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Le crime de l'hôtel Saint-Florentin
Collection : Polar
Date de parution : 17/02/2005
Éditeurs :
10/18

Le crime de l'hôtel Saint-Florentin

Collection : Polar
Date de parution : 17/02/2005

Nouveau roi, nouveau lieutenant général : Nicolas Le Floch n’a pas le temps de se faire à ces bouleversements qu’il doit enquêter sur un crime commis à l’hôtel de M....

Nouveau roi, nouveau lieutenant général : Nicolas Le Floch n’a pas le temps de se faire à ces bouleversements qu’il doit enquêter sur un crime commis à l’hôtel de M. de Saint-Florentin, ministre de Louis XVI. Fiacre fantôme et meurtres en série, une enquête haletante où se mêlent la débauche,...

Nouveau roi, nouveau lieutenant général : Nicolas Le Floch n’a pas le temps de se faire à ces bouleversements qu’il doit enquêter sur un crime commis à l’hôtel de M. de Saint-Florentin, ministre de Louis XVI. Fiacre fantôme et meurtres en série, une enquête haletante où se mêlent la débauche, l'espionnage et toutes les folies d'une jeune cour en ébullition.

« Un Le Floch au mieux de sa forme, dont l'efficacité n'est plus à démontrer. »
Le Nouvel Observateur

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EAN : 9782264040640
Code sériel : 3750
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264040640
Code sériel : 3750
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 400
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Le charme de ces romans vient d'un savant mélange de grande et de petite histoire, ainsi que de l'évocation très réaliste d'un Paris disparu, avec ses odeurs, ses bruits, ses personnages pittoresques. »
Serge Sanchez, Le Magazine littéraire

« Un Le Floch au mieux de sa forme, dont l'efficacité n'est plus à démontrer. »
M.-F. R., Le Nouvel Observateur

« Derrière une courtoisie dont il ne se départ jamais, Jean-François Parot cache un goût prononcé pour le truculent. Son récit regorge de détails pittoresques hauts en couleur et en verbe. »
Aude Blouin-Bunetel, Le Journal du dimanche

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Unpointcesttout 26/07/2023
    Un rendez vous galant la nuit dans une cuisine , une femme égorgée et un homme sans connaissance . 1774 c’est le début du règne de Louis XVI , Sartine a été nommé au ministère de la Marine et ses hommes sont en disgrâce , seul Nicolas Le Floch réussit à plaire au nouveau Lieutenent Général de Police , Le Noir . Dans sa vie personnelle il a aussi le bonheur d’avoir rencontré son fils, longtemps caché par la Satin , Louis auquel il donne son nom et une éducation , ainsi commence ce tome . J’ai beaucoup aimé la description de la découverte de la scène de crime par Nicolas : recherche d’indices ,premières hypothèses et déduction , c’est toujours très bien construit . La description de ce Paris du XVIII e s est toujours autant palpitante et réaliste quoiqu’empreinte d’horreur concernant la description de Bicêtre … Un roman de plus que j’ai fort apprécié ! « Un point c’est tout. »
  • PtitVincent 01/01/2023
    Dans cette cinquième aventure de Nicolas Le Floch, Louis XVI vient d’accéder au pouvoir et a procédé au renouvellement de son gouvernement. Ainsi Sartine, le lieutenant général de la police, a été muté ministre de la Marine. Et le nouveau supérieur de Le Floch l’a aussitôt mis sur la touche. Jusqu’au jour où un autre ministre du roi le demande pour enquêter sur un crime commis dans son hôtel. Une femme de chambre est retrouvée morte dans les communs. Tout accuse le maître d’hôtel, mais le policier comprend vite que les choses sont bien plus complexes. Alors qu’il était en repos forcé, le voici chargé d’une enquête sensible auquel le nouveau patron de police rajoute deux missions supplémentaires : convaincre les corporations de bouchers d'éviter la propagation de la peste porcine et enquêter sur la présence incongrue de deux femmes mystérieuses dans les jardins privés de Versailles. En plus de cela, Le Floch découvre un espion anglais dans la cour du roi et subit plusieurs agressions ! Bref, entre deux repas copieux avec ses amis (une constante dans la série), l’inspecteur de police ne chôme pas. Un roman rondement mené, les péripéties succédant aux intrigues et vice versa, quelques touches d’humour bienvenues, la description minutieuse d’une époque, de la cour du roi notamment et enfin une écriture précieuse et riche. Une bonne série de romans policiers historiques avec ici un épisode particulièrement réussi.Dans cette cinquième aventure de Nicolas Le Floch, Louis XVI vient d’accéder au pouvoir et a procédé au renouvellement de son gouvernement. Ainsi Sartine, le lieutenant général de la police, a été muté ministre de la Marine. Et le nouveau supérieur de Le Floch l’a aussitôt mis sur la touche. Jusqu’au jour où un autre ministre du roi le demande pour enquêter sur un crime commis dans son hôtel. Une femme de chambre est retrouvée morte dans les communs. Tout accuse le maître d’hôtel, mais le policier comprend vite que les choses sont bien plus complexes. Alors qu’il était en repos forcé, le voici chargé d’une enquête sensible auquel le nouveau patron de police rajoute deux missions supplémentaires : convaincre les corporations de bouchers d'éviter la propagation de la peste porcine et enquêter sur la présence incongrue de deux femmes mystérieuses dans les jardins privés de Versailles. En plus de cela, Le Floch découvre un espion anglais dans la cour du roi et subit plusieurs agressions ! Bref, entre deux repas copieux avec ses amis (une constante dans la série), l’inspecteur de police ne chôme pas. Un roman rondement mené, les péripéties succédant aux intrigues et vice versa, quelques touches d’humour bienvenues,...
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  • Marcellina 12/07/2020
    Je les avale goulûment, trop peut-être mais tant pis, j'aime trop :-p Mis sur la touche, presque un exil, pas grave, notre commissaire préféré se découvre un fils, un adolescent et pour le coup, il se sent l'âme d'un père et ce temps de repos vient à point pour parfaire cette nouvelle casquette :-p Pas pour longtemps néanmoins, on le redemande bien vite et les résultats de cette enquête multiple seront son sésame pour une bonne entente avec son nouveau chef qui pourtant lui battait froid ! Eh oui, personne ne résiste au charme ni surtout à l'intelligence particulière de notre Nicolas ! Rien à redire ni au style qui m'enchante, ni aux personnages si attachants qui vieillissent en beauté, ni aux sources culinaires qui me font baver tout au long de ma lecture et c'est pourquoi, une petite recette pour terminer, le gigot farci à la royale : « Imaginez un beau gigot, poursuivit La Borde avec emphase, conservé au frais quelques jours pour le meurtrir et l'attendrir. D'abord, il faut rompre le manche jusqu'à l'intérieur et vider la viande tout en gardant intacte l'enveloppe… Cette chair tirée de l'intérieur, il vous la faut hacher menu avec un peu de lard, de la moelle, du gras fin de rognon de veau, des champignons, des œufs, du sel, du poivre et des épices. Maniez et remaniez en vous donnant de la peine afin que toutes les parties prennent également le goût et l'assaisonnement des autres. Ensuite, remplissez la peau du tout pour que le gigot reparaisse en sa forme naturelle et liez-le avec de la ficelle de tous côtés, afin de l'entretenir dans sa consistance. Vous le faites roussir bellement, puis vous l'empotez avec un bon bouillon double et un morceau de bœuf maigre, à moitié rôti, qui l'emplira de ses sucs et lui communiquera plus de goût. Rajoutez aussi des oignons piqués de girofle et un bouquet. Une bonne heure après, retournez-le dans le pot jusqu'à cuisson que vous vérifiez du bout des doigts en reconnaissant la mollesse de la chair. La sauce réduite, vous y incorporerez des béatilles et vous inonderez de cette succulence le gigot dûment découpé. » J'ai vraiment envie de tenter l'affaire avec du foie gras comme béatille :-p Une lecture plaisir que je vais m'empresser de renouveler en plongeant illico dans le tome suivant :-)Je les avale goulûment, trop peut-être mais tant pis, j'aime trop :-p Mis sur la touche, presque un exil, pas grave, notre commissaire préféré se découvre un fils, un adolescent et pour le coup, il se sent l'âme d'un père et ce temps de repos vient à point pour parfaire cette nouvelle casquette :-p Pas pour longtemps néanmoins, on le redemande bien vite et les résultats de cette enquête multiple seront son sésame pour une bonne entente avec son nouveau chef qui pourtant lui battait froid ! Eh oui, personne ne résiste au charme ni surtout à l'intelligence particulière de notre Nicolas ! Rien à redire ni au style qui m'enchante, ni aux personnages si attachants qui vieillissent en beauté, ni aux sources culinaires qui me font baver tout au long de ma lecture et c'est pourquoi, une petite recette pour terminer, le gigot farci à la royale : « Imaginez un beau gigot, poursuivit La Borde avec emphase, conservé au frais quelques jours pour le meurtrir et l'attendrir. D'abord, il faut rompre le manche jusqu'à l'intérieur et vider la viande tout en gardant intacte l'enveloppe… Cette chair tirée de l'intérieur, il vous la faut hacher menu avec un peu de lard, de la moelle,...
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  • Phoenicia 01/06/2020
    Cette enquête de Nicolas Le Floch m'a distrait sans pour autant me plaire suffisamment pour m'en laisser un souvenir impérissable. On retrouve le commissaire au Châtelet en plein bouleversement. Un fils naturel à connaître, un nouveau roi à séduire, un nouveau supérieur à satisfaire. Tout ceci demande à l'homme ses plus habiles connaissances en tant qu'enquêteur comme de courtisan. Quant au lecteur, il faut s'armer d'attention et de bons souvenirs quant aux tomes précédents. C'est une série qui, je trouve, se lit mal les tomes en désordre. L'enquête : Le Noir, nouveau chef de Nicolas le Floch, le met à l'écart. Et pourtant le Duc de Vrillère, chef de Le Noir, mande Le Floch pour résoudre un crime sordide ayant eu lieu dans son hôtel : une des femmes de chambre de son épouse a été retrouvée égorgée en cuisine... Une intrigue intéressante sur bien des points mais avec des bémols non négligeables. Jean-François Parot a le don de nous immerger complètement dans cette fin du XVIIIe s. Que ce soit les faits et le contexte, les habitudes alimentaires (qui ne manquent pas de nous faire saliver), le vocabulaire utilisé lors des dialogues et le registre de la narration elle-même, on sent une grande connaissance historique derrière. Pour autant à cette qualité de vraisemblance s'impose une difficulté à tenir le fil. En effet, lire une enquête de Le Floch n'a rien d'une lecture facile, sans prise de tête, que ce soit à cause du registre utilisé que l'enquête elle-même qui semble prendre des tournures alambiquées. Difficile de suivre tous les tenants et les aboutissements. Si bien que soit on s'accroche, soit on décroche. Je trouve que c'est le bémol principal de cette série. Il n'en reste pas moins que j'ai envie de découvrir la suite des aventures du commissaire au Châtelet. Challenge Jeu de l'oie littéraire (7e partie) Challenge Trivial Reading VII Challenge A travers l'histoire 2020 Challenge Mauvais Genres 2020 Challenge Cluedo littéraire III Challenge Séries 2020 Challenge Pavés 2020Cette enquête de Nicolas Le Floch m'a distrait sans pour autant me plaire suffisamment pour m'en laisser un souvenir impérissable. On retrouve le commissaire au Châtelet en plein bouleversement. Un fils naturel à connaître, un nouveau roi à séduire, un nouveau supérieur à satisfaire. Tout ceci demande à l'homme ses plus habiles connaissances en tant qu'enquêteur comme de courtisan. Quant au lecteur, il faut s'armer d'attention et de bons souvenirs quant aux tomes précédents. C'est une série qui, je trouve, se lit mal les tomes en désordre. L'enquête : Le Noir, nouveau chef de Nicolas le Floch, le met à l'écart. Et pourtant le Duc de Vrillère, chef de Le Noir, mande Le Floch pour résoudre un crime sordide ayant eu lieu dans son hôtel : une des femmes de chambre de son épouse a été retrouvée égorgée en cuisine... Une intrigue intéressante sur bien des points mais avec des bémols non négligeables. Jean-François Parot a le don de nous immerger complètement dans cette fin du XVIIIe s. Que ce soit les faits et le contexte, les habitudes alimentaires (qui ne manquent pas de nous faire saliver), le vocabulaire utilisé lors des dialogues et le registre de la narration elle-même, on sent...
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  • Tatooa 27/09/2019
    Dieu que j'aime cette série de policiers historiques ! Oui c'est difficile à lire. Oui c'est écrit dans une langue ultra-recherchée, qui nécessite d'aller lire les notes (en fin de livre, et non, comme je le regrette à chaque tome, en bas de pages) pour comprendre le vocabulaire d'époque que l'auteur utilise avec un brio remarquable. Mais quand on aime les livres historiques, on ne peut qu'aimer ces livres, quel que soit le travail qu'ils demandent ! Cela me réjouit, moi, tout ce vocabulaire que j'apprends, ces tournures de phrases formidables, presque naturelles sous la plume de Parot, que ce soit le langage châtié de Noblecourt et des "grands" du royaume, ou l'argot des mouches et autres mères maquerelles et prostituées. C'est juste du bonbon ! Je foutinnambule ! (Non, vous ne trouverez pas sur le net. Seule la note de fin de livre l'explique : "s'amuser à des riens"). Oui il y a beaucoup de personnages. Mais ils sont récurrents, pour la plupart ! On les connait tous depuis le tome 1. Alors à moins d'avoir une mémoire de poisson rouge, on commence quand même à bien les connaître, chacun avec sa personnalité bien définie et cohérente, que ce soit l'entourage fictif de Nicolas, ou les personnages historiques, que du bonheur là aussi... Un nouveau chef de la police le Noir supervise Nicolas (De Sartine étant devenu ministre de la marine), hostile au départ, Nicolas est mis au placard, en quelque sorte. Il va donc jouer le courtisan. Nous pénétrons ainsi les arcanes du cirage de pompes et des intrigues de l'époque. le vieux roi est mort, la cour est en deuil. le règne du jeune Louis XVI apparaît un peu mou par rapport au règne précédent. Nicolas reste néanmoins fidèle à ses convictions, et donc à la royauté. Nous avons le peuple qui gronde en la personne de Bourdeau. Toute la politique, les manigances internationales (anglaises pour mieux les cerner, lol) sont décortiquées, et c'est drôlement intéressant d'avoir les deux bouts de la lorgnette en cette époque troublée, notamment les erreurs de Louis XVI détaillées par le menu (clin d'oeil aux recettes données dans chaque tome, lol). Le tout sur fond de meurtre chez un ministre débauché notoire, ce qui pourrait avoir des conséquences sur le gouvernement du roi. Plein d'intrigues et de pistes sont lancées au départ, selon la bonne habitude de l'auteur... On ira donc dans les pas de Nicolas (une fois revenu en grâce auprès de son nouveau chef) à la poursuite d'un assassin insaisissable. La construction du roman ressemble aux précédents, c'est vrai. du coup je vais arrêter là pour l'instant, sous peine de me lasser après en avoir lu 2 d'affilée, deux coups de coeur... Mais j'y reviendrai, c'est sûr ! Dieu que j'aime cette série de policiers historiques ! Oui c'est difficile à lire. Oui c'est écrit dans une langue ultra-recherchée, qui nécessite d'aller lire les notes (en fin de livre, et non, comme je le regrette à chaque tome, en bas de pages) pour comprendre le vocabulaire d'époque que l'auteur utilise avec un brio remarquable. Mais quand on aime les livres historiques, on ne peut qu'aimer ces livres, quel que soit le travail qu'ils demandent ! Cela me réjouit, moi, tout ce vocabulaire que j'apprends, ces tournures de phrases formidables, presque naturelles sous la plume de Parot, que ce soit le langage châtié de Noblecourt et des "grands" du royaume, ou l'argot des mouches et autres mères maquerelles et prostituées. C'est juste du bonbon ! Je foutinnambule ! (Non, vous ne trouverez pas sur le net. Seule la note de fin de livre l'explique : "s'amuser à des riens"). Oui il y a beaucoup de personnages. Mais ils sont récurrents, pour la plupart ! On les connait tous depuis le tome 1. Alors à moins d'avoir une mémoire de poisson rouge, on commence quand même à bien les connaître, chacun avec sa personnalité bien définie et cohérente, que ce...
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    10/18

    Nicolas Le Floch : l'histoire d'un phénomène

    Quatre ans après la disparition de Jean-François Parot, "père" des aventures du commissaire Nicolas Le Floch à la veille de la Révolution française, Laurent Joffrin signe un quinzième tome, publié début octobre aux éditions 10/18, qui avaient déjà accueilli l’intégralité de la saga. Retour sur un phénomène ayant, comme son créateur, largement dépassé les frontières de l’Hexagone.

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