Célestine du Bac

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• NonoMzi 09/04/2024

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  Je lis depuis longtemps Tatiana de Rosnay, mais il faut avouer que c'est le deuxième livre que je lis qui ne me transporte pas comme Moka ou Elle s'appelait Sarah. Le début du livre partait bien. Comme d'habitude, la lecture est facile, fluide et rapide. Les chapitres sont courts, axé sur chaque élément de l'histoire, ce qui mets un certain ordre et organise les idées. J'ai trouvé Martin peu attachant, un peu trop fade, de même que Célestine. Au final, celui à qui je me suis le plus attachée est Victor. Ses problématiques, ses doutes vis à vis de son fils et ses sentiments envers sa femme disparue sont plus exploités que le mal être de Martin, résumé à des pieds et un mutisme incompréhensible. Je ne me suis pas spécialement attachée non plus à Célestine, tellement cliché des SDF. On la côtoie sans pour autant entrer dans sa vie, dans l'émotion dans laquelle un parcours aussi compliqué que le sien pourrait nous emmener. Je suis restée un peu de marbre au vu de la vie de cette femme, qui pourtant avait tout le potentiel de m'émouvoir. Mais je crois que j'ai décroché à partir de 200 pages. Déjà, on ne parle quasiment plus de Célestine pendant 100 pages. Et puis arrive les bribes de passages surnaturels, de mots fantomatiques, de prédictions qui pour moi ont encore plus cassé le côté émotionnel que pouvait apporter cette histoire. Les réactions un peu surjouées, les décisions beaucoup trop grosses pour être réelles, ont supprimé toute la dimension "normale" de l'histoire, et je n'ai pas accroché. J'ai difficilement trouvé quelque chose de nouveau, une belle morale de cette histoire. Lisant actuellement Jamais plus de Colleen Hoover, abordant aussi la question du sdf, j'en éprouve beaucoup plus d'émotion. Une bonne lecture donc mais sans plus, et ni Martin ni Célestine n'auront marqué mon esprit. Je lis depuis longtemps Tatiana de Rosnay, mais il faut avouer que c'est le deuxième livre que je lis qui ne me transporte pas comme Moka ou Elle s'appelait Sarah. Le début du livre partait bien. Comme d'habitude, la lecture est facile, fluide et rapide. Les chapitres sont courts, axé sur chaque élément de l'histoire, ce qui mets un certain ordre et organise les idées. J'ai trouvé Martin peu attachant, un peu trop fade, de même que Célestine. Au final, celui à qui je me suis le plus attachée est Victor. Ses problématiques, ses doutes vis à vis de son fils et ses sentiments envers sa femme disparue sont plus exploités que le mal être de Martin, résumé à des pieds et un mutisme incompréhensible. Je ne me suis pas spécialement attachée non plus à Célestine, tellement cliché des SDF. On la côtoie sans pour autant entrer dans sa vie, dans l'émotion dans laquelle un parcours aussi compliqué que le sien pourrait nous emmener. Je suis restée un peu de marbre au vu de la vie de cette femme, qui pourtant avait tout le potentiel de m'émouvoir. Mais je crois que j'ai décroché à partir de 200 pages. Déjà, on...

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• Tricotin35 16/03/2024

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  Lecture rapide, personnages attachants, j' ai passé un bon moment mais je n en garderai pas un souvenir impérissable. C est plutôt un conte qu un roman. Je me suis attachée à Martin, orphelin de sa maman et vivant avec son père qui n arrive pas à le rejoindre. La rencontre avec une dame de la rue va changer sa vie. Cette femme blessée, seule, âgée va réussir à le rejoindre, leur rencontre est belle pour la joie donnée et reçue des deux côtés.
• Gigibambino 23/02/2024

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  Enfin je retrouve la Tatiana de Rosnay qui m'avait tant manqué, car je dois dire que son précédent roman m'avait laissé un goût amer !!! Avec "Célestine du Bac" je me suis laissé emporté par cette belle histoire d'amitié improbable entre Martin, jeune garçon de 18 ans, issu d'une famille bourgeoise, un brin coincé, et Célestine, SDF d'un certain âge, brut de décoffrage, abîmée par les coups dur de la vie et l'alcool… Lui, plutôt solitaire et taciturne, se réfugie dans l'univers des livres d'Émile Zola qui l'admire énormément, au point d'écrire un roman en lien avec son auteur préféré. Il a pour seul ami Oscar, complètement à l'opposé de lui, et son chien Germinal qu'il promène tous les jours dans les rues de Paris. Elle, a trouvé refuge sous un porche de la rue du Bac, à mendier auprès des passants quitte à les insulter s'ils refusent de lui donner une petite pièce. Entre deux bouteilles de pinard, elle tient un journal intime, qui lui permet de se raccrocher à son ancienne vie. C'est l'histoire de deux êtres diamétralement opposés, qui vont se rencontrer, s'apprivoiser, s'aider, s'aimer, d'un amour pur et sincère… "Je t'aime comme si je t'avais tricoté, j't'aime comme si je t'avais porté dans mon ventre." C'est un roman bouleversant, parfois drôle, où l'on s'attache aux personnages. Il se lit très vite par ses chapitres courts, avec une pointe de magie, mais chut je n'en dirais pas plus afin de vous laisser découvrir cette belle histoire Et dire que ce roman a failli rester dans un carton, puisque c'est un des premiers manuscrits de Tatiana de Rosnay qui a été refusé par son premier éditeur. Elle est tombée dessus 26 ans plus tard, lors de son déménagement, en ouvrant ce fameux carton qui le gardait caché de la poussière. Elle l'a relu, l'a plutôt apprécié, et a fini par le proposer à son nouvel éditeur qui s'est empressé de l'éditer Quelle bonne idée il a eu !!! Je vous le conseille vivement Enfin je retrouve la Tatiana de Rosnay qui m'avait tant manqué, car je dois dire que son précédent roman m'avait laissé un goût amer !!! Avec "Célestine du Bac" je me suis laissé emporté par cette belle histoire d'amitié improbable entre Martin, jeune garçon de 18 ans, issu d'une famille bourgeoise, un brin coincé, et Célestine, SDF d'un certain âge, brut de décoffrage, abîmée par les coups dur de la vie et l'alcool… Lui, plutôt solitaire et taciturne, se réfugie dans l'univers des livres d'Émile Zola qui l'admire énormément, au point d'écrire un roman en lien avec son auteur préféré. Il a pour seul ami Oscar, complètement à l'opposé de lui, et son chien Germinal qu'il promène tous les jours dans les rues de Paris. Elle, a trouvé refuge sous un porche de la rue du Bac, à mendier auprès des passants quitte à les insulter s'ils refusent de lui donner une petite pièce. Entre deux bouteilles de pinard, elle tient un journal intime, qui lui permet de se raccrocher à son ancienne vie. C'est l'histoire de deux êtres diamétralement opposés, qui vont se rencontrer, s'apprivoiser, s'aider, s'aimer, d'un amour pur et sincère… "Je t'aime comme si je t'avais tricoté, j't'aime comme si...

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• Lechemindelalecture 25/01/2024

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  Martin a dix huit ans et s'intéresse peu aux filles et encore moins à son bac qu'il passe pour la seconde fois.Seul son beagle Germinal et son ami d'enfance Oscar semblent l'animer. Orphelin de sa mère à l'âge de deux ans,il vit confortablement avec son père qui ne pense qu'à sa carrière et les résultats scolaires de son fils. Martin a son jardin secret il rêve de devenir écrivain . Désorienté par l'annonce de son père Martin décide de prendre l'air avec son chien et réfléchir,que va devenir sa vie.... Elle c'est Célestine, ça fait bien longtemps que les gens du quartier ne la voient plus et pourtant elle est spectatrice de leur vie ,aujourd'hui sa rencontre avec Martin risque de tout changer. 💫 Quelle lecture, même si l'histoire paraît un peu romancée, elle fait du bien,il y a du cœur des rêves des espoirs dans ce roman et surtout la rencontre qui va tout changer pour ces deux âmes perdues. Je me suis beaucoup attachée à Martin,jeune homme qui a grandi dans la solitude et le manque d'une mère. Mais aussi à Célestine, cette femme qui se doit être forte pour survivre et qui n'attend qu'une chose avant de partir donner l'amour et de l'attention à quelqu'un. Évidemment,ce père m'a vraiment énervée, carriériste, enchaînant des conquêtes sans lendemain il ne passe que peu de temps avec lui.Les échanges sont froids et l'on comprend vite qu'il n'y a pas de place pour les sentiments,l'affection paternelle est maladroite. Premier roman de l'auteur et c'était vraiment une très belle lecture, avec Martin j'ai rêvé j'ai voyagé j'ai comme lui espéré.... Beaucoup de thèmes y sont abordés et portent à réfléchir sur nos relations avec les autres. Martin a dix huit ans et s'intéresse peu aux filles et encore moins à son bac qu'il passe pour la seconde fois.Seul son beagle Germinal et son ami d'enfance Oscar semblent l'animer. Orphelin de sa mère à l'âge de deux ans,il vit confortablement avec son père qui ne pense qu'à sa carrière et les résultats scolaires de son fils. Martin a son jardin secret il rêve de devenir écrivain . Désorienté par l'annonce de son père Martin décide de prendre l'air avec son chien et réfléchir,que va devenir sa vie.... Elle c'est Célestine, ça fait bien longtemps que les gens du quartier ne la voient plus et pourtant elle est spectatrice de leur vie ,aujourd'hui sa rencontre avec Martin risque de tout changer. 💫 Quelle lecture, même si l'histoire paraît un peu romancée, elle fait du bien,il y a du cœur des rêves des espoirs dans ce roman et surtout la rencontre qui va tout changer pour ces deux âmes perdues. Je me suis beaucoup attachée à Martin,jeune homme qui a grandi dans la solitude et le manque d'une mère. Mais aussi à Célestine, cette femme qui se doit être forte pour survivre et qui n'attend qu'une chose avant de partir donner l'amour et de l'attention à...

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• RChris 13/12/2023

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  Il me fallait un écrit facile, capivant, évasif à mettre en lecture parallèle avec l'histoire tordue et le langage soutenu des lettres des “Liaisons dangereuses”. Cette histoire de rencontre sentimentale a-typique entre la clocharde menaçante et l’asperge albinos pouvait le faire. Publié en 2022, ce livre est pourtant un des premiers écrits par Tatiana de Rosnay de 1990 à 1993. Il dormait dans sa cave depuis 26 ans, ”oublié”. Je ne connaissais pas cette autrice, et vous les fans, pourrez me dire si c’est un écrit de jeunesse ou si tous ses romans sont de la même veine. Car si la première partie m’est apparue sympathique, humoristique, je suis moins client de la deuxième avec ce côté magique apporté à l’histoire qui devient un “feel good”, un conte rose de la couleur de la quatrième de couverture.