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L'Age d'or
Élisabeth Peellaert (traduit par)
Date de parution : 10/03/2022
Éditeurs :
Belfond

L'Age d'or

Élisabeth Peellaert (traduit par)
Date de parution : 10/03/2022

Après Park Avenue Summer, Renée Rosen nous offre un nouveau roman inspiré de faits réels, une plongée dans une époque fascinante de l’histoire de New York à travers la redécouverte de deux figures injustement méconnues. Véritable épopée romanesque teintée d’un féminisme piquant, L’Âge d’or est un vrai bijou de lecture.
 
 
Enfant, Alva a assisté à la ruine de son père et à la déchéance de sa famille. Depuis, elle s’est juré de ne plus jamais connaître la misère et de... Enfant, Alva a assisté à la ruine de son père et à la déchéance de sa famille. Depuis, elle s’est juré de ne plus jamais connaître la misère et de prendre sa revanche sur le destin.
Mais dans cette Amérique du tournant du xxe siècle, tenue d’une main de fer par une...
Enfant, Alva a assisté à la ruine de son père et à la déchéance de sa famille. Depuis, elle s’est juré de ne plus jamais connaître la misère et de prendre sa revanche sur le destin.
Mais dans cette Amérique du tournant du xxe siècle, tenue d’une main de fer par une bourgeoisie vieillissante sûre de ses privilèges, quelle place pour une femme, certes ambitieuse mais roturière ?
Le mariage, d’abord. À force de manigances, Alva épouse un héritier Vanderbilt et s’assure ainsi une fortune colossale.
L’image, ensuite. Invitations fastueuses, bals extravagants, Alva ne recule devant rien. Et tant pis pour celles qui ne voient en elle qu’une cocotte parvenue.
La couronne, enfin. Alva va trouver sur son chemin la reine de la ruche, celle qui fait et défait les réputations, adoube ou exclut selon son bon plaisir : Caroline Astor.
 
Pendant trente ans, les deux femmes vont se livrer une guerre qui deviendra légendaire. Et façonner au passage une figure plus moderne de la femme, plus émancipée, capable de s’assumer seule dans le monde, en dehors d’un riche époux volage.
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EAN : 9782714495549
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm
EAN : 9782714495549
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 384
Format : 140 x 225 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • La_Ronsart 23/07/2024
    New-York, fin du XIXème siècle. Caroline Astor domine la Haute société. Sa simple présence à un événement est recherchée comme un graal ultime. Elle décide de la mode, des lieux où se montrer, choisit de beaux mariages pour ses enfants, du bon goût, du mauvais et surtout de votre entrée dans ce cercle si fermé. Fermé car vous devez avoir hérité de votre fortune familiale par un titre et non par du travail. Alva Vanderbilt est une parvenue. Sa fortune est faite par mariage avec un riche entrepreneur des voies ferrées. Elle rêve d'entrer dans ce cercle si convoité de la Haute société. Mais elle n'a aucun critère requis. Va s'en suivre une véritable guerre de démonstration. Puisqu'on lui refuse une loge à l'Opéra Royal, elle en fera construire un avec le soutien des Rockfeller, des Rothschild et autres parvenus à la richesse en travaillant. Se faire construire la plus grande maison, organiser le plus grand bal.... Va-t-elle réussir à s'intégrer ? C'est le début de la presse people et à scandale. Inspiré de faits réels, j'ai aimé découvrir l'histoire de la construction de New-York et de sa société. La personnalité affirmée de ces deux femmes qui s'émancipent d'époux volages, qui cherchent à exister pour elles-mêmes. Cette lecture m'a beaucoup plu.New-York, fin du XIXème siècle. Caroline Astor domine la Haute société. Sa simple présence à un événement est recherchée comme un graal ultime. Elle décide de la mode, des lieux où se montrer, choisit de beaux mariages pour ses enfants, du bon goût, du mauvais et surtout de votre entrée dans ce cercle si fermé. Fermé car vous devez avoir hérité de votre fortune familiale par un titre et non par du travail. Alva Vanderbilt est une parvenue. Sa fortune est faite par mariage avec un riche entrepreneur des voies ferrées. Elle rêve d'entrer dans ce cercle si convoité de la Haute société. Mais elle n'a aucun critère requis. Va s'en suivre une véritable guerre de démonstration. Puisqu'on lui refuse une loge à l'Opéra Royal, elle en fera construire un avec le soutien des Rockfeller, des Rothschild et autres parvenus à la richesse en travaillant. Se faire construire la plus grande maison, organiser le plus grand bal.... Va-t-elle réussir à s'intégrer ? C'est le début de la presse people et à scandale. Inspiré de faits réels, j'ai aimé découvrir l'histoire de la construction de New-York et de sa société. La personnalité affirmée de ces deux femmes qui s'émancipent d'époux volages, qui cherchent à exister pour...
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  • mjaubrycoin 07/09/2023
    Le seul nom de Julian Fellowes me fait frémir de plaisir et le visionnage de l'excellente série "the Gilded Age" m'a donné envie de lire le roman qui l'avait inspirée et qui met en scène la lutte féroce qui opposent deux femmes de la haute société new yorkaise à la fin du 19ème siècle, Caroline Astor et Alva Vanderbilt. Entre l'aristocrate sûre de sa domination et la parvenue richissime qui veut trouver sa place, c'est un assaut de manifestations extravagantes, d'étalage de richesses, de coups tordus qui n'épargnent pas les sensibilités. La période historique est bien illustrée et le changement subtil des mentalités à la fin du siècle avec une émergence des revendications féministes donne à ce roman une touche sociologique bienvenue. Malgré l'argent qui coule à flot, la condition des femmes est loin d'être idyllique et les relations familiales souvent conflictuelles. La fortune ne préserve ni de la maladie, ni de la mort, ni même des trahisons et la douleur qui se donne à voir aux yeux de tous est encore plus difficile à supporter. Finalement ces deux femmes que tout oppose n'auraient elles pas beaucoup de choses en commun ? J'ai bien aimé ce livre qui retrace une époque révolue dont pourtant de nombreuses caractéristiques semblent encore diablement contemporaines. Le seul nom de Julian Fellowes me fait frémir de plaisir et le visionnage de l'excellente série "the Gilded Age" m'a donné envie de lire le roman qui l'avait inspirée et qui met en scène la lutte féroce qui opposent deux femmes de la haute société new yorkaise à la fin du 19ème siècle, Caroline Astor et Alva Vanderbilt. Entre l'aristocrate sûre de sa domination et la parvenue richissime qui veut trouver sa place, c'est un assaut de manifestations extravagantes, d'étalage de richesses, de coups tordus qui n'épargnent pas les sensibilités. La période historique est bien illustrée et le changement subtil des mentalités à la fin du siècle avec une émergence des revendications féministes donne à ce roman une touche sociologique bienvenue. Malgré l'argent qui coule à flot, la condition des femmes est loin d'être idyllique et les relations familiales souvent conflictuelles. La fortune ne préserve ni de la maladie, ni de la mort, ni même des trahisons et la douleur qui se donne à voir aux yeux de tous est encore plus difficile à supporter. Finalement ces deux femmes que tout oppose n'auraient elles pas beaucoup de choses en commun ? J'ai bien aimé ce livre qui retrace une époque révolue dont pourtant...
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  • domreader 03/05/2023
    +++ Lu en VO +++ J'ai été agréablement surprise par cette fiction historique qui a lieu à New York dans le dernier tiers du 19ème siècle et au tout début du 20ème. Il retrace la lutte sans merci que se livrèrent deux femmes, toutes deux les épouses de deux richissimes hommes d'affaires américains. La première, Caroline Astor a épousé William Astor, héritier d'une vieille famille américaine, les premiers colons anglo-néerlandais de New York (Manhattan), qui a fait fortune dans les instruments de musiques, les peaux, puis l'immobilier. C'est en quelque sorte l'aristocratie américaine, les knickerbockers. Caroline Astor fait donc partie de la ‘bonne' société américaine, celle des anciens émigrants ayant fait fortune (old money). C'est elle qui est la reine de tout ce beau monde et qui décrète qui en fait partie ou non, qui décrète ce qui est vulgaire ou pas, qui donne des fêtes somptueuses où seuls sont invités ceux qui font partie de ce ‘beau monde' de cette ‘bonne société' new-yorkaise et clairement Alva Vanderbilt n'en fait pas partie malgré l'immense fortune de son mari. Cette dernière, issue d'un milieu modeste du sud des Etats Unis a épousé William Vanderbilt, fils de Cornelius Vanderbilt, un homme lui aussi d'extraction modeste qui a bâti son immense fortune avec le transport maritime et les chemins de fer (new money). Ce sont des nouveaux riches, des rustres sans éducation selon Mme Astor. Ils ne peuvent en aucun cas prétendre à être acceptés dans la bonne société, malgré les efforts que déploie Alva pour y être admise. C'est sans compter sur la pugnacité et la créativité d'Alva qui ne reculera devant rien pour se hisser au rang de ces bonnes familles. Une fiction historique agréable dans un New York en pleine expansion, qui narre les évènements à travers les voix alternées de Caroline Astor et d'Alva Vanderbilt. le récit repose en bonne partie sur des faits avérés et se laisse lire sans effort. Un bon roman de détente. +++ Lu en VO +++ J'ai été agréablement surprise par cette fiction historique qui a lieu à New York dans le dernier tiers du 19ème siècle et au tout début du 20ème. Il retrace la lutte sans merci que se livrèrent deux femmes, toutes deux les épouses de deux richissimes hommes d'affaires américains. La première, Caroline Astor a épousé William Astor, héritier d'une vieille famille américaine, les premiers colons anglo-néerlandais de New York (Manhattan), qui a fait fortune dans les instruments de musiques, les peaux, puis l'immobilier. C'est en quelque sorte l'aristocratie américaine, les knickerbockers. Caroline Astor fait donc partie de la ‘bonne' société américaine, celle des anciens émigrants ayant fait fortune (old money). C'est elle qui est la reine de tout ce beau monde et qui décrète qui en fait partie ou non, qui décrète ce qui est vulgaire ou pas, qui donne des fêtes somptueuses où seuls sont invités ceux qui font partie de ce ‘beau monde' de cette ‘bonne société' new-yorkaise et clairement Alva Vanderbilt n'en fait pas partie malgré l'immense fortune de son mari. Cette dernière, issue d'un milieu modeste du sud des Etats Unis a épousé William Vanderbilt, fils de Cornelius Vanderbilt, un homme lui aussi d'extraction...
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  • vendee 22/04/2023
    L age d or aux Etats Unis, correspond a une période de prospérité après la fin de la guerre de Sécession. Deux grandes familles, les Astor et les Vanderbilt se livrent une guerre sans merci pour savoir qu elle est la famille la plus fortunée Les deux mères de famille vont s opposer a coup de bals , d invitations, de maisons somptueuses. Tout au long du roman on va suivre la vie de ces deux familles avec les deuils, les joies, les infidélités. Il en sort que ces deux femmes sont extraordinaires , tellement en avance sur leur temps Un roman formidable
  • Doralex72 21/04/2023
    L'âge d'or new-yorkais est cette période située entre 1870 et 1910. Durant cette quarantaine d'années, la bonne société régnait encore en maitre sur la Grosse Pomme. Parmi eux, deux grandes familles, les Vanderbilt et les Astor. Là où les premiers ont l'argent mais pas l'ancienneté et les manières, les Astor ont, eux, les manières mais un peu moins d'argent. On parle dans les deux cas de clans richissime. Mais, quand on n'a pas le savoir ivre et l'éducation, rien n'y fait et l'on ne sera jamais accepté dans le beau monde. Alva Vanderbilt se bat pour gagner sa place auprès de ceux qui comptent mais des gens comme Caroline Astor consacrent leur vie à leur rappeler qu'ils seront à tout jamais différents. C'est donc cette rivalité que nous expose l'autrice dans un récit vraiment passionnant, où tous les coups sont permis.

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