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Je m'appelle Asher Lev
Catherine Gary (traduit par), Fabrice Helion (traduit par)
Date de parution : 15/11/2007
Éditeurs :
10/18

Je m'appelle Asher Lev

Catherine Gary (traduit par), Fabrice Helion (traduit par)
Date de parution : 15/11/2007

Dès l'enfance, Asher Lev dessine comme il respire. Malgré la désapprobation sans appel de son père, le grand Rèbbe de la communauté juive hassidique de Brooklyn encourage sa vocation. Aux...

Dès l'enfance, Asher Lev dessine comme il respire. Malgré la désapprobation sans appel de son père, le grand Rèbbe de la communauté juive hassidique de Brooklyn encourage sa vocation. Aux portes du monde prodigieux de l’art, Asher Lev devra choisir : obéir aux exigences des siens et à son éducation...

Dès l'enfance, Asher Lev dessine comme il respire. Malgré la désapprobation sans appel de son père, le grand Rèbbe de la communauté juive hassidique de Brooklyn encourage sa vocation. Aux portes du monde prodigieux de l’art, Asher Lev devra choisir : obéir aux exigences des siens et à son éducation religieuse, ou s’abandonner à un destin exceptionnel…

Un roman magistral sur les affres du génie artistique, bien souvent synonyme de déchirements culturels, spirituels et intimes.

Traduit de l’anglais (États-Unis)
par Catherine Gary et Fabrice Hélion

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EAN : 9782264043955
Code sériel : 4076
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264043955
Code sériel : 4076
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • mieuxvautlirequejamais 31/01/2024
    JE M'APPELLE ASHER LEV de Chaïm Potok Si j'ai une sainte horreur des religions, j'ai trouvé cette histoire passionnante et bien racontée. Je me suis demandé combien de vocations avaient été sacrifiées au nom de la la religion, peu importe laquelle. J'ai bien aimé cette intimité familiale composée d'un père, d'une mère et de leurs fils ainsi que le personnage du grand Rèbbe.
  • germ1tor 05/01/2024
    Je m’appelle Asher Lev est le parcours d’un garçon de la communauté juive hassidique de Brooklyn, parcours initiatique d’un surdoué du dessin et de la peinture, tiraillé entre la perfection de son art et l’amour de ses parents juifs orthodoxes. Son art et sa pratique est une lutte intérieure permanente, d’autant que son père, très engagé religieusement, juge son activité et son talent subversifs. C’est ce combat touchant qui fait tout l’intérêt du roman. Asher Lev adore ses parents, mais ne vit, ne pense qu’à travers son art en étant conscient de les peiner: c’est plus fort que lui. Sa rencontre avec un artiste renommé, Jacob, juif hassidique « affranchi », est déterminante: aller au bout de son art, sans tricher avec soi-même voilà la leçon reçue et qu’il s’applique, quitte à faire du mal autour de soi. Il ne peut échapper à son génie créatif et artistique. L’écriture est remarquable. Chaïm Potok parvient avec des dialogues très simples voire minimalistes et des descriptions bien senties à nous restituer la tension psychologique d’Asher Lev. Pour ma part, j’ai découvert l’univers de cette minorité religieuse, les hassid, et l’emprise constante qu’elle exerce sur ses membres. Une originale et très belle histoire.
  • Laveze 25/02/2023
    JE M’APPELLE ASHER LEV de CHAÏM POTOK Asher Lev est un jeune garçon juif, son père est au service d’un célèbre et respecté Rèbbe d’une communauté hassidique de Brooklyn. Un homme strict et très engagé dans son travail. Sa mère étudie mais quand son frère décède elle tombe gravement malade. Asher n’a qu’une seule passion dans la vie, le dessin, pendant les cours il dessine au grand dam de ses parents mais surtout pour son père pour lequel l’étude de la Torah est la seule activité possible. La mère s’interpose souvent entre eux deux mais la situation s’envenime régulièrement. En désespoir de cause les parents demandent au Rèbbe de les aider. Après plusieurs interventions ce dernier reconnaîtra qu’il ne peut rien faire face à l’entêtement d’Asher qui dès lors va suivre son propre chemin. C’est un livre admirable qu’a écrit Chaïm POTOK, cette lutte entre père et fils, entre engagement religieux et passion artistique. Admirable car ces deux hommes s’aiment d’un amour véritable, le père est un honnête homme dédié à son travail qui consiste à rapatrier le plus de juifs possible aux États Unis, à créer en Europe des centres hassidiques et globalement à sauver le plus de juifs d’Hitler et de Staline. De son côté ASHER aime son père mais ne peut réfréner sa passion violente pour le dessin puis pour la peinture, il essayera mais en vain de revenir aux études. Une lutte poignante avec la mère et le Rèbbe pour arbitres. Un grand livre.JE M’APPELLE ASHER LEV de CHAÏM POTOK Asher Lev est un jeune garçon juif, son père est au service d’un célèbre et respecté Rèbbe d’une communauté hassidique de Brooklyn. Un homme strict et très engagé dans son travail. Sa mère étudie mais quand son frère décède elle tombe gravement malade. Asher n’a qu’une seule passion dans la vie, le dessin, pendant les cours il dessine au grand dam de ses parents mais surtout pour son père pour lequel l’étude de la Torah est la seule activité possible. La mère s’interpose souvent entre eux deux mais la situation s’envenime régulièrement. En désespoir de cause les parents demandent au Rèbbe de les aider. Après plusieurs interventions ce dernier reconnaîtra qu’il ne peut rien faire face à l’entêtement d’Asher qui dès lors va suivre son propre chemin. C’est un livre admirable qu’a écrit Chaïm POTOK, cette lutte entre père et fils, entre engagement religieux et passion artistique. Admirable car ces deux hommes s’aiment d’un amour véritable, le père est un honnête homme dédié à son travail qui consiste à rapatrier le plus de juifs possible aux États Unis, à créer en Europe des centres hassidiques et globalement à sauver le plus de juifs d’Hitler et...
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  • nathys 25/01/2022
    J'avais adoré L'élu et celui ci avait des critiques encore meilleures mais je reste un peu mitigée. Le thème est très intéressant, Chaïm Potok opposant ici tradition et modernité, la lutte entre rester conforme à son milieu et le besoin de s'émanciper pour faire ce qui nous épanouit. Malheureusement j'ai trouvé Asher Lev peu sympathique. Il exprime finalement très peu ses sentiments et m'a donné l'impression d'être une personne apathique et bornée, sensation renforcée par les dialogues monosyllabiques. J'aurais aimé, étant donné que c'est raconté à la première personne, qu'on ait accès à ses sentiments profonds plus souvent, à de vraies discussions de sa part. Il est ballotté d'un monde à l'autre et a l'air complètement mou, alors que ce qu'il fait est courageux étant donné son milieu d'origine. Au lieu de ça, nous avons droit au récit ultra détaillé de ses journées, qui m'a souvent ennuyée. J'ai cependant eu un regain d'intérêt pour la dernière partie autour des peintures.
  • StCyr 05/11/2020
    Où il est question de dessins, d'art, de profanation, de représentations offensantes pour la sensibilité des croyants... Asher Lev est né à Brooklyn dans les années quarante dans une famille juive orthodoxe, au sein d'une communauté hassidique vivant en vase clos. Issu de deux anciennes lignées très pieuses, marquées par les persécutions, l'enfant a un père qui voyage beaucoup pour fonder et structurer des yeshivot aux États-Unis et partout en Europe, alors que sa jeune mère l'attend et se morfond. Subséquemment, quand le jeune Asher développe un goût immodéré pour le dessin, il se trouve en bute à l'incompréhension de ses parents, surtout du père, homme rigoriste et buté. Pour ce dernier, la vie est une vérité révélée, monolithique, codifiée, tandis que le monde du fils est fait de sensations qui le requiert irrésistiblement à la production picturale. Commence ainsi une vie conflictuelle, entre lui et sa famille, mais aussi entre ses scrupules de conscience et sa vocation. Pourtant la foi et l'art ne sont que deux chemins différents vers une même célébration, deux formes de transcendance. Allez faire comprendre çà aux intégristes. Une bien jolie œuvre que ce roman de formation. De l'émotion, une belle rencontre entre un peintre en devenir et un artiste consacré, un regard sur un univers méconnu. Roman actuel montrant l'engagement nécessaire que représentante la moindre aspiration artistique face à l'obscurantisme religieux. Où il est question de dessins, d'art, de profanation, de représentations offensantes pour la sensibilité des croyants... Asher Lev est né à Brooklyn dans les années quarante dans une famille juive orthodoxe, au sein d'une communauté hassidique vivant en vase clos. Issu de deux anciennes lignées très pieuses, marquées par les persécutions, l'enfant a un père qui voyage beaucoup pour fonder et structurer des yeshivot aux États-Unis et partout en Europe, alors que sa jeune mère l'attend et se morfond. Subséquemment, quand le jeune Asher développe un goût immodéré pour le dessin, il se trouve en bute à l'incompréhension de ses parents, surtout du père, homme rigoriste et buté. Pour ce dernier, la vie est une vérité révélée, monolithique, codifiée, tandis que le monde du fils est fait de sensations qui le requiert irrésistiblement à la production picturale. Commence ainsi une vie conflictuelle, entre lui et sa famille, mais aussi entre ses scrupules de conscience et sa vocation. Pourtant la foi et l'art ne sont que deux chemins différents vers une même célébration, deux formes de transcendance. Allez faire comprendre çà aux intégristes. Une bien jolie œuvre que ce roman de formation. De l'émotion, une belle rencontre entre un peintre en...
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