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Le Messager
Andrée Martinerie (traduit par), Denis Morrens (traduit par)
Collection : Belfond Vintage
Date de parution : 18/04/2019
Éditeurs :
Belfond

Le Messager

Andrée Martinerie (traduit par), Denis Morrens (traduit par)
Collection : Belfond Vintage
Date de parution : 18/04/2019
« Le Messager de L. P. Hartley a changé ma vie. Je l’ai lu à 13 ans, et me suis vivement identifié au personnage principal, Léon. Expiation est aussi un hommage à ce roman. »
Ian McEwan
« Le passé est un pays étranger… » Ainsi s’ouvre ce classique aussi troublant que profond sur ces instants de l’enfance qui façonnent toute une vie. Publié en Angleterre en... « Le passé est un pays étranger… » Ainsi s’ouvre ce classique aussi troublant que profond sur ces instants de l’enfance qui façonnent toute une vie. Publié en Angleterre en 1953 et en France deux ans plus tard, un roman tout en finesse porté par une langue précieuse, où Léon... « Le passé est un pays étranger… » Ainsi s’ouvre ce classique aussi troublant que profond sur ces instants de l’enfance qui façonnent toute une vie. Publié en Angleterre en 1953 et en France deux ans plus tard, un roman tout en finesse porté par une langue précieuse, où Léon Colston, vieux monsieur, explore ses souvenirs et se replonge dans l’été 1900. Un été tragique et brûlant.
Adapté au cinéma par Joseph Losey et mis en musique par Michel Legrand, Palme d’or du festival de Cannes en 1971, un chef-d’œuvre à redécouvrir au plus vite !
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EAN : 9782714479686
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 400
Format : 140 x 205 mm
EAN : 9782714479686
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 400
Format : 140 x 205 mm

Ils en parlent

« Magique et bouleversant. »
The Independent

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • GoodBooksGoodFriends 19/10/2023
    Quand Léon Colston retrouve son journal d’adolescent, ce sont mille souvenirs qui lui reviennent à l’esprit, et notamment ceux de cet été 1900 : son camarade Marc qui l’avait invité quelques semaines, Marian, la sœur aînée de ce dernier, et les mystérieux messages dont il était chargé. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ À treize ans, les choses ne prennent pas toujours la même importance qu’à l’âge adulte et le Léon adulte revient sur les événements de cet été particulièrement chaud avec le recul qu’offrent les années et l’expérience. Il est le narrateur du roman et il apporte ce petit mélange d’ingénuité et d’omniscience qui m’a tant plu. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ J’ai tout aimé dans cette lecture, le dépaysement tout d’abord, me voir transportée dans le Norfolk alors que je lis au bord de la piscine est assez agréable. L’atmosphère de manoir anglais au début du 20ème siècle apporte un petit côté suranné qui n’a pas été pour me déplaire. ⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀⠀ J’ai aussi souvent pensé durant ma lecture à Expiation de Ian McEwan, ce merveilleux roman que je ne peux que vous conseiller. Comme Le Messager.
  • alexb27 20/06/2023
    Ce texte a servi de modèle à Ian McEwan pour son roman expiation (que je vais m’empresser de lire ! ). Léon, un quinquagénaire, se rappelle avec effroi et nostalgie, l’été de ses 13 ans, où son rôle de messager entre 2 jeunes gens de classe différente, a bouleversé sa vie (et la leur). Cet été 1900 passé au sein de l’aristocratie anglaise dont il connaît peu les codes, va en effet marquer son passage à l’âge adulte : il va y perdre sa naïveté et son insouciance. Ces quelques semaines vont également avoir un effet dévastateur sur sa vie d’homme et son rapport aux autres…c’est ce qu’il constate, 40 ans après, en se remémorant cette courte période et en interrogeant l’enfant qu’il était. Un roman d’apprentissage au charme suranné, classique de la littérature anglaise, qui se lit avec beaucoup de plaisir, pour son étude psychologique très riche des personnages et son analyse fine de l’aristocratie britannique. Auquel s’ajoute une écriture des plus élégante. Une très chouette lecture
  • Doralex72 22/11/2022
    La narrateur, Léon Colston, retrouve par hasard le journal intime qu’il tenait quand il était petit garçon. Il se remémore ainsi l’été de ses treize ans, quelques jours avant son anniversaire le 27 juillet 1900. Enfant issu d’un foyer modeste, il est convié par l’un de ses camarades de classe à venir passer quelques jours chez les Maudsley à Brandham Hall. Il découvre alors un monde tout nouveau, celui de l’aristocratie. C’est une rencontre des classes qui se fait alors. Les Maudsley sont accueillants et chaleureux, mais Markus tombe malade, et Léon se retrouve bien seul. Il va alors passer beaucoup de temps avec la jeune Marian, la sœur de Markus, pour qui il va développer une vive amitié. Marian va lui confier une mission : jouer au « messager » et lui permettre d’échanger des lettres avec Ted Burgess, le régisseur du domaine. Léon ne voit pas le mal à remplir cet office, et même, il n’y voit que l’avantage de se rendre indispensable à Marian. Mais, cette mission est à haut risque pourtant et Léon, du haut de ses treize ans, ne semble pas voir le danger qui rôde. Ce roman a beau être un classique de la littérature anglaise qui a de plus été adapté au cinéma, il n’en demeure qu’il est assez plat et linéaire. Je n’ai pas été emportée par le récit même si la plume de Hartley est indéniablement de qualité. Je me suis ennuyée. C’est long, c’est poussif. Les thèmes abordés sont universels, incontestablement, l’amitié, l’amour, l’honneur, mais il m’a manqué un souffle, un rythme. Dommage. La narrateur, Léon Colston, retrouve par hasard le journal intime qu’il tenait quand il était petit garçon. Il se remémore ainsi l’été de ses treize ans, quelques jours avant son anniversaire le 27 juillet 1900. Enfant issu d’un foyer modeste, il est convié par l’un de ses camarades de classe à venir passer quelques jours chez les Maudsley à Brandham Hall. Il découvre alors un monde tout nouveau, celui de l’aristocratie. C’est une rencontre des classes qui se fait alors. Les Maudsley sont accueillants et chaleureux, mais Markus tombe malade, et Léon se retrouve bien seul. Il va alors passer beaucoup de temps avec la jeune Marian, la sœur de Markus, pour qui il va développer une vive amitié. Marian va lui confier une mission : jouer au « messager » et lui permettre d’échanger des lettres avec Ted Burgess, le régisseur du domaine. Léon ne voit pas le mal à remplir cet office, et même, il n’y voit que l’avantage de se rendre indispensable à Marian. Mais, cette mission est à haut risque pourtant et Léon, du haut de ses treize ans, ne semble pas voir le danger qui rôde. Ce roman a beau être un classique de la...
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  • Lorem_Ipsum 04/03/2022
    Initialement publié en 1953, ce roman au charme suranné nous emporte en 1900, dans le sillage de Léon Colston, un jeune garçon de 12 ans convié par son camarade Marc à venir passer l'été dans sa famille. Chaque journée est alors source d'émerveillement, tandis que Léon, issu d'un milieu social inférieur à celui de son ami, découvre avec fascination le quotidien de cette famille aristocratique. Partagé entre admiration et embarras, il peut heureusement compter sur la bienveillance de la jeune fille de la famille, Marian. Au fil de ses escapades, il se lie également d'amitié avec le Vicomte de Trimingham, invité de la maisonnée, et avec Ted, un fermier des environs. Avide de plaire, Léon se retrouve bientôt à jouer le messager et à porter mots et missives entre ces trois-là... Se retrouvant pris au piège d'enjeux sentimentaux qui le dépassent. Même si le récit intègre le ressenti du « vieux » M. Léon Colston devenu adulte, la romance est essentiellement contée par le jeune Léon, qui du haut de ses 12 ans, n'est pas très sensible aux choses de l'amour. Aussi, l'histoire est-elle surtout focalisée sur son ressenti d'enfant, sa difficulté à percevoir les codes qui régissent le monde des adultes, sa transformation aussi, au fil de cet été étourdissant de chaleur, qui prend la tournure d'un parcours initiatique. Le rythme du roman est lent, contemplatif. L'action se met en place très progressivement et la tension monte doucement au fil des pages, accompagnée par la lourdeur de cet été qui semble sans fin. C'est finalement en dernière partie de roman que toute cette tension accumulée éclate et que le drame s'abat sur les habitants de Brandham Hall. Une lecture à conseiller aux amateurs d'émotions poignantes et de tragédie.Initialement publié en 1953, ce roman au charme suranné nous emporte en 1900, dans le sillage de Léon Colston, un jeune garçon de 12 ans convié par son camarade Marc à venir passer l'été dans sa famille. Chaque journée est alors source d'émerveillement, tandis que Léon, issu d'un milieu social inférieur à celui de son ami, découvre avec fascination le quotidien de cette famille aristocratique. Partagé entre admiration et embarras, il peut heureusement compter sur la bienveillance de la jeune fille de la famille, Marian. Au fil de ses escapades, il se lie également d'amitié avec le Vicomte de Trimingham, invité de la maisonnée, et avec Ted, un fermier des environs. Avide de plaire, Léon se retrouve bientôt à jouer le messager et à porter mots et missives entre ces trois-là... Se retrouvant pris au piège d'enjeux sentimentaux qui le dépassent. Même si le récit intègre le ressenti du « vieux » M. Léon Colston devenu adulte, la romance est essentiellement contée par le jeune Léon, qui du haut de ses 12 ans, n'est pas très sensible aux choses de l'amour. Aussi, l'histoire est-elle surtout focalisée sur son ressenti d'enfant, sa difficulté à percevoir les codes qui régissent le monde des...
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  • Pancrace 08/01/2022
    - Vous avez un nouveau message… Pas un SMS avec de vaines promesses ni un « tchat » encombré de chausse-trappes, un vrai doux billet manuscrit avec des pleins et des déliés, foin de vides et de billevesées. Pas nécessaire de télécharger ou d’enregistrer in the « cloud », décachetez, lisez, fermez les yeux et laissez-vous emporter... La petite lettre est en papier glacé et ne va pas s’envoler dans les méandres de la net-canopée, elle va seulement infuser dans vos pensées la douceur d’un futur rendez-vous occulte. C’est carrément suranné, totalement désuet et absolument surréaliste aujourd’hui mais tellement charmant d’avoir pu échanger avec sa dulcinée par l’intermédiaire d’un messager. Parlons-en du messager forcé ! Léon 13 ans, d’un milieu ordinaire est invité par Marc, son seul ami de collège dans le manoir de Brandham Hall. Il se retrouvera aussi perdu dans l’aristocratie anglaise de 1900 que moi en 2022 dans le webinaire. Il ne connait pas les protocoles, j’ai du mal avec les processus. Vertigineuse et interminable descente dans l’abime de questionnements de cet adolescent qui confronté à des situations qui le dépassent et des affections qui le dévorent va osciller entre de merveilleuses satisfactions et d’immenses détresses orchestrées par Marian, fille de la maitresse de maison, lord Trimingham son fiancé guindé et Ted son fermier séduisant. Ce triangle humain rompu aux postures aiguisées le fera, pauvre hère, muter de héros triomphant au cricket à nigaud émouvant. Partagé entre l’attrait et la répulsion, il sera autant sauveur qu’entremetteur et obtiendra récompenses ou humiliations en fonction de ses comportements. Balloté entre les uns et les autres, il deviendra indispensable et se considérera à tort fautif du dramatique dénouement. Il y perdra ses rêves et gagnera ses convictions. Entre le prologue et l’épilogue, c’est quelquefois long comme un catalogue et pesant comme un monologue avec souvent des sentiments et des situations analogues. J’ai, par contre apprécié les dialogues un brin démodés et finalement comme ce « bon garçon », j’ai compris la leçon. - Vous avez un nouveau message… Pas un SMS avec de vaines promesses ni un « tchat » encombré de chausse-trappes, un vrai doux billet manuscrit avec des pleins et des déliés, foin de vides et de billevesées. Pas nécessaire de télécharger ou d’enregistrer in the « cloud », décachetez, lisez, fermez les yeux et laissez-vous emporter... La petite lettre est en papier glacé et ne va pas s’envoler dans les méandres de la net-canopée, elle va seulement infuser dans vos pensées la douceur d’un futur rendez-vous occulte. C’est carrément suranné, totalement désuet et absolument surréaliste aujourd’hui mais tellement charmant d’avoir pu échanger avec sa dulcinée par l’intermédiaire d’un messager. Parlons-en du messager forcé ! Léon 13 ans, d’un milieu ordinaire est invité par Marc, son seul ami de collège dans le manoir de Brandham Hall. Il se retrouvera aussi perdu dans l’aristocratie anglaise de 1900 que moi en 2022 dans le webinaire. Il ne connait pas les protocoles, j’ai du mal avec les processus. Vertigineuse et interminable descente dans l’abime de questionnements de cet adolescent qui confronté à des situations qui le dépassent et des affections qui le dévorent va osciller entre de merveilleuses satisfactions et d’immenses détresses orchestrées par Marian, fille...
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