qui décident de se cotiser pour partir un mois en vacances dans un château médiéval italien. Abandonnant ainsi maris, familles, solitude et train-train quotidien (et les problèmes qui vont avec). Alors qu’elles sont différentes au possible, elles vont petit à petit sympathiser au cœur de ce paysage de rêve, sous la glycine en fleur, au bord d’une mer enchanteresse. Un mois d’avril qui va se révéler riche en surprises, je ne m’attendais pas du tout à certaines directions prises par l’auteure. • Ce livre est un vrai bijou. Je l’ai dévoré, je l’ai savouré, je ne voulais pas tourner la dernière page mais en même temps je ne pouvais pas m’arrêter de lire. Elizabeth Von Arnim a un talent certain pour nous décrire la nature splendide qui entoure nos héroïnes entre jardins, terrasses fleuries et longues balades au bord de la Méditerranée. Mais aussi pour narrer les relations humaines. La nature et la nature humaine. • C’est drôle et pétillant. Une vraie plongée sous le soleil italien, entre les senteurs et les couleurs. Une plume pleine de finesse, alternant splendides descriptions et retournements de situation théâtraux. Mon seul regret, ne pas savoir ce qu’il arrive au retour à Londres. Mais d’un côté, n’est-ce pas mieux ? Je laisse ces femmes que j’ai tant apprécié dans leur petit paradis qui aura changé leurs vies, révélé leur personnalité, heureuses.Cela fait un petit moment que je tourne autour de « Avril enchanté » dont je trouve la couverture très belle et qui semblait être totalement mon style et j’ai fini par craquer sous la pression notamment d’Alice, @the.garden.in.my.mind 😉. • Nous y suivons ici les vacances de 4 anglaises, qui ne se connaissent pas avant le début de leur aventure mais qui décident de se cotiser pour partir un mois en vacances dans un château médiéval italien. Abandonnant ainsi maris, familles, solitude et train-train quotidien (et les problèmes qui vont avec). Alors qu’elles sont différentes au possible, elles vont petit à petit sympathiser au cœur de ce paysage de rêve, sous la glycine en fleur, au bord d’une mer enchanteresse. Un mois d’avril qui va se révéler riche en surprises, je ne m’attendais pas du tout à certaines directions prises par l’auteure. • Ce livre est un vrai bijou. Je l’ai dévoré, je l’ai savouré, je ne voulais pas tourner la dernière page mais en même temps je ne pouvais pas m’arrêter de lire. Elizabeth Von Arnim a un talent certain pour nous décrire la nature splendide qui entoure nos héroïnes entre jardins, terrasses fleuries et longues balades au bord de la Méditerranée....
    Lire la suite
    En lire moins
  • Periwinkle 13/05/2023
    Lu en anglais- J'ai eu un peu de mal à m'habituer au style d'écriture avec les longues phrases descriptives et les formulations parfois complexes (anciennes ?). Pourtant le charme a opéré sur moi comme le charme de San Salvatore sur nos protagonistes. J'ai trouvé dans ce livre ce que j'attendais : des jolies descriptions de l'Italie au printemps, le style des années 20'. J'y ai aussi trouvé de l'inattendu, comme les caractères et réflexions des personnages qui m'ont amenée à beaucoup commenter ce livre à voix haute le long de ma lecture, ce qui ne m'était pas arrivé depuis longtemps ! Une bonne lecture pour une parenthèse enchantée
Inscrivez-vous à la newsletter 10/18 pour encore plus d'inspirations !
Voyagez hors des sentiers battus, loin d'une littérature conventionnelle et attendue…