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Le Ciel t'attend - Rentrée littéraire janvier 2024
Date de parution : 11/01/2024
Éditeurs :
Robert Laffont

Le Ciel t'attend - Rentrée littéraire janvier 2024

Date de parution : 11/01/2024
Il était une fois Youri Gagarine.
RENTREE LITTERAIRE JANVIER 2024
12 avril 1961, URSS. Pour la première fois, un homme a volé dans
l’espace. Pourtant, rien ne prédestinait le jeune Youri Gagarine à
un tel exploit.
Quelques années auparavant, Khrouchtchev, aidé d’une ex-espionne
et...
12 avril 1961, URSS. Pour la première fois, un homme a volé dans
l’espace. Pourtant, rien ne prédestinait le jeune Youri Gagarine à
un tel exploit.
Quelques années auparavant, Khrouchtchev, aidé d’une ex-espionne
et d’un ingénieur des fusées, s’est lancé dans la course
aux étoiles.
La bouille joviale du cosmonaute devient dès lors plus convaincante
que n’importe...
12 avril 1961, URSS. Pour la première fois, un homme a volé dans
l’espace. Pourtant, rien ne prédestinait le jeune Youri Gagarine à
un tel exploit.
Quelques années auparavant, Khrouchtchev, aidé d’une ex-espionne
et d’un ingénieur des fusées, s’est lancé dans la course
aux étoiles.
La bouille joviale du cosmonaute devient dès lors plus convaincante
que n’importe quelle propagande communiste. Mais à quel prix ?
Derrière les sourires et la gloire, un homme se débat pour rester
lui-même…
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EAN : 9782221270622
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 135 x 215 mm
EAN : 9782221270622
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 208
Format : 135 x 215 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Mimosa81 01/04/2024
    Qui se rappelle encore de Youri Gagarine ? Ce livre nous raconte la vie de cet homme qui va faire le premier vol dans l'espace. Issue d'une famille très modeste, rien de prédestinait Youri Gagarine à être sélectionné, choisi et faire ce vol. J'ai découvert son histoire. Passionnante, surprenante. J'ai aussi compris les enjeux et les guerres de communication dans la conquête de l'espace. Tout n'est pas vrai dans le roman, mais 95% des faits sont des faits historiques. L'espionne vient servir l'histoire mais elle reflète bien l'esprit du KGB. Le roman est un peu long à démarrer mais une fois dedans, on ne le lâche pas. C'est très bien. Je vous le recommande.
  • Patmarob 08/03/2024
    « Le ciel t’attend » réussit, en 208 pages, à retracer l’odyssée extraordinaire de Youri Gagarine, premier homme à s’envoler dans l’espace en 1961. Jean Grégor relève le défi en plaçant le personnage principal en acteur (très motivé et improbable…) et en « marionnette » politique . La Guerre Froide tisse la trame historique sans alourdir le récit . L’URSS doit affirmer le communisme par un succès au retentissement international, Khrouchtchev joue sa survie politique, les scientifiques doivent relever un incroyable challenge. Youri Gagarine reste au centre de la narration : issu d’un milieu populaire, il devient un héros dépassé par la gloire et les contraintes officielles. Jean Grégor construit un récit humaniste au style efficace. Il insère les contraintes politiques, de propagande et d’espionnage qui soulignent la complexité de la tâche à accomplir. Un livre à la tonalité revigorante.
  • BMR 05/03/2024
    #9679; L'auteur, le livre (208 pages, 2024) : Qui est donc ce Grégor Péan qui tantôt se faisait appeler Jean Grégor ? Ah, le fils du grand journaliste et écrivain Pierre Péan ! ouais, pas facile de se faire un "nom". Enfin, c'est donc chose faite avec ce bouquin, Le ciel t'attend, que l'on retrouve un peu partout en ce moment (même si Grégor avait déjà une douzaine de titres à son actif). Faut dire que ce Grégor n'y va pas avec le dos de la main morte : il va nous conter rien de moins que l'histoire, que dis-je l'Histoire, de Gagarine, le premier homme à quitter le plancher des vaches, le "premier individu de l’histoire de l’humanité à voler en orbite jusqu’à une altitude de trois cent quatre-vingts kilomètres." ! Une histoire que je ne pouvais assurément pas laisser passer, moi qui suis arrivé sur cette terre peu de temps avant que Youri ne la quitte pour nous regarder de haut (Grégor, lui, n'arrivera qu'un peu plus tard !). #9679; On aime bien : ❤️ On affectionne particulièrement ce genre de récit qui nous emporte avec enthousiasme dans le vent tumultueux de l'Histoire, porté par des destins hors du commun. Comme les récits à la Echenoz par exemple. Ah, on se doute un peu que la dure réalité fut un peu plus sombre et chaotique, un peu moins romanesque mais qu'importe après tout parce qu'on est venu là pour s'instruire, un peu, et se divertir, beaucoup. ❤️ Et il faut reconnaitre qu'on est conquis par le rythme d'enfer auquel Grégor mène son Histoire, le rythme des tambours de la guerre froide, celui de la course effrénée à l'espace et l'on croit voir défiler les actualités de l'époque sur le grand écran du cinéma. Dans ce petit bouquin qui se lit très vite, au risque de nous frustrer sur certains aspects de l'aventure (la technologie, l'entrainement des cosmonautes, les échecs et difficultés, l'intimité de Gagarine, ...), Grégor se laisse emporter par son art consommé du portrait rapide, cet art de la caricature croqué en quelques coups de crayon sur la place du Tertre à Montmartre. D'un trait il nous dessine la trajectoire du camarade Youri. #9679; L'intrigue : C'est un personnage de fiction qui va nous guider dans cette aventure : une certaine Marina Socovna, éminence grise du Kremlin, chargée d'insuffler de la "communication positive" (! une méthode de marketing apprise aux US qu'elle a visités comme espionne !) dans un monde soviétique terrorisé par les années Staline. Cela va nous donner quelques épisodes bien savoureux. Le décor est posé, il ne nous reste qu'à suivre l'aventure épique de l'homme qui, coincé dans sa "boule", une petite boîte de conserve en ferraille, emmena avec lui toute l'humanité dans l'espace. La redescente fut moins homérique. Youri commença ses tournées mondiales, ambassadeur et VRP du socialisme que le monde entier voulait toucher ou embrasser. À son grand désespoir, il ne pouvait plus voler : il était devenu beaucoup trop précieux pour qu'on prenne le risque de l'abimer et la fin de cette trop belle histoire aura un goût un peu amer. Pour celles et ceux qui aiment s'envoyer en l'air.#9679; L'auteur, le livre (208 pages, 2024) : Qui est donc ce Grégor Péan qui tantôt se faisait appeler Jean Grégor ? Ah, le fils du grand journaliste et écrivain Pierre Péan ! ouais, pas facile de se faire un "nom". Enfin, c'est donc chose faite avec ce bouquin, Le ciel t'attend, que l'on retrouve un peu partout en ce moment (même si Grégor avait déjà une douzaine de titres à son actif). Faut dire que ce Grégor n'y va pas avec le dos de la main morte : il va nous conter rien de moins que l'histoire, que dis-je l'Histoire, de Gagarine, le premier homme à quitter le plancher des vaches, le "premier individu de l’histoire de l’humanité à voler en orbite jusqu’à une altitude de trois cent quatre-vingts kilomètres." ! Une histoire que je ne pouvais assurément pas laisser passer, moi qui suis arrivé sur cette terre peu de temps avant que Youri ne la quitte pour nous regarder de haut (Grégor, lui, n'arrivera qu'un peu plus tard !). #9679; On aime bien : ❤️ On affectionne particulièrement ce genre de récit qui nous emporte avec enthousiasme dans le vent tumultueux de l'Histoire, porté par des destins hors du commun. Comme...
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  • Cannetille 02/03/2024
    Fils du grand journaliste d’investigation Pierre Péan, Grégor Péan a longtemps publié ses livres sous le pseudo Jean Grégor. Ce n’est que depuis le décès paternel, et donc pour la seconde fois, qu’il signe ses ouvrages de son nom véritable. Ce chef de piste dans l’aviation s’est tant intéressé à l’improbable destin du cosmonaute Youri Gagarine qu’il nous en propose une biographie romancée, en tout point fascinante. En effet, quelle incroyable destinée que celle de ce fils de modestes paysans du centre de l’Union Soviétique. Pilote amateur, il abandonne sa formation de technicien du machinisme agricole pour intégrer une école de pilotage militaire, puis, son diplôme de pilote de chasse en poche, se retrouve affecté à une base aérienne dans la région de Mourmansk, au nord du cercle Arctique. Il y mène une vie rude avec sa jeune épouse, lorsqu’il est sélectionné pour un « entraînement spécial » dont il ignore encore qu’il fera de lui, « venu d’un village sans eau courante, né en quelque sorte au Moyen Âge », le premier être humain à effectuer un vol spatial. On est alors en 1961. Cet homme venu de rien se retrouve propulsé au rang de demi-dieu, héros d’une nation soudain galvanisée par un exploit qui, en pleine guerre froide, vient sévèrement humilier les Américains. Au-delà du destin individuel de Gagarine, c’est toute l’histoire de la conquête spatiale soviétique au tournant des années 1960 qui se profile dans ces pages : pas seulement la prouesse technologique incarnée par l’ingénieur et fondateur du programme spatial Sergueï Korolev, mais le défi relevé par des institutions minées par les dysfonctionnements, la paranoïa et la corruption. « Dans la tête de Staline, être le meilleur, être une référence, c’était ramener la couverture à soi, s’éloigner de l’idée même du communisme. » Aux côtés du seul personnage fictif du roman, Marina Socovna, une bureaucrate devenue la conseillère de Khrouchtchev sur ce projet, l’on assiste alors aux manœuvres politiques, entre processus de déstalinisation et réformes intérieures, entreprises par « Nikita » : « sans ce miracle du premier homme dans l’espace, le communisme aurait pu mourir de désespoir. Avec ce petit gars, ils ont compris que toutes les pertes, toute cette tristesse ont été dépassées. Le communisme vient d’en reprendre pour trente ans ! » Mais comment peut-on garder les pieds sur terre après un tel exploit ? Surtout lorsque la propagande, loin des vôtres et du métier qui vous tient à coeur, vous réduit à la fonction de marionnette enrôlée dans une tournée sans fin de représentation publique ? « Lorsqu’on ne se prépare plus à être le meilleur », « on se sent redevenir banal, et cette banalité a un goût de médiocrité. » Pour Gagarine, la suite de l’histoire aura le goût de l’alcool et des femmes, avant de s’achever tragiquement dans le crash demeuré mystérieux d’un MIG-15. « L’ouvrier communiste ne pouvait pas avoir pour modèle un trublion alcoolique, amateur de voitures de sport. » De la grandeur à la décadence, sa mort à trente-quatre ans a fait l’objet des rumeurs les plus folles. Entre intimité d’un homme au destin hors du commun et immersion historique en pleine conquête spatiale lors de la guerre froide, ce roman dont la fluidité d’écriture fait oublier le travail de documentation qui la sous-tend s’avère une lecture aussi vivante que passionnante. Il ne faisait décidément pas bon se faire remarquer en période soviétique ! Fils du grand journaliste d’investigation Pierre Péan, Grégor Péan a longtemps publié ses livres sous le pseudo Jean Grégor. Ce n’est que depuis le décès paternel, et donc pour la seconde fois, qu’il signe ses ouvrages de son nom véritable. Ce chef de piste dans l’aviation s’est tant intéressé à l’improbable destin du cosmonaute Youri Gagarine qu’il nous en propose une biographie romancée, en tout point fascinante. En effet, quelle incroyable destinée que celle de ce fils de modestes paysans du centre de l’Union Soviétique. Pilote amateur, il abandonne sa formation de technicien du machinisme agricole pour intégrer une école de pilotage militaire, puis, son diplôme de pilote de chasse en poche, se retrouve affecté à une base aérienne dans la région de Mourmansk, au nord du cercle Arctique. Il y mène une vie rude avec sa jeune épouse, lorsqu’il est sélectionné pour un « entraînement spécial » dont il ignore encore qu’il fera de lui, « venu d’un village sans eau courante, né en quelque sorte au Moyen Âge », le premier être humain à effectuer un vol spatial. On est alors en 1961. Cet homme venu de rien se retrouve propulsé au rang de demi-dieu, héros d’une nation soudain...
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  • Jacques1468 27/02/2024
    Court roman très agréable à lire, vigoureux, au style simple et efficace, à l'image du héros du livre : Youri Gagarine, personnage atypique, velléitaire, à la fois ambitieux et homme simple, héros presque malgré lui, et propulsé ( oui, bon! ) dans une Youri-mania qu'il aura bien du mal à gérer, jusqu'à sa mort bien trop précoce, sinon prévisible. Plongée dans une sacrée époque révolue, sous fond de guerre des étoiles, de guerre des blocs, de guerre de la communication, de la propagande et de la désinformation ( là-dessus, rien n'a changé, à l'ouest comme à l'est !) . Petite déception, en fin de lecture, de découvrir qu'un personnage clé de ce roman est tout simplement ... fictif, ce qui a toujours le don de me décevoir car lorsqu'on entreprend de retracer le parcours d'un personnage historique, y mêler de la fiction( au-delà des réflexions personnelles et intimes qu'on ne peut qu'imaginer et prêter à son personnage ), on ne sait plus quel crédit accorder au reste de l'histoire ( et de l'Histoire ). Mais ce récit vous emportera car vraiment très bien mené .

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