Les chemins du pouvoir

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

• VirginieCM 02/09/2024

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  L’accusé : Malcolm Vayne ; motif de l’accusation : fraudes, détournements de fonds, tromperies… Seul problème, Malcolm Vayne est un patron de presse fort apprécié de la haute société mais aussi des petites gens, pour ses prises de position, en faveur du droit de vote des femmes par exemple… Et cette fois, Daniel Pitt ne le défendra pas !!! Il assiste la nouvelle recrue du cabinet, Gideon Hunter, pour l’accusation… Et il aura fort à faire pour convaincre les jurés, devant le poids, et surtout le peu de scrupules de cet homme… Voilà, je termine cette série avec encore un sentiment mitigé. Globalement peu passionnée par l’intrigue, desservie par les longueurs créées par certains passages, mais intéressée par les thèmes développés, les scènes au tribunal décrites à merveille, et ce personnage de Malcolm Vayne odieux à souhait… Souriante aussi quant aux liens noués désormais entre Daniel et Myriam, et finalement triste, malgré mon manque d'enthousiasme parfois, de ne plus les retrouver…
• PGilly 14/08/2024

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  Mon premier Pitt et mon dernier. Que de circonvolutions, que d'explications fastidieuses du moindre geste ou d'un imperceptible haussement de sourcil. Ne cherchez aucun sous-texte, tout est dit, montré, déplié. Rien ne survient avant une bonne moitié de cette affaire à la une de la presse. L'écriture datée, désuète, agace souvent, fait mouche parfois. Anne Perry materne ses personnages principaux, rompt une lance féministe, échoue à captiver l'attention au-delà de l'entame. La sollicitude sirupeuse des épouses envers leur mari m'a énervé au plus haut point. L'envie seule de savoir comment un escroc manipule son monde a nourri ma lecture intégrale d'un vestige victorien, décidément obsolète.
• CharlotteADAM 05/09/2023

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  Il s'agit du dernier livre de la saga « Pitt » (décès d’Anne PERRY en avril dernier). J’avais eu l’impression que le précédent opus arrêtait l’histoire des personnages sur une forme de conclusion, j'étais donc curieuse de savoir ce qu’il y aurait dans ce tome. J’ai trouvé le scénario mince (un homme d’affaires est jugé pour avoir escroqué des particuliers en les faisant investir dans des placements reposant sur du vent, l’argent des nouveaux investisseurs servant à financer les sommes versées aux précédents... Jusqu’à ce que les dessous de l’affaire soit dévoilée, provoquant son écroulement). La première partie était assez laborieuse et trop délayée à mon goût, malgré le plaisir de retrouver Daniel, marié à Miriam. Clairement, il n'y a pas assez d’intrigue, les ficelles sont trop grosses, cela manque de suspense. Les personnages ne sont qu’effleurés, pas approfondis. On ne retrouve pas le mordant des premiers épisodes de la série « Pitt », avec sa critique acerbe de la société britannique du XIXè siècle : ici c’est très manichéen, même si on retrouve des affaires d’arnaque encore bien d’actualité (mais n’est-ce pas intemporel ? Dans tout société humaine où il y a de l’argent en tout cas). Il n’y avait pas matière à faire un tome complet selon moi. Une péripétie dans la seconde partie du livre relance le suspense, même si, là aussi, peu d’originalité : la péripétie a déjà été utilisée dans d’autres tomes de la série et dans un épisode de la série « Monk ». Mais le rythme est meilleur qu’au début. Et il se déroule un très beau combat entre Daniel et un adversaire, dans un site de château en ruines au bord d’une mer déchaînée. J’ai beaucoup aimé les descriptions du lieu et de l’ambiance assez grandiose de la scène, même si l’issue est peu crédible. Pour le reste, c’est-à-dire le dénouement du procès, pas de grande surprise. En bref, un tome plutôt « de trop », la série aurait pu (dû ?) s’arrêter au précédent, mais c’est un ressenti personnel. Il s'agit du dernier livre de la saga « Pitt » (décès d’Anne PERRY en avril dernier). J’avais eu l’impression que le précédent opus arrêtait l’histoire des personnages sur une forme de conclusion, j'étais donc curieuse de savoir ce qu’il y aurait dans ce tome. J’ai trouvé le scénario mince (un homme d’affaires est jugé pour avoir escroqué des particuliers en les faisant investir dans des placements reposant sur du vent, l’argent des nouveaux investisseurs servant à financer les sommes versées aux précédents... Jusqu’à ce que les dessous de l’affaire soit dévoilée, provoquant son écroulement). La première partie était assez laborieuse et trop délayée à mon goût, malgré le plaisir de retrouver Daniel, marié à Miriam. Clairement, il n'y a pas assez d’intrigue, les ficelles sont trop grosses, cela manque de suspense. Les personnages ne sont qu’effleurés, pas approfondis. On ne retrouve pas le mordant des premiers épisodes de la série « Pitt », avec sa critique acerbe de la société britannique du XIXè siècle : ici c’est très manichéen, même si on retrouve des affaires d’arnaque encore bien d’actualité (mais n’est-ce pas intemporel ? Dans tout société humaine où il y a de l’argent en tout cas). Il n’y...

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