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Le testament de Dina
Loup-Maëlle Besançon (traduit par)
Date de parution : 17/10/2019
Éditeurs :
10/18

Le testament de Dina

Loup-Maëlle Besançon (traduit par)
Date de parution : 17/10/2019
La suite tant attendue par les lecteurs de Herbjørg Wassmo sort enfin. Le testament de Dina sonne comme des retrouvailles familiales tant espérées.
1890. La fougueuse Dina n’a pas survécu à ses blessures lors de l’incendie de Reinsnes. L’église est bondée le jour de ses funérailles et, face à la foule, sa petite-fille... 1890. La fougueuse Dina n’a pas survécu à ses blessures lors de l’incendie de Reinsnes. L’église est bondée le jour de ses funérailles et, face à la foule, sa petite-fille Karna témoigne de sa confession : « Moi, Dina, j’ai de mes propres mains fait en sorte que le traîneau... 1890. La fougueuse Dina n’a pas survécu à ses blessures lors de l’incendie de Reinsnes. L’église est bondée le jour de ses funérailles et, face à la foule, sa petite-fille Karna témoigne de sa confession : « Moi, Dina, j’ai de mes propres mains fait en sorte que le traîneau tombe dans le gouffre et provoque la mort de Jacob Grønelv. J’ai tiré un coup de fusil lapon sur le Russe Léo Zjukovsky et provoqué sa mort. Je me reconnais coupable. Je demande cepen­dant qu’on libère mon corps. Dans la mer. » Puis Karna se mure dans le silence. Ou comment, vingt ans plus tard, être les héritiers de Dina.
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EAN : 9782264074720
Code sériel : 5490
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 624
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264074720
Code sériel : 5490
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 624
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AnnaRose1 16/02/2023
    Toujours ce style si musical, si mélodique que la lecture est un réel moment de plaisir. Wassmo nous berce de l'émotion de ses personnages. Sur ce dernier tome, l'histoire est centrée sur Anna, Karna et l'abnéguant Benjamin. J'ai peut-être été un peu déçue du manque d'interaction avec Dina, dont le premier chapitre est consacré à son enterrement et à l'effet funeste sur Karna, qui témoigne des actes de sa grand-mère et est durablement affectée. Le lien sur la folie que l'on sent de génération : la grand-mère, le père, la fille, m'a paru, peut-être, pas si exploité. Les mêmes tics relevés par l'auteur, sans plus (le russe, la marche). De même, la passion de Benjamin et Hannah n'est pas du tout développée. On sait juste qu'ils ont fauté. C'est un peu dommage, j'aurais aimé connaitre la place d'Hannah dans ce couple avant l'incendie. De même, nous ne savons pas pourquoi Dina s'est lancé dans le chantier naval. L'histoire se concentre, en fait, réellement sur les émotions de Anna, Karna, Benjamin et Joachim et leurs histoires d'amour. J'ai été aussi un peu déçue par la fin, un peu en mode "et paf la vitre", alors que Dina était une femme libre et forte, Karna et Anna ne le seront pas.Toujours ce style si musical, si mélodique que la lecture est un réel moment de plaisir. Wassmo nous berce de l'émotion de ses personnages. Sur ce dernier tome, l'histoire est centrée sur Anna, Karna et l'abnéguant Benjamin. J'ai peut-être été un peu déçue du manque d'interaction avec Dina, dont le premier chapitre est consacré à son enterrement et à l'effet funeste sur Karna, qui témoigne des actes de sa grand-mère et est durablement affectée. Le lien sur la folie que l'on sent de génération : la grand-mère, le père, la fille, m'a paru, peut-être, pas si exploité. Les mêmes tics relevés par l'auteur, sans plus (le russe, la marche). De même, la passion de Benjamin et Hannah n'est pas du tout développée. On sait juste qu'ils ont fauté. C'est un peu dommage, j'aurais aimé connaitre la place d'Hannah dans ce couple avant l'incendie. De même, nous ne savons pas pourquoi Dina s'est lancé dans le chantier naval. L'histoire se concentre, en fait, réellement sur les émotions de Anna, Karna, Benjamin et Joachim et leurs histoires d'amour. J'ai été aussi un peu déçue par la fin, un peu en mode "et paf la vitre", alors que Dina était une femme libre...
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  • alaubeellelit 09/10/2022
    J'ai aimé mais j'ai été un peu déçue par ce tome. L'aphasie de Karna est envahissante. J'ai trouvé qu'elle durait trop longtemps, il n'y a pas vraiment d'explications claires concernant le pourquoi et le comment sa maladie a été guérie. Ce que je reproche surtout à l'histoire, c'est que l'histoire de personnages secondaires est laissée de côté. On ne connait pas la fin, où l'on n'est pas sure. (Peder entre autres).
  • Libellule41 25/03/2022
    Dans ce dernier volet du" cycle de Dina", Herbjorg Wassmo clôt la vaste fresque familiale des Gronelv qui se situe dans la 2ème partie du XIXème siècle, une période où des changements commencent à apparaître dans la marche des affaires, dans les mentalités et les moeurs. "Le testament de Dina" s'ouvre en 1890 lorsque disparaît Dina Gronelv, morte accidentellement dans l'incendie du domaine maritime de Reinsnes, dont elle était propriétaire sur la côte septentrionale de la Norvège. Cette disparition s'accompagne du très lourd héritage que la maîtresse des lieux fait porter à sa petite-fille Karna, âgée seulement de 16 ans et fragilisée par une maladie neurologique depuis l'enfance. Dans ce dernier volume, l'auteure convoque à nouveau, même épisodiquement, les principaux acteurs de cette saga, afin que le puzzle s'emboîte parfaitement et que chacun y ait bien sa place dans l'esprit du lecteur. Le projecteur est toutefois mis sur deux personnages en particulier: d'abord, la jeune Karna, détentrice du testament de sa grand-mère, dont le mutisme nourri d'hallucinations obligent ses proches à la faire hospitaliser dans une clinique de Copenhague. Accompagnée d'Anna Gronelv, la femme de son père, elle va passer deux ans dans la capitale danoise, avant son retour définitif dans le Nordland. C'est ensuite sur Anna que l'auteure met la lumière, une femme attachante, partagée entre ses rêves de liberté et ses devoirs, confrontée à ses doutes, ses incertitudes, ses problèmes de femme et d'épouse. C'est une personne courageuse qui finit par trouver, semble t'il, le bon cap à donner à sa vie. Mais Herbjorg Wassmo a un talent certain pour toujours évoquer derrière la lumière apparente, les ombres qui s'y projettent. Judicieusement elle introduit dans le dernier tome de cette histoire familiale l'ombre de deux absentes "de poids", Hanna, l'amie d'enfance de Benjamin Gronelv, dont il ne parvient à oublier ni le charme ni le destin tragique, et Dina, l'incontestable héroïne de ce cycle remarquable. Dans ce dernier volet du" cycle de Dina", Herbjorg Wassmo clôt la vaste fresque familiale des Gronelv qui se situe dans la 2ème partie du XIXème siècle, une période où des changements commencent à apparaître dans la marche des affaires, dans les mentalités et les moeurs. "Le testament de Dina" s'ouvre en 1890 lorsque disparaît Dina Gronelv, morte accidentellement dans l'incendie du domaine maritime de Reinsnes, dont elle était propriétaire sur la côte septentrionale de la Norvège. Cette disparition s'accompagne du très lourd héritage que la maîtresse des lieux fait porter à sa petite-fille Karna, âgée seulement de 16 ans et fragilisée par une maladie neurologique depuis l'enfance. Dans ce dernier volume, l'auteure convoque à nouveau, même épisodiquement, les principaux acteurs de cette saga, afin que le puzzle s'emboîte parfaitement et que chacun y ait bien sa place dans l'esprit du lecteur. Le projecteur est toutefois mis sur deux personnages en particulier: d'abord, la jeune Karna, détentrice du testament de sa grand-mère, dont le mutisme nourri d'hallucinations obligent ses proches à la faire hospitaliser dans une clinique de Copenhague. Accompagnée d'Anna Gronelv, la femme de son père, elle va passer deux ans dans la capitale danoise, avant son...
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  • Guillaume72 28/01/2022
    Comme à son habitude, Wassmo nous dresse des portraits de personnages forts, de ceux qui vous restent en mémoire longtemps. La description de la folie pourrait paraître dure, mais c'est autour de ce climat que l'histoire se noue entre Karma, Anna, Joakim et Benjamin. Anna est éprise de liberté et hésite entre deux hommes. son mari fait preuve de compréhension et d'abnégation et finit pas faire l'admiration de son rival. Au total, dans cette quête de liberté, je suis bien en peine de vous dire s'il y a un vainqueur. Je ne le pense pas : tous les personnages repartent avec une perte. C'est un mode un peu rude, mais passionnant. C'est écrit de manière magistrale, c'est envoûtant !
  • nanouche 10/09/2021
    Au moment de sa mort Dina a fait promettre à Karna, sa petite fille, de révéler son secret le jour de ses obsèques : dans sa vie Dina a tué deux hommes. Après avoir accompli sa mission face à toute la communauté, Karna entre dans une sorte de folie. Elle ne parle plus et a des hallucinations. Anna, la femme de son père, décide d'emmener Karna à Copenhague pour l'y faire hospitaliser -la famille vit dans le nord de la Norvège, nous sommes en 1890. Ce voyage permet aussi à Anna de s'éloigner un temps de son mari, Benjamin, dont elle vient d'apprendre l'infidélité. A Copenhague Anna goûte sa liberté et fait la connaissance du médecin psychiatre Joakim Klim qui lui fait forte impression. Le roman présente alternativement l'histoire et le point de vue de différents personnages. J'apprécie particulièrement celui d'Anna qui s'émancipe malgré ce que l'époque attend des femmes de la bourgeoisie. Benjamin et Joakim la soutiennent de leur mieux même si son comportement et ses choix les bousculent. Je trouve intéressante aussi la façon dont l'autrice tente de se mettre dans la tête de Karna pour nous faire comprendre comment elle pense. Son emmurement en elle-même est bien rendu. Il y a aussi Peder, l'amoureux de Karna, un jeune homme volontaire confronté à la violence de son frère. J'avais lu il y a déjà un bout de temps Le livre de Dina que j'avais fort apprécié. Le testament de Dina en est une suite. Il semble qu'il y ait entre les deux une histoire de Benjamin. Néanmoins on peut lire le présent roman sans avoir lu les précédents : on retrouve les mêmes personnages mais l'histoire est distincte. J'ai beaucoup apprécié cette lecture. L'autrice donne une analyse psychologique approfondie de ses personnages, qui permet au lecteur de comprendre leurs actes. Le regard porté sur eux est bienveillant même si les péripéties sont parfois douloureuses. C'est de plus fort bien écrit.Au moment de sa mort Dina a fait promettre à Karna, sa petite fille, de révéler son secret le jour de ses obsèques : dans sa vie Dina a tué deux hommes. Après avoir accompli sa mission face à toute la communauté, Karna entre dans une sorte de folie. Elle ne parle plus et a des hallucinations. Anna, la femme de son père, décide d'emmener Karna à Copenhague pour l'y faire hospitaliser -la famille vit dans le nord de la Norvège, nous sommes en 1890. Ce voyage permet aussi à Anna de s'éloigner un temps de son mari, Benjamin, dont elle vient d'apprendre l'infidélité. A Copenhague Anna goûte sa liberté et fait la connaissance du médecin psychiatre Joakim Klim qui lui fait forte impression. Le roman présente alternativement l'histoire et le point de vue de différents personnages. J'apprécie particulièrement celui d'Anna qui s'émancipe malgré ce que l'époque attend des femmes de la bourgeoisie. Benjamin et Joakim la soutiennent de leur mieux même si son comportement et ses choix les bousculent. Je trouve intéressante aussi la façon dont l'autrice tente de se mettre dans la tête de Karna pour nous faire comprendre comment elle pense. Son emmurement en elle-même est bien rendu....
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Voyagez hors des sentiers battus, loin d'une littérature conventionnelle et attendue…