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La femme du Ve
Bernard Cohen (traduit par)
Date de parution : 02/12/2009
Éditeurs :
Pocket

La femme du Ve

Bernard Cohen (traduit par)
Date de parution : 02/12/2009

Derrière les lumières de la ville, là où le touriste ne s’aventure jamais s’étend le Paris occulte. Les zones d’ombre sont partout. Les ennuis jamais loin.
Xe arrondissement. Dans cette rue...

Derrière les lumières de la ville, là où le touriste ne s’aventure jamais s’étend le Paris occulte. Les zones d’ombre sont partout. Les ennuis jamais loin.
Xe arrondissement. Dans cette rue sordide, qui n’a de Paradis que le nom, Harry Ricks a trouvé refuge. Chassé par sa femme, rejeté par sa...

Derrière les lumières de la ville, là où le touriste ne s’aventure jamais s’étend le Paris occulte. Les zones d’ombre sont partout. Les ennuis jamais loin.
Xe arrondissement. Dans cette rue sordide, qui n’a de Paradis que le nom, Harry Ricks a trouvé refuge. Chassé par sa femme, rejeté par sa fille, l’universitaire américain vit un exil bien amer. Seul point de lumière dans ce cauchemar éveillé : une femme. Une rencontre qui va le hanter…

« Ce livre, tout aussi fascinant que les précédents, risque de surprendre. » Claire Julliard – L'Obs

« On ne lit pas ses livres, on les dévore. » Valérie Robert – Version femina

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EAN : 9782266199193
Code sériel : 13573
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266199193
Code sériel : 13573
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 416
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« (...) formidable thriller psychologique situé à la lisière de la folie et du paranormal. » François Busnel - Lire

« Kennedy nous promène dans un Paris sale et malsain, il dépeint la fracture sociale, saisissante lorsqu'on passe d'un salon du Ve arrondissement aux arrière-cours du quartier turc. » Claire Julliard - Le Nouvel Observateur

« On ne lit pas ses livres, on les dévore. » Valérie Robert - Version Fémina

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Abornand2 05/11/2023
    Étrange roman que j’ai dévoré. Puritanisme américain, ésotérisme et para-normal, la pègre immigrée à Paris, la pauvreté d’un immigré. Et surtout la CULPABILITÉ qui empêche d’avancer dans la vie. On se pose des questions sur le sens de ce roman et la violence qui émane de certains personnages.
  • ACMaillard 09/08/2023
    Premier roman lu de cet écrivain américain prolifique. Citoyen français depuis des années, Douglas Kennedy se passionne pour la France où se situe une partie de ces intrigues. Ce roman fantastique ne déroge pas à la règle. Nous suivons le narrateur, Harry Ricks, professeur de littérature de la côte Est des États Unis et écrivain raté qui trouve refuge dans un Paris romancé. Il rencontre dans son malheur une mystérieuse expatriée qui l’emmène à la frontière du réel et de l’imaginaire, aux confins de l’intelligible. La femme du Vème est un récit intriguant, un polar parfois et un récit psychologique également. On prend en effet pitié pour le personnage principal, victime des injustices des hommes et de leurs passions. Le roman mêle ainsi une pléiade d’émotions qui se déroulent au fur et à mesure que le dénouement tant attendu fait jour. Le genre fantastique est ici bien employé, genre rare dans les romans contemporains. Je conseille cette lecture atypique et attends avec impatience dans ma boîte aux lettres le nouveau roman de l’auteur, plus politique.
  • Moijedu14 28/07/2023
    La déchéance d'un homme qui a tout perdu : son travail, sa femme, sa fille, son argent, son honneur. Le sort s'acharne contre lui. Il ne cherche pas à s'en sortir. Jusqu'au jour où, sur les conseils d'un ami, il se rend à une soirée et rencontre Margit. Coup de foudre immédiat. Mais Margit est effectivement mystérieuse et ne peut recevoir que tous les trois jours... Car Margit est morte depuis plus de 25 ans d'un suicide... mais a le pouvoir d'intervenir sur la vie des gens. Elle permet à Harry (par amour ?) de sortir de sa déchéance. Margit est-elle l'ange gardien de Harry ? Tout peut le porter à croire. Mais Harry est condamné à se rendre deux fois par semaine chez elle ou bien le malheur peut aussi bien arriver que le bonheur (sa fille en fait la malheureuse expérience par un grave accident). Harry n'aurait-il pas plûtot signé un pacte avec le Diable ? En effet, par vengeance, Margit a quelques meurtres à son actif dont certain pour aider, par amour, Harry, empêtré dans de dangereuses situations. Le seul bémol de cette histoire est qu'on apprend rien sur le pourquoi de la situation de Margit : morte mais active, ne ressent pas la douleur mais le plaisir sexuel.La déchéance d'un homme qui a tout perdu : son travail, sa femme, sa fille, son argent, son honneur. Le sort s'acharne contre lui. Il ne cherche pas à s'en sortir. Jusqu'au jour où, sur les conseils d'un ami, il se rend à une soirée et rencontre Margit. Coup de foudre immédiat. Mais Margit est effectivement mystérieuse et ne peut recevoir que tous les trois jours... Car Margit est morte depuis plus de 25 ans d'un suicide... mais a le pouvoir d'intervenir sur la vie des gens. Elle permet à Harry (par amour ?) de sortir de sa déchéance. Margit est-elle l'ange gardien de Harry ? Tout peut le porter à croire. Mais Harry est condamné à se rendre deux fois par semaine chez elle ou bien le malheur peut aussi bien arriver que le bonheur (sa fille en fait la malheureuse expérience par un grave accident). Harry n'aurait-il pas plûtot signé un pacte avec le Diable ? En effet, par vengeance, Margit a quelques meurtres à son actif dont certain pour aider, par amour, Harry, empêtré dans de dangereuses situations. Le seul bémol de cette histoire est qu'on apprend rien sur le pourquoi de la situation de Margit : morte mais active, ne...
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  • I_LOVE_TO_READ 07/06/2023
    Très bon moment avec cette histoire qui se passe à Paris. J'ai trouvé ça très prenant, très réaliste. Les ambiances sont très bien rendues, on n'y est, et ce n'est pas le Paris glamour ! Il y a toujours chez lui cette justesse d'écriture et évidemment, Douglas Kennedy excelle pour nous faire ressentir toutes les émotions que traverse le personnage, à qui on s'identifie d'ailleurs facilement. Et j'ai été surpris par le tour fantastique de l'histoire, auquel je ne m'attendais pas du tout, mais qui finalement donne un caractère spécial au roman.
  • ManonChronique 09/05/2023
    Il s’agit, paraît-il puisque c’est mon premier roman de lui, d’un trait typique de Douglas K. : il n’a pas son pareil pour décrire la pauvreté et la précarité de la vie parisienne, et à vrai dire, on peut transposer ses descriptions de la misère contemporaine dans toutes les villes européennes. La justesse de sa plume m’a ébroué dès les premières pages. Je me voyais dans cet immeuble décrépit les murs dégoulinants de moisissure, quartiers malfamés, voisins imprévisibles et propriétaire malhonnête en prime. Je frissonnais à la perspective de croiser certains personnages… L’empathie pour le héros est immédiate : il est désemparé, sensible (c’est un père qui aime sa fille plus que tout au monde et il sait pleurer ! Combien de héros masculins de manière générale pleurent quand tout va mal ?). Bref, sa situation est atroce. Je ne vous cacherai pas que ce réalisme presque palpable va doucement muer en fantastique… mais je ne vous en dirais pas plus. Bonne lecture !
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