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Nouveauté
Le Feu des lucioles
Éric Faye (postface de)
Date de parution : 11/04/2024
Éditeurs :
Belfond
Nouveauté

Le Feu des lucioles

Éric Faye (postface de)
Date de parution : 11/04/2024
Un roman inspiré du grand poète anglais Keith Douglas, tué par un éclat de mortier trois jours après le débarquement en Normandie, dans la lignée de Derrière la colline.
9 juin 1944 : le capitaine Keith Douglas, jeune poète au talent encore méconnu, meurt en Normandie à côté de son char Sherman. 23 août 1944 : le sergent Frédéric Dutrieux disparaît au... 9 juin 1944 : le capitaine Keith Douglas, jeune poète au talent encore méconnu, meurt en Normandie à côté de son char Sherman. 23 août 1944 : le sergent Frédéric Dutrieux disparaît au sud de Deauville, que sa brigade belge est en train de libérer. Quarante ans plus tard, frais émoulu de l’université... 9 juin 1944 : le capitaine Keith Douglas, jeune poète au talent encore méconnu, meurt en Normandie à côté de son char Sherman. 23 août 1944 : le sergent Frédéric Dutrieux disparaît au sud de Deauville, que sa brigade belge est en train de libérer. Quarante ans plus tard, frais émoulu de l’université et auteur d’un mémoire remarqué sur l’œuvre de Douglas, un autre Frédéric Dutrieux s’apprête à passer quelques mois sous les drapeaux. Mais est-il vraiment un autre ? Une aventure insolite, entamée dans une caserne de la banlieue d’Anvers, va le faire sérieusement douter.
Xavier Hanotte revient à son obsession – les grands poètes fauchés par l’histoire tragique du xxe siècle. Réalisme magique, échappées poétiques et souci du détail composent un roman stupéfiant dans la lignée de Derrière la colline.
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EAN : 9782714403834
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 224
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782714403834
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 224
Format : 140 x 205 mm

Ils en parlent

"La prose d'Hanotte et son jeu d'équilibriste littéraire font de son roman une des plus belles lectures de cette fin d'hiver"
Michel / Librairie Lucioles

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Athenapan 11/04/2024
    Ce nouvel ouvrage de Xavier Hanotte est aussi envoûtant que possible. L’auteur nous promène habilement dans un mélange subtil et fragmenté entre un réalisme bouleversant et une magie onirique et poétique. Ce savant amalgame opère un contraste captivant. Ce jeune et grand poète anglais Keith Douglas, sur lequel repose le roman, est tué par un éclat de mortier quelques jours seulement après le débarquement de Normandie. Le sergent Frédéric Dutrieux, lui, disparaît alors que sa brigade belge est en train de libérer Deauville. C’est quarante ans plus tard que l’on retrouve un autre Frédéric Dutrieux, sur le point d’effectuer son service militaire, encore obligatoire en cette année 1984. Les scènes se déroulant durant son incorporation à l’armée ont été pour moi les plus marquantes. Cette parenthèse aux accents satiriques prononcés, apparaît comme une bulle au milieu du roman. La mort tient une place prépondérante dès les toutes premières pages. Les poèmes de Keith Douglas dans le chapitre initial en sont une remarquable introduction. La perception du temps joue également un rôle important tout au long du récit. Les limites temporelles se dévoilent de manière floue, nous troublent le regard et laissent un brouillard de doute quant à notre repère au temps et à l’identité. Deux Frédéric Dutrieux, deux destins, deux militaires, ce poète, Keith Douglas qui les lie… Xavier Hanotte nous balade à travers les époques, les souvenirs, les rêves, la destinée ; et jongle à merveille avec ces « firefly » mortifères et ces lucioles qui illuminent les nuits à chaque instant crucial. À travers Keith Douglas, qui hante l’ouvrage de bout en bout, l’écrivain transforme ses personnages eux-mêmes en fantômes, errant en quête de sens et d’identité ; et c’est saisissant. Ce nouvel ouvrage de Xavier Hanotte est aussi envoûtant que possible. L’auteur nous promène habilement dans un mélange subtil et fragmenté entre un réalisme bouleversant et une magie onirique et poétique. Ce savant amalgame opère un contraste captivant. Ce jeune et grand poète anglais Keith Douglas, sur lequel repose le roman, est tué par un éclat de mortier quelques jours seulement après le débarquement de Normandie. Le sergent Frédéric Dutrieux, lui, disparaît alors que sa brigade belge est en train de libérer Deauville. C’est quarante ans plus tard que l’on retrouve un autre Frédéric Dutrieux, sur le point d’effectuer son service militaire, encore obligatoire en cette année 1984. Les scènes se déroulant durant son incorporation à l’armée ont été pour moi les plus marquantes. Cette parenthèse aux accents satiriques prononcés, apparaît comme une bulle au milieu du roman. La mort tient une place prépondérante dès les toutes premières pages. Les poèmes de Keith Douglas dans le chapitre initial en sont une remarquable introduction. La perception du temps joue également un rôle important tout au long du récit. Les limites temporelles se dévoilent de manière floue, nous troublent le regard et laissent un brouillard de doute quant à notre repère au...
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