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Un été ardent
Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 11/02/2010
Éditeurs :
Pocket

Un été ardent

Serge Quadruppani (traduit par), Maruzza Loria (traduit par)
Date de parution : 11/02/2010

Une invasion de cafards, puis de souris, et enfin de rats : la villa que le commissaire Montalbano a trouvée à Vigàta pour des amis semble vraiment maudite. La série de...

Une invasion de cafards, puis de souris, et enfin de rats : la villa que le commissaire Montalbano a trouvée à Vigàta pour des amis semble vraiment maudite. La série de catastrophes atteint son paroxysme lorsque le petit garçon du couple disparaît… pour être finalement retrouvé sain et sauf dans un...

Une invasion de cafards, puis de souris, et enfin de rats : la villa que le commissaire Montalbano a trouvée à Vigàta pour des amis semble vraiment maudite. La série de catastrophes atteint son paroxysme lorsque le petit garçon du couple disparaît… pour être finalement retrouvé sain et sauf dans un sous-sol dont les locataires ignoraient l’existence. Mais une autre découverte y attend le commissaire : le cadavre d’une jeune fille du village disparue plusieurs années auparavant. Dans la chaleur étouffante du mois d’août en Sicile, Montalbano se lance dans une nouvelle enquête, perturbée par la sœur jumelle de la défunte, la ravissante Adriana...

« Si Camilleri s'y entend pour faire tenir une histoire debout, il est encore meilleur à l'heure de la chute. » A.B. – Le Magazine Littéraire

@ Disponible chez 12-21

L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

 

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EAN : 9782266196437
Code sériel : 14192
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266196437
Code sériel : 14192
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 256
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Si Camilleri s’y entend pour faire tenir une histoire debout, il est encore meilleur à l’heure de la chute. »

A.B. ? Le Magazine Littéraire

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • PLK 17/12/2023
    Tout commence ainsi : Une villa, louée par le commissaire Montalbano pour un couple ami pour un mois de vacances au bord de la mer, se révèle, avec la mystérieuse disparition de leur petit garçon... - Un bon polar à l’énigme assez classique en somme mais qui sert de support à une plongée en Sicile avec ses beautés (paysages, plages, soleil de plomb, gastronomie...) et ses défauts (corruption, marchés truqués, constructions illégales…), mais aussi à la cause des femmes, le vieillissement, la séduction.. - Une originalité qui désarçonne au début : le traducteur a choisi de franciser le dialecte sicilien. En se laissant prendre par l’intrigue, on s’y habitue !
  • lalahat 16/07/2022
    Un été ardent, le titre convient tout à fait à cette enquête du commissaire Montalbano. Il faut le lire à la plage, en vacances, de préférence en période de canicule, pour éprouver au maximum l'atmosphère du roman. Je n'ai pas fait le compte du nombre de douches et de bains de mer qu'y prend le commissaire, jusqu'à la dernière page ... Tout semble fondre sous la chaleur insupportable à Vigata. Montalbano se retrouve même en caleçon à plusieurs reprises dans son bureau. Livia, sa fiancée, apparait au début du récit. C'est plus souvent au téléphone qu'elle intervient dans les autres opus de Camilleri. La relation du couple est toujours houleuse, et cet épisode ne fait pas exception. Montalbano, dévoré par la culpabilité ( ce qui explique le nombre de douches et bains purificateurs ) se laisse séduire et manipuler par Adriana, une jeune et insolente beauté du pays. A 55 ans, il est loin de la sagesse et de la sérénité. Ce sont bien les états d'âme de Salvo et la sympathie qu'il inspire qui font que l'on revient irrésistiblement à la saga de Camilleri. L'intrigue occupe un second plan, toujours en rapport avec la mafia, la corruption, et les déviances sexuelles qui pourrissent la société sicilienne. Il y a toujours les interludes comiques de Catarella, et parfois poétique avec notamment une citation de Pessoa. Heureusement, l'auteur sait mettre en valeur les atouts du pays, que sont ses paysages et sa cuisine. Même en période de canicule, l'appétit – le pétit – ne faiblit pas. En témoigne une belle scène de repas en tête à tête où Adriana et Salvo savourent leur assiette de spaghetti, et en partagent quelques bouchées, dans un silence quasi religieux ...Un été ardent, le titre convient tout à fait à cette enquête du commissaire Montalbano. Il faut le lire à la plage, en vacances, de préférence en période de canicule, pour éprouver au maximum l'atmosphère du roman. Je n'ai pas fait le compte du nombre de douches et de bains de mer qu'y prend le commissaire, jusqu'à la dernière page ... Tout semble fondre sous la chaleur insupportable à Vigata. Montalbano se retrouve même en caleçon à plusieurs reprises dans son bureau. Livia, sa fiancée, apparait au début du récit. C'est plus souvent au téléphone qu'elle intervient dans les autres opus de Camilleri. La relation du couple est toujours houleuse, et cet épisode ne fait pas exception. Montalbano, dévoré par la culpabilité ( ce qui explique le nombre de douches et bains purificateurs ) se laisse séduire et manipuler par Adriana, une jeune et insolente beauté du pays. A 55 ans, il est loin de la sagesse et de la sérénité. Ce sont bien les états d'âme de Salvo et la sympathie qu'il inspire qui font que l'on revient irrésistiblement à la saga de Camilleri. L'intrigue occupe un second plan, toujours en rapport avec la mafia, la corruption, et les déviances...
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  • MPM 24/11/2021
    L’intrigue se met lentement en place et prend d’abord un tour humoristique car une amie de Livia a loué une maison au bord de mer qui n’épargnera aucune surprise à ses locataires d’été : cafards, souris, araignées…et même un cadavre ! Ce corps découvert par hasard dans les sous-sols illégaux de cette demeure est celui d’une très belle jeune fille morte 6 ans plus tôt. Une enquête difficile débute alors pour Montalbano d’autant que la chaleur est caniculaire et que la sœur jumelle de la victime a un comportement déstabilisant et qu’elle tente de séduire ce pauvre Montalbano tout tourneboulé. Celui-ci ne perd pas tout à fait la raison ; grâce à sa perspicacité et à de nombreuses ruses plus ou moins conformes à la légalité, il parviendra à identifier le meurtrier. Ce roman qui débute sur un touche humoristique et loufoque s’avère très sombre et même glauque. La cause des femmes est au cœur de cette histoire. Son dénouement, très brutal et réussi, laisse le lecteur KO.
  • Herve-Lionel 20/11/2021
    N°1608- Novembre 2021 Un été ardent– Andrea Camilleri – Fleuve noir. Traduit de l'italien par Serge Quadruppani et Maruzza Loria. Il fait chaud, très chaud pendent cet été Sicilien. Alors qu’il était chez des amis qui venaient de louer une maison de vacances, Salvo Montalbano tombe par hasard, en recherchant l’enfant du couple, sur le cadavre caché d’une jeune fille morte quelques années auparavant. Comme il est malin, il va tout faire pour impliquer le constructeur de cet immeuble qui s’avère avoir été construit hors la loi, ce qui est malgré tout ici monnaie courante. Il s’implique tellement dans cette affaire qu’il en découvre une autre, un meurtre camouflé en accident du travail, qui n’a apparemment rien à voir mais qui sera traitée avec la même fougue. Ces deux enquêtes s’orientent vers le promoteur immobilier Spitaleri, prédateur sexuel mais aussi notable qui se sait protégé et qui a produit un solide alibi. Il est officier de police mais, quand il s’agit d’obtenir des renseignements il a allègrement tendance à l’oublier et à carrément agir comme un voyou. Il est même assez chanceux dans sa pratique du mensonge puisque, à la suite d’une intuition inattendue, il invente une sœur jumelle à la première victime qui se révèle effectivement dans la personne de la ravissante Adriana. Montalbano enquête donc dans la touffeur hallucinante de ce mois d’août, non sans tomber sous le charme de cette jeune sœur aussi bluffeuse que lui, tout en tentant cependant de garder la tête froide. Il est aidé en cela par le whisky, la bonne nourriture italienne et les bains de mer mais aussi par. son fidèle Fazio, mais il finira par douter de lui, de la justice, de l’homme, ressentir une nouvelle fois de la culpabilité et surtout s’apercevoir qu’il a vieilli, bref un homme perturbé et cependant bien seul, finalement manipulé, et qui conclut d’une manière assez inattendue ces deux affaires, mais en toute conscience de ce qu’il est devenu. J’ai retrouvé avec le même plaisir ici tous les ingrédients siciliens de ses traditionnelles affaires, la collusion entre la mafia et le pouvoir politique, le blanchiment de l’argent sale, la hiérarchie tatillonne, les hésitations du commissaire, son épicurisme et ses difficultés sentimentales avec son éternelle Livia.N°1608- Novembre 2021 Un été ardent– Andrea Camilleri – Fleuve noir. Traduit de l'italien par Serge Quadruppani et Maruzza Loria. Il fait chaud, très chaud pendent cet été Sicilien. Alors qu’il était chez des amis qui venaient de louer une maison de vacances, Salvo Montalbano tombe par hasard, en recherchant l’enfant du couple, sur le cadavre caché d’une jeune fille morte quelques années auparavant. Comme il est malin, il va tout faire pour impliquer le constructeur de cet immeuble qui s’avère avoir été construit hors la loi, ce qui est malgré tout ici monnaie courante. Il s’implique tellement dans cette affaire qu’il en découvre une autre, un meurtre camouflé en accident du travail, qui n’a apparemment rien à voir mais qui sera traitée avec la même fougue. Ces deux enquêtes s’orientent vers le promoteur immobilier Spitaleri, prédateur sexuel mais aussi notable qui se sait protégé et qui a produit un solide alibi. Il est officier de police mais, quand il s’agit d’obtenir des renseignements il a allègrement tendance à l’oublier et à carrément agir comme un voyou. Il est même assez chanceux dans sa pratique du mensonge puisque, à la suite d’une intuition inattendue, il invente une sœur jumelle à la première victime...
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  • bfauriaux 15/07/2021
    Un thriller tres bien ficelé par un maitre italien du roman policier :Camilleri c'est tout d'abord un style mélangeant l'argot sicilien et l'italien qui donne à ses romans une touche locale très agréable à lire et nous offre de vrais bons moments de lecture grace à une traduction aux petits oignons !Le personnage central, l'inspecteur Montalbano est tres attachant et est un des heros recurrent du roman policier.
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