Lisez! icon: Search engine
Être ou ne pas être, l'extraordinaire histoire de Francis Bacon
Date de parution : 05/04/2018
Éditeurs :
Belfond

Être ou ne pas être, l'extraordinaire histoire de Francis Bacon

Date de parution : 05/04/2018
Un roman historique captivant, qui plonge le lecteur dans l’Angleterre élisabéthaine et donne corps à une idée folle mais ô ­combien plausible concernant l’identité de Shakespeare…
1885, château de Windsor. Lord Pembroke remet à la reine Victoria un manuscrit poussiéreux retrouvé lors de la restauration d’une des plus vieilles tours de Londres. Une lettre datant de... 1885, château de Windsor. Lord Pembroke remet à la reine Victoria un manuscrit poussiéreux retrouvé lors de la restauration d’une des plus vieilles tours de Londres. Une lettre datant de plus de deux siècles l’accompagne : « Je dois tout expliquer pour que l’humanité à venir recueille son grand héritage...... 1885, château de Windsor. Lord Pembroke remet à la reine Victoria un manuscrit poussiéreux retrouvé lors de la restauration d’une des plus vieilles tours de Londres. Une lettre datant de plus de deux siècles l’accompagne : « Je dois tout expliquer pour que l’humanité à venir recueille son grand héritage... Prions pour que ma main tremblante meure en ayant accompli son devoir. »

1561. Dans une Europe frémissante de créativité, sous le règne d’Elizabeth Ire, naît un des plus grands génies qu’ait porté l’Angleterre : Francis Bacon. Passionné par les sciences, la littérature, le droit, la poésie et le théâtre, ce contemporain de William Shakespeare est nourri par une énergie unique et un profond respect des savoirs. Il crée une œuvre philosophique et littéraire considérable. Mais ce que tout le monde ignore, c’est que Bacon cache un secret vertigineux. Le temps est venu de le découvrir...

Un roman historique captivant, qui plonge le lecteur dans l’Angleterre élisabéthaine et donne corps à une idée folle mais ô combien plausible concernant l’identité de Shakespeare…
 
Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782714471062
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 496
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782714471062
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 496
Format : 140 x 225 mm

Ils en parlent


Lire le premier roman d'un écrivain, c'est un peu comme un premier rendez-vous, s'y mêlent curiosité et appréhension. Certes le sujet m'intéressait, mais ayant déjà écouté plusieurs émissions de radio consacrées à William Shakespeare, je savais qu'un doute existait sur la paternité de ses oeuvres et je considérais que l'intrigue de ce roman était donc un peu éventée. Mais le hasard a fait que ce livre est arrivé jusqu'à moi et j'ai mordu à l'hameçon !
Première surprise, le roman ne débute pas au XVIe siècle mais en 1885, alors que la reine Victoria se voit remettre un livre découvert lors de la restauration d'une tour à Londres, un ouvrage qui contiendrait des révélations capitales susceptibles de menacer la monarchie anglaise.La mort murmure dans mon dos.
Chaque jour plus proche, bientôt elle me saisira. Et je crains que le secret dont je suis désormais l'unique dépositaire ne se perde dans ma tombe. Tout était prévu, depuis trente ans, pour que la vérité éclate au bon moment et au juste endroit. Mais le procédé que nous avions mis en place au prix de tant d'efforts a échoué.
Alors je dois tout expliquer, raconter chaque élément, depuis ses fondements jusqu'à son terme, pour que l'humanité à venir recueille son grand héritage.
Prions maintenant pour que ma main, tremblant comme une feuille oubliée par l'automne, meure en ayant accompli son devoir...
James RawleyC'est donc par le truchement de la reine que nous prenons connaissance du contenu de ce manuscrit rédigé par James Rawley, le secrétaire de Francis Bacon, et qui nous plonge en plein coeur du XVIe siècle. Une des originalités de ce roman tient à ce qu'il se déroule successivement dans deux royaumes, celui d'Elizabeth Ire et celui des Valois ; grâce à une écriture très vivante et efficace l'auteur nous permet de bien percevoir combien les atmosphères qui règnent alors à la Cour de France et à la Cour d'Angleterre sont différentes, l'une assez libre, l'autre plus austère. En suivant la vie ô combien méconnue et riche de Francis Bacon, on revit à ses côtés les événements de ce siècle marqué par les questions religieuses, on côtoie des personnages historiques – Elizabeth Ire, Robert Dudley, le comte d'Essex, Marguerite de Valois, Henri III, Henri de Navarre, etc. 

Mais l'auteur a pris soin d'établir quelques passerelles temporelles entre le XVIe siècle et le XIXe siècle, nous ramenant de temps à autre à la reine Victoria et à ses réflexions et à ses pensées. Ces quelques allers-retours permettent de rompre temporairement le rythme, constituant des sortes de pauses, pour repartir de plus belle, et d'intensifier le caractère dramatique et mystérieux de l'affaire.
Au-delà de cette structure bien maîtrisée digne d'un thriller historique, ce roman est construit en plusieurs parties, elles-mêmes divisées en plusieurs chapitres. Chose assez inhabituelle : quelques gravures et peintures en noir et blanc sont réparties au fil des chapitres, enrichissant de manière intéressante le texte : on peut ainsi découvrir un panorama de Londres au XVIe siècle, le château de Chenonceau, le château de Nérac en Albret ou bien encore le portrait de François-Hercule d'Anjou. Mais la documentation visuelle ne s'arrête pas là : un dossier situé en fin d'ouvrage regroupe les portraits en noir et blanc des principaux personnages historiques présents dans le roman ainsi que plusieurs documents mettant en lumière l'existence d'un code secret dans les oeuvres de William Shakespeare. Ce dossier se termine par la liste des oeuvres dans lesquelles ce code aurait été utilisé. C'est passionnant et hallucinant, d'autant que le code n'est pas si simple que cela !
Après une première partie prometteuse qui se déroule à la Cour d'Elizabeth Ire, avec son lot de trahisons, de complots, de secrets, de mesquineries – je trouve l'histoire de l'Angleterre élizabéthaine très intéressante et extrêmement riche –, le roman se perd au cours de la deuxième partie dans les méandres de la narration d'une idylle amoureuse entre Francis Bacon et Marguerite de Valois qui s'étire en longueur, et ce malgré une intéressante retranscription de la vie à la Cour de France et des relations entre les différents personnages historiques, notamment entre Marguerite de Valois et son frère Henri III.
Heureusement, la suite permet enfin d'entrer dans le vif du sujet : les oeuvres attribuées à William Shakespeare ont-elles été réellement écrites par lui ou ne s'agit-il que d'un prête-nom ? S'appuyant sur de nombreux travaux de cryptographie (cités en fin d'ouvrage dans la "note de l'auteur"), notamment ceux des services de renseignements américains et français datant du XXe siècle, Grégory Laburthe-Tolra émet une hypothèse assez étonnante mais en aucun cas farfelue. Quand on y pense, c'est tout de même dingue de se dire qu'on ignore toujours qui se cache derrière ces oeuvres littéraires inestimables – toujours lues, toujours jouées de nos jours.
Quoi qu'il en soit, qu'on partage ou non l'hypothèse de l'auteur, un fait est là, ce roman permet de mettre en lumière le riche et original parcours de Francis Bacon, un personnage historique largement méconnu, tout à la fois homme politique, philosophe... et peut-être écrivain ?

En conclusion
- Points forts 
Un roman qui se déroule dans deux Cours d'Europe : Angleterre et France.
Une intrigue qui repose sur l'identité de l'auteur des oeuvres littéraires attribuées à William Shakespeare.
Une hypothèse surprenante mais plausible, car basée sur des travaux de recherches.
De nombreuses gravures et peintures des lieux et personnages cités dans le roman.
Une construction originale et bien maîtrisée, basée sur quelques allers-retours entre le XVIe siècle et le XIXe siècle, accentuant le caractère dramatique de la découverte et ses enjeux.

- Points faibles
Des parties inégales : le suspense s'installe véritablement qu'à partir de la troisième partie. Une deuxième partie qui comporte trop de longueurs et qui s'attarde trop sur la relation amoureuse entre Francis Bacon et Marguerite de Valois.
Un portrait trop policé de Francis Bacon, qui devait bien avoir des défauts !
Un plus aurait été de rassembler toutes les gravures et peintures dans un cahier couleurs. 
Très peu d'infos sur l'auteur : on sait juste qu'il est né en 1980 et qu'il s'agit de son premier roman. On aimerait en savoir un peu plus !
Frédérique / Le club du roman historique

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Clubromanhistorique 14/10/2018
    Lire le premier roman d'un écrivain, c'est un peu comme un premier rendez-vous, s'y mêlent curiosité et appréhension. Certes le sujet m'intéressait, mais ayant déjà écouté plusieurs émissions de radio consacrées à William Shakespeare, je savais qu'un doute existait sur la paternité de ses oeuvres et je considérais que l'intrigue de ce roman était donc un peu éventée. Mais le hasard a fait que ce livre est arrivé jusqu'à moi et j'ai mordu à l'hameçon ! Première surprise, le roman ne débute pas au XVIe siècle mais en 1885, alors que la reine Victoria se voit remettre un livre découvert lors de la restauration d'une tour à Londres, un ouvrage qui contiendrait des révélations capitales susceptibles de menacer la monarchie anglaise. "La mort murmure dans mon dos. Chaque jour plus proche, bientôt elle me saisira. Et je crains que le secret dont je suis désormais l'unique dépositaire ne se perde dans ma tombe. Tout était prévu, depuis trente ans, pour que la vérité éclate au bon moment et au juste endroit. Mais le procédé que nous avions mis en place au prix de tant d'efforts a échoué. Alors je dois tout expliquer, raconter chaque élément, depuis ses fondements jusqu'à son terme, pour que l'humanité à venir recueille son grand héritage. Prions maintenant pour que ma main, tremblant comme une feuille oubliée par l'automne, meure en ayant accompli son devoir..." James Rawley C'est donc par le truchement de la reine que nous prenons connaissance du contenu de ce manuscrit rédigé par James Rawley, le secrétaire de Francis Bacon, et qui nous plonge en plein coeur du XVIe siècle. Une des originalités de ce roman tient à ce qu'il se déroule successivement dans deux royaumes, celui d'Elizabeth Ire et celui des Valois ; grâce à une écriture très vivante et efficace l'auteur nous permet de bien percevoir combien les atmosphères qui règnent alors à la Cour de France et à la Cour d'Angleterre sont différentes, l'une assez libre, l'autre plus austère. En suivant la vie ô combien méconnue et riche de Francis Bacon, on revit à ses côtés les événements de ce siècle marqué par les questions religieuses, on côtoie des personnages historiques – Elizabeth Ire, Robert Dudley, le comte d'Essex, Marguerite de Valois, Henri III, Henri de Navarre, etc. Mais l'auteur a pris soin d'établir quelques passerelles temporelles entre le XVIe siècle et le XIXe siècle, nous ramenant de temps à autre à la reine Victoria et à ses réflexions et à ses pensées. Ces quelques allers-retours permettent de rompre temporairement le rythme, constituant des sortes de pauses, pour repartir de plus belle, et d'intensifier le caractère dramatique et mystérieux de l'affaire. Au-delà de cette structure bien maîtrisée digne d'un thriller historique, ce roman est construit en plusieurs parties, elles-mêmes divisées en plusieurs chapitres. Chose assez inhabituelle : quelques gravures et peintures en noir et blanc sont réparties au fil des chapitres, enrichissant de manière intéressante le texte : on peut ainsi découvrir un panorama de Londres au XVIe siècle, le château de Chenonceau, le château de Nérac en Albret ou bien encore le portrait de François-Hercule d'Anjou. Mais la documentation visuelle ne s'arrête pas là : un dossier situé en fin d'ouvrage regroupe les portraits en noir et blanc des principaux personnages historiques présents dans le roman ainsi que plusieurs documents mettant en lumière l'existence d'un code secret dans les oeuvres de William Shakespeare. Ce dossier se termine par la liste des oeuvres dans lesquelles ce code aurait été utilisé. C'est passionnant et hallucinant, d'autant que le code n'est pas si simple que cela ! Après une première partie prometteuse qui se déroule à la Cour d'Elizabeth Ire, avec son lot de trahisons, de complots, de secrets, de mesquineries – je trouve l'histoire de l'Angleterre élizabéthaine très intéressante et extrêmement riche –, le roman se perd au cours de la deuxième partie dans les méandres de la narration d'une idylle amoureuse entre Francis Bacon et Marguerite de Valois qui s'étire en longueur, et ce malgré une intéressante retranscription de la vie à la Cour de France et des relations entre les différents personnages historiques, notamment entre Marguerite de Valois et son frère Henri III. Heureusement, la suite permet enfin d'entrer dans le vif du sujet : les oeuvres attribuées à William Shakespeare ont-elles été réellement écrites par lui ou ne s'agit-il que d'un prête-nom ? S'appuyant sur de nombreux travaux de cryptographie (cités en fin d'ouvrage dans la "note de l'auteur"), notamment ceux des services de renseignements américains et français datant du XXe siècle, Grégory Laburthe-Tolra émet une hypothèse assez étonnante mais en aucun cas farfelue. Quand on y pense, c'est tout de même dingue de se dire qu'on ignore toujours qui se cache derrière ces oeuvres littéraires inestimables – toujours lues, toujours jouées de nos jours. Quoi qu'il en soit, qu'on partage ou non l'hypothèse de l'auteur, un fait est là, ce roman permet de mettre en lumière le riche et original parcours de Francis Bacon, un personnage historique largement méconnu, tout à la fois homme politique, philosophe... et peut-être écrivain ? Lire le premier roman d'un écrivain, c'est un peu comme un premier rendez-vous, s'y mêlent curiosité et appréhension. Certes le sujet m'intéressait, mais ayant déjà écouté plusieurs émissions de radio consacrées à William Shakespeare, je savais qu'un doute existait sur la paternité de ses oeuvres et je considérais que l'intrigue de ce roman était donc un peu éventée. Mais le hasard a fait que ce livre est arrivé jusqu'à moi et j'ai mordu à l'hameçon ! Première surprise, le roman ne débute pas au XVIe siècle mais en 1885, alors que la reine Victoria se voit remettre un livre découvert lors de la restauration d'une tour à Londres, un ouvrage qui contiendrait des révélations capitales susceptibles de menacer la monarchie anglaise. "La mort murmure dans mon dos. Chaque jour plus proche, bientôt elle me saisira. Et je crains que le secret dont je suis désormais l'unique dépositaire ne se perde dans ma tombe. Tout était prévu, depuis trente ans, pour que la vérité éclate au bon moment et au juste endroit. Mais le procédé que nous avions mis en place au prix de tant d'efforts a échoué. Alors je dois tout expliquer, raconter chaque élément, depuis ses fondements jusqu'à son terme,...
    Lire la suite
    En lire moins
  • Des_potron_minet 30/07/2018
    Une lecture distrayante qui nous cultive. J'adore la culture et l'histoire anglaise, donc j'étais ravie de pouvoir me plonger dans cette histoire qui était fortement prometteuse et inaugurait beaucoup de suspense. Alors je tiens à prévenir tout de suite les futurs lectures, nous ne sommes pas dans un thriller historique, il ne va pas y avoir de courses poursuites à cheval, pas de rebondissement à vous couper le souffle, mais nous passons toutefois un très bon moment et nous apprenons pas mal de chose sur cette période de l'Histoire autant du côté anglais que du côté français. Le roman est divisé en plusieurs partie, je dois avouer que les deux premières, ne m'ont pas trop emballé, je les ai trouvé un peu trop fleur bleue, trop romance pour moi, l'amour c'est beau mais quand ça dégouline trop, quand c'est trop romantique, ça me fatigue. Ensuite les tractations, les manigances de pouvoirs, les trahisons, m'ont beaucoup plu. J'ai dévoré les 150 dernières pages car je voulais savoir comme cela allait se terminer. En ce qui concerne le mystère qui entour l'existence de Shakespeare, j'ai été un peu déçue car finalement ce n'est pas beaucoup développé je trouve et l'attention de porte plus sur la succession d'Elisabeth 1ère et sur la relation entre elle, Francis Bacon et Le comte de l'Essex. Pour finir, Etre ou ne pas être est un roman historique, bien documenté, avec une écriture simple, efficace qui nous permet d'avancer rapidement dans l'histoire sans trop ressentir de longueur. Une lecture distrayante qui nous cultive. J'adore la culture et l'histoire anglaise, donc j'étais ravie de pouvoir me plonger dans cette histoire qui était fortement prometteuse et inaugurait beaucoup de suspense. Alors je tiens à prévenir tout de suite les futurs lectures, nous ne sommes pas dans un thriller historique, il ne va pas y avoir de courses poursuites à cheval, pas de rebondissement à vous couper le souffle, mais nous passons toutefois un très bon moment et nous apprenons pas mal de chose sur cette période de l'Histoire autant du côté anglais que du côté français. Le roman est divisé en plusieurs partie, je dois avouer que les deux premières, ne m'ont pas trop emballé, je les ai trouvé un peu trop fleur bleue, trop romance pour moi, l'amour c'est beau mais quand ça dégouline trop, quand c'est trop romantique, ça me fatigue. Ensuite les tractations, les manigances de pouvoirs, les trahisons, m'ont beaucoup plu. J'ai dévoré les 150 dernières pages car je voulais savoir comme cela allait se terminer. En ce qui concerne le mystère qui entour l'existence de Shakespeare, j'ai été un peu déçue car finalement ce n'est pas beaucoup développé je trouve et l'attention de porte plus sur la succession d'Elisabeth...
    Lire la suite
    En lire moins
  • sylvaine 10/05/2018
    Un roman historique captivant, qui plonge le lecteur dans l’Angleterre élisabéthaine et donne corps à une idée folle mais ô ­combien plausible concernant l’identité de Shakespeare… Il n'en fallait pas plus pour "m'appâter" , je suis ravie d'avoir mordu à l'hameçon . Dressant un portrait exhaustif de la seconde moitié du XVIème siècle François Laburthe-Tolra nous entraîne dans les coulisses des cours royales de France, d'Angleterre et de Navarre. Un roman non seulement plaisant à lire mais érudit . Il m'a fallu attendre d'arriver à Chenonceau pour enfin faire la connaissance de Francis Bacon qui ,du haut de ses dix-sept ans, prend dans ses filets la belle Marguerite de Navarre ... Si l'histoire de cette période m' est relativement familière , la personnalité de Francis Bacon l'était beaucoup moins. S'appuyant sur des travaux scientifiques reconnus, François Laburthe-Tolra distille des informations pouvant faire trembler le royaume d'Albion .. Et si Shakespeare n'avait été qu'un prête nom? et si ses oeuvres avaient été écrites par Francis Bacon , et si et si .... Un récit captivant que j'ai pu découvrir grâce aux Editions Belfond via NetGalley , je les en remercie.
Inscrivez-vous et recevez toute l'actualité des éditions Belfond
Découvrez les auteurs en vogue et les nouveautés incontournables de la scène internationale.

Lisez maintenant, tout de suite !

  • News
    Belfond

    [Interview] Grégory Laburthe-Tolra réinvente avec brio William Shakespeare

    Son premier roman est aussi ambitieux qu'il est captivant. Dans Être ou ne pas être, l’extraordinaire histoire de Francis Bacon, Grégory Laburthe-Tolra plonge le lecteur dans l'époque élisabéthaine et jette sur le papier une idée folle : et si le grand William Shakespeare n'était pas celui qu'il prétendait être ? Rencontre avec un écrivain méticuleux et créatif.

    Lire l'article