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La forme de l'eau
Une enquête du commissaire Montalbano
Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 05/02/2004
Éditeurs :
Pocket

La forme de l'eau

Une enquête du commissaire Montalbano

Serge Quadruppani (traduit par)
Date de parution : 05/02/2004

Sur les rivages siciliens de Vigàta, la vérité, comme l'eau, prend la forme qu'on lui donne...
La mort d'un politicien estimé semble parfaitement naturelle bien que déshonorante : arrêt cardiaque en...

Sur les rivages siciliens de Vigàta, la vérité, comme l'eau, prend la forme qu'on lui donne...
La mort d'un politicien estimé semble parfaitement naturelle bien que déshonorante : arrêt cardiaque en galante compagnie dans sa voiture au bord d'un terrain vague. Montalbano n'a que 48 heures pour éclaircir certains détails. Comment...

Sur les rivages siciliens de Vigàta, la vérité, comme l'eau, prend la forme qu'on lui donne...
La mort d'un politicien estimé semble parfaitement naturelle bien que déshonorante : arrêt cardiaque en galante compagnie dans sa voiture au bord d'un terrain vague. Montalbano n'a que 48 heures pour éclaircir certains détails. Comment la grosse BMW a-t-elle pu emprunter un chemin impraticable ? Que fait un bijou inestimable parmi les détritus de la décharge ? Quels étaient les goûts sexuels de la victime ?
Le commissaire enquête à sa manière d'anarchiste rêveur et bon vivant. Derrière la beauté de son île natale, l'imbécillité, la férocité et, bientôt, l'horreur...

« Un pur régal. » Michel Abescat – Le Monde

@ Disponible chez 12-21

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EAN : 9782266142953
Code sériel : 11264
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266142953
Code sériel : 11264
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« (...) un pur régal. »

Michel Abescat - Le Monde

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • adtraviata 05/03/2024
    Pour mon oral d’italien en fin d’année (un sujet au choix qui doit toucher à la culture italienne au sens large), j’ai décidé de présenter quelques séries de romans policiers liés à des villes. Je compte parler du commissaire Ricciardi à Naples, du commissaire Brunetti à Venise, de Donato Carrisi qui situe ses actions à Rome ou à Florence notamment. Je veux découvrir un peu Valerio Varesi qui a choisi pour cadre la ville de Parme et le commissaire Montalbano d’Andrea Camilleri qui a planté son décor dans la ville imaginaire de Vigàta, en Sicile. Si j’en ai le temps, je remonterai en Sardaigne avec Piergiorgio Pulixi. Faut-il le préciser, je ne suis pas encore assez armée pour lire dans le texte, je lis donc des traductions en français. J’ai donc lu le premier roman qui met en scène Salvo Montalbano, après avoir vraiment apprécié l’adaptation de cette série pour la télé. Vigàta est, paraît-il, la copie conforme de Porto Empedocle, la ville natale d’Andrea Camilleri, c’est-à-dire une ville qui offre de nombreux décors pour des règlements de compte entre bandes mafieuses, de longues promenades sur la plage, de mauvaises blagues aux voitures de la police (beaucoup de pneus crevés qui mettent en rogne Montalbano, non à cause des ennuis causés mais parce que ses subordonnés ne vérifient jamais l’état des pneus avant de partir dans une improbable poursuite), et il y a bien sûr le Bercail, zone de non-droit où deux employés de la propreté publique retrouvent un matin l’ingénieur Luparello, mort dans une posture gênante que toutes les autorités compétentes vont s’employer à cacher. Tous sauf Montalbano, bien sûr, qui ne croit pas tout à fait à l’explication de mort naturelle fournie à tout qui accepte d’y croire. Comme c’est un homme honnête, le commissaire obtient un délai avant de fermer le dossier sur l’explication « officielle ». Son enquête va l’amener à croiser la veuve et le neveu de Luparello, la belle-fille sulfureuse de son adversaire politique, ainsi que des ouvriers effrayés mais lucides. Le roman est assez court (251 pages) mais j’ai apprécié cette première enquête, l’ambiance sicilienne, la magouille sport national pour ces Siciliens, pour qui « la liggi » (la loi) et eux, comme l’explique le traducteur Serge Quadruppani, cela fait minimum deux, j’ai vraiment aimé l’honnêteté bourrue, la liberté intérieure et l’humour du commissaire Montalbano que je prendrai plaisir à retrouver plus tard dans une autre enquête. Mais – surtout pour mon travail en italien – l’intérêt se porte aussi sur la langue écrite par Andrea Camilleri, metteur en scène, poète et auteur, qui a décidé d’écrire en mêlant italien et sicilien, en employant des particularismes de sa région d’Agrigente (« la liggi » en est un exemple). Son traducteur en français parvient à rendre cette originalité, notamment en empruntant des tournures au parler marseillais. Une des formes surprenantes de ce dialecte sicilien est l’emploi dans la conversation courante du passé simple là où le français utiliserait le passé composé.Pour mon oral d’italien en fin d’année (un sujet au choix qui doit toucher à la culture italienne au sens large), j’ai décidé de présenter quelques séries de romans policiers liés à des villes. Je compte parler du commissaire Ricciardi à Naples, du commissaire Brunetti à Venise, de Donato Carrisi qui situe ses actions à Rome ou à Florence notamment. Je veux découvrir un peu Valerio Varesi qui a choisi pour cadre la ville de Parme et le commissaire Montalbano d’Andrea Camilleri qui a planté son décor dans la ville imaginaire de Vigàta, en Sicile. Si j’en ai le temps, je remonterai en Sardaigne avec Piergiorgio Pulixi. Faut-il le préciser, je ne suis pas encore assez armée pour lire dans le texte, je lis donc des traductions en français. J’ai donc lu le premier roman qui met en scène Salvo Montalbano, après avoir vraiment apprécié l’adaptation de cette série pour la télé. Vigàta est, paraît-il, la copie conforme de Porto Empedocle, la ville natale d’Andrea Camilleri, c’est-à-dire une ville qui offre de nombreux décors pour des règlements de compte entre bandes mafieuses, de longues promenades sur la plage, de mauvaises blagues aux voitures de la police (beaucoup de pneus crevés qui...
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  • EmmEve 15/12/2023
    Cette critique vaudra pour tous "les Montalbano" que j'ai lus (c'est-à-dire tous ceux qui ont été traduits au 15 décembre 2023... il en reste encore deux ou trois à découvrir). J'ai lu d'autres romans de Camilleri hors Montalbano, toujours avec autant de plaisir. Andrea Camilleri est l'un de mes auteurs favoris et son traducteur vers le français, Serge Quadruppani, est excellent ! J'ai eu l'occasion de lire un épisode de Montalbano en anglais et j'ai trouvé que ça n'était pas à la hauteur du français, qui est bien plus fidèle à l'esprit de la version italo-sicilienne. Camilleri a cette façon - un peu à l'instar d'Almodovar - de raconter des choses graves ou gravissimes sur "sa" Sicile tout en arrivant à faire rire le lecteur. J'ai attrapé de ces fous-rires parfois... juste avant de tourner la page et d'être saisie d'effroi par un meurtre sordide ou par la corruption généralisée... J'aime le ton, le détachement et/ou l'extrême attachement, j'aime l'humanisme de Camilleri. Et celui de Montalbano. À noter que l'on trouve sur YouTube des interviews d'AC, qui parle lentement et clairement. C'est facile à comprendre même quand on ne parle pas italien couramment et c'est surtout très intéressant. Je les relis régulièrement, avec un plaisir jamais démenti. "L'excursion à Tindari", "Le chien de faïence" et "Le voleur de goûter" sont parmi mes préférés.Cette critique vaudra pour tous "les Montalbano" que j'ai lus (c'est-à-dire tous ceux qui ont été traduits au 15 décembre 2023... il en reste encore deux ou trois à découvrir). J'ai lu d'autres romans de Camilleri hors Montalbano, toujours avec autant de plaisir. Andrea Camilleri est l'un de mes auteurs favoris et son traducteur vers le français, Serge Quadruppani, est excellent ! J'ai eu l'occasion de lire un épisode de Montalbano en anglais et j'ai trouvé que ça n'était pas à la hauteur du français, qui est bien plus fidèle à l'esprit de la version italo-sicilienne. Camilleri a cette façon - un peu à l'instar d'Almodovar - de raconter des choses graves ou gravissimes sur "sa" Sicile tout en arrivant à faire rire le lecteur. J'ai attrapé de ces fous-rires parfois... juste avant de tourner la page et d'être saisie d'effroi par un meurtre sordide ou par la corruption généralisée... J'aime le ton, le détachement et/ou l'extrême attachement, j'aime l'humanisme de Camilleri. Et celui de Montalbano. À noter que l'on trouve sur YouTube des interviews d'AC, qui parle lentement et clairement. C'est facile à comprendre même quand on ne parle pas italien couramment et c'est surtout très intéressant. Je les relis régulièrement,...
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  • Guit 13/09/2022
    Premier volume de la série Montalbano et déjà un très bon cru ! On y plonge et replonge avec grand plaisir. Un Salvo attachant et un peu nerveux, le fidèle Fazio, Catarella au langage si particulier, un dottore Pasquano remonté, des prises de bec avec Livia, les débuts de sa relation avec Ingrid et naturellement la gastronomie sicilienne. S'ajoute une enquête policière qui tient la route, des magouilles politiques et la présence discrète mais pesante de la mafia. Un petit regret (mais seulement parce que j'ai lu l'ensemble de la série), l'absence de Mimi. Qu'elle donne (quand même) envie cette Sicile !
  • Alexmotamots 23/02/2022
    Première enquête de Montalbano que je lis, j'ai aimé le personnage et sa façon d'arriver à la vérité. En lisant le prologue, j'ai aimé découvrir la langue de l'auteur et la façon de la traduire. J'ai par la suite été moins étonnée de certaines tournures de phrases. J'ai aimé l'humour de l’enquêteur, sa relation si particulière à son île et à ses habitants. Une belle lecture comme je les aime.
  • Crazynath 22/01/2022
    Cela faisait un bon moment que j'avais envie de découvrir les aventures du commissaire Montalbano et surtout la plume réputée d'Andrea Camilleri. Et voilà, j'ai tourné la dernière page ce matin et j'avoue que j'ai été surtout sous le charme du style de l'auteur. Je ne rentrerais pas plus en détail sur la qualité de la traduction de Serge Quadruppani, d'autres babelionautes l'ont déjà très bien fait.Il est vrai que cela donne une dimension à l'histoire fort singulière et nous permet de nous transporter sans problème en Sicile. J'ai donc découvert avec ce premier épisode de la série qui compte près de trente épisodes, un nouveau policier. Il est vrai qu'il mérite le détour, ce commissaire Salvo Montalbano, qui sous ses airs de ne pas y toucher, est à l'affut des moindres détails permettant à l'enquête de progresser… Je reste avec un petit sentiment de n'avoir pas su complétement apprécier ma lecture. Je me demande si à force de lire des polars majoritairement anglo-saxons, je n'ai pas inconsciemment été déroutée par l'environnement très différent de la Sicile qui sert de décor à Montalbano ? Une chose est sure, je réessayerais dans quelques temps de lire une autre aventure de ce commissaire dont les valeurs humaines sont indéniables. Et retrouver la plume de cet auteur sera de toute façon un plaisir. Challenge Mauvais Genres 2022 Challenge Multi-Défis 2022 Cela faisait un bon moment que j'avais envie de découvrir les aventures du commissaire Montalbano et surtout la plume réputée d'Andrea Camilleri. Et voilà, j'ai tourné la dernière page ce matin et j'avoue que j'ai été surtout sous le charme du style de l'auteur. Je ne rentrerais pas plus en détail sur la qualité de la traduction de Serge Quadruppani, d'autres babelionautes l'ont déjà très bien fait.Il est vrai que cela donne une dimension à l'histoire fort singulière et nous permet de nous transporter sans problème en Sicile. J'ai donc découvert avec ce premier épisode de la série qui compte près de trente épisodes, un nouveau policier. Il est vrai qu'il mérite le détour, ce commissaire Salvo Montalbano, qui sous ses airs de ne pas y toucher, est à l'affut des moindres détails permettant à l'enquête de progresser… Je reste avec un petit sentiment de n'avoir pas su complétement apprécier ma lecture. Je me demande si à force de lire des polars majoritairement anglo-saxons, je n'ai pas inconsciemment été déroutée par l'environnement très différent de la Sicile qui sert de décor à Montalbano ? Une chose est sure, je réessayerais dans quelques temps de lire une autre aventure de ce commissaire dont les valeurs humaines...
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