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Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette : Les Fantômes de Bruges
Collection : La Bête noire
Date de parution : 03/02/2022
Éditeurs :
Robert Laffont

Les Folles enquêtes de Magritte et Georgette : Les Fantômes de Bruges

Collection : La Bête noire
Date de parution : 03/02/2022
Le 3e tome des folles enquêtes de Magritte et Georgette : la nouvelle série de cosy mystery à succès de La Bête noire !
Bruges-la-Morte, fantôme de mariée aux dentelles déchirées

Le peintre Magritte et sa femme Georgette sont réveillés à la tombée de la nuit par Carmen, la femme de ménage. Elle est dans...
Bruges-la-Morte, fantôme de mariée aux dentelles déchirées

Le peintre Magritte et sa femme Georgette sont réveillés à la tombée de la nuit par Carmen, la femme de ménage. Elle est dans tous ses états. Pensez donc ! La pauvre, qui travaille aussi pour leur mystérieux voisin, est tombée sur son cadavre...
Bruges-la-Morte, fantôme de mariée aux dentelles déchirées

Le peintre Magritte et sa femme Georgette sont réveillés à la tombée de la nuit par Carmen, la femme de ménage. Elle est dans tous ses états. Pensez donc ! La pauvre, qui travaille aussi pour leur mystérieux voisin, est tombée sur son cadavre en prenant son service. Mais, quand le trio déboule chez lui, le corps a disparu ! Leur enquête va les mener à Bruges, la « Venise du Nord », d’une étrange beauté avec ses canaux sur lesquels glissent de silencieux fantômes…

« Bravo Nadine ! Tu nous emmènes baguenauder, comme tu dis, avec tes héros qui nous deviennent de plus en plus proches… »
Josiane Balasko
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EAN : 9782221257203
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 264
Format : 130 x 200 mm
EAN : 9782221257203
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 264
Format : 130 x 200 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • AnneLilit 30/03/2024
    C’est toujours un plaisir de retrouver Magritte, Georgette et Carmen, et évidemment, Loulou. Je me suis laissée facilement embarquer dans cette nouvelle enquête, qui emmène encore dans des histoires complètement folles et qui nous permettent de découvrir la personnalité de Magritte, ainsi que son art. J’adore les descriptions de ses œuvres : j’en ai redécouvertes d’une autre façon et j’en ai découvertes qui m’étaient alors inconnues. Par contre, dans ce tome, j’ai trouvé que l’atmosphère était plus sombre que dans les autres et, que cette atmosphère prenait le dessus sur les personnages. Certes, nous découvrons cette facette plus sombre de Magritte et Georgette, mais j’ai eu cette impression qu’ils étaient complètement effacés par rapport aux autres tomes que j’ai lus. C’est cela qui m’a fait un peu décroché à certains moments. Il n’en reste pas moins que les répliques cinglantes des personnages ( coup de cœur confirmé pour Carmen) et les situations farfelues maintiennent notre intérêt pour l’histoire. De plus, l’enquête est bien ficelée et c’est un plaisir de suivre les tribulations de nos enquêteurs surréalistes, et tout cela, avec des notes de vocabulaire bien belge qui met du baume au cœur et un beau sourire aux lèvres ( surtout qu’on comprend les références … vive les belgicismes !). Un tome un peu moins rythmé que les autres mais qui nous donne un bon moment de lecture ! C’est toujours un plaisir de retrouver Magritte, Georgette et Carmen, et évidemment, Loulou. Je me suis laissée facilement embarquer dans cette nouvelle enquête, qui emmène encore dans des histoires complètement folles et qui nous permettent de découvrir la personnalité de Magritte, ainsi que son art. J’adore les descriptions de ses œuvres : j’en ai redécouvertes d’une autre façon et j’en ai découvertes qui m’étaient alors inconnues. Par contre, dans ce tome, j’ai trouvé que l’atmosphère était plus sombre que dans les autres et, que cette atmosphère prenait le dessus sur les personnages. Certes, nous découvrons cette facette plus sombre de Magritte et Georgette, mais j’ai eu cette impression qu’ils étaient complètement effacés par rapport aux autres tomes que j’ai lus. C’est cela qui m’a fait un peu décroché à certains moments. Il n’en reste pas moins que les répliques cinglantes des personnages ( coup de cœur confirmé pour Carmen) et les situations farfelues maintiennent notre intérêt pour l’histoire. De plus, l’enquête est bien ficelée et c’est un plaisir de suivre les tribulations de nos enquêteurs surréalistes, et tout cela, avec des notes de vocabulaire bien belge qui met du baume au cœur et un beau sourire aux lèvres ( surtout...
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  • Bookinwoman 05/07/2023
    C'est le troisième tome de cette saga de cosy mystery, après avoir lu "Nom d'une pipe ! " et " A Knokke-le-Zoute !" on retrouve René et Georgette dans une nouvelle enquête. Carmen, leur femme de ménage, trouve un de ses clients mort à son domicile mais quand Magritte et la police se rendent sur place il n'y a ni cadavre ni trace d'un quelconque assassinat. Un étrange mystère plane autour cette découverte macabre... Notre couple loufoque va, comme à son habitude maintenant, mener sa propre enquête, qui va les mener dans la jolie ville de Bruges. Cette enquête ne va pas être simple à résoudre et elle soulève beaucoup de secrets de famille. J'ai trouvé qu'elle était aussi extrêmement documentée et beaucoup de références aux oeuvres du peintre y sont faites, à mon sens il ne faut pas hésiter à faire un petit tour sur Internet pour visualiser les tableaux qui sont évoqués au fur et à mesure de la lecture. J'ai beaucoup apprécié ce tome, Georgette prend vraiment son rôle très à coeur, René Magritte est un personnage exceptionnel, tellement drôle. Sans se prendre réellement au sérieux, il s'applique à résoudre cette enquête. Toujours fort de le faire avec un certain détachement qui lui est propre. Cette saga qui rend hommage à cet artiste et à la Belgique est vraiment à part dans le genre. C'est le troisième tome de cette saga de cosy mystery, après avoir lu "Nom d'une pipe ! " et " A Knokke-le-Zoute !" on retrouve René et Georgette dans une nouvelle enquête. Carmen, leur femme de ménage, trouve un de ses clients mort à son domicile mais quand Magritte et la police se rendent sur place il n'y a ni cadavre ni trace d'un quelconque assassinat. Un étrange mystère plane autour cette découverte macabre... Notre couple loufoque va, comme à son habitude maintenant, mener sa propre enquête, qui va les mener dans la jolie ville de Bruges. Cette enquête ne va pas être simple à résoudre et elle soulève beaucoup de secrets de famille. J'ai trouvé qu'elle était aussi extrêmement documentée et beaucoup de références aux oeuvres du peintre y sont faites, à mon sens il ne faut pas hésiter à faire un petit tour sur Internet pour visualiser les tableaux qui sont évoqués au fur et à mesure de la lecture. J'ai beaucoup apprécié ce tome, Georgette prend vraiment son rôle très à coeur, René Magritte est un personnage exceptionnel, tellement drôle. Sans se prendre réellement au sérieux, il s'applique à résoudre cette enquête. Toujours fort de le faire avec un certain...
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  • Mouche307 18/05/2023
    Troisième volume de la série des enquêtes de Magritte et Georgette, après deux tomes que je n'ai pas lus. Encore une rencontre due au hasard des propositions de la médiathèque. On connaît bien sûr Magritte, le peintre surréaliste, mais l'autrice belge lui invente ici une activité annexe d'assistant enquêteur auprès de Georgette, son intrépide et authentique épouse. J'ai apprécié dans ce cosy mystery les références aux toiles du peintre, je les y aurais bien vues aussi, même petites et en noir et blanc à titre d'illustration, mais c'est un roman, pas un livre d'art. Les personnages sont pour la plupart aigris, grincheux, vindicatifs, avec un sens féroce de la répartie qui m'a souvent fait sourire. Ne reste que le mystère, pas très épais, d'un crime sans cadavre, d'une toile contrefaite et d'un mari cocu. Heureusement, Jackie, dite Loulou, la chienne du couple Magritte est bien la plus maligne et a flairé le coupable dès le début. Dommage que personne ne prenne la peine de l'écouter. Si j'ai trouvé l'intrigue du roman un peu faible, cette lecture m'a en revanche donné très envie d'aller visiter la ville de Bruges ; l'autrice la dépeint tellement bien que je je souhaite que ces lieux soient réels pour pouvoir les découvrir.Troisième volume de la série des enquêtes de Magritte et Georgette, après deux tomes que je n'ai pas lus. Encore une rencontre due au hasard des propositions de la médiathèque. On connaît bien sûr Magritte, le peintre surréaliste, mais l'autrice belge lui invente ici une activité annexe d'assistant enquêteur auprès de Georgette, son intrépide et authentique épouse. J'ai apprécié dans ce cosy mystery les références aux toiles du peintre, je les y aurais bien vues aussi, même petites et en noir et blanc à titre d'illustration, mais c'est un roman, pas un livre d'art. Les personnages sont pour la plupart aigris, grincheux, vindicatifs, avec un sens féroce de la répartie qui m'a souvent fait sourire. Ne reste que le mystère, pas très épais, d'un crime sans cadavre, d'une toile contrefaite et d'un mari cocu. Heureusement, Jackie, dite Loulou, la chienne du couple Magritte est bien la plus maligne et a flairé le coupable dès le début. Dommage que personne ne prenne la peine de l'écouter. Si j'ai trouvé l'intrigue du roman un peu faible, cette lecture m'a en revanche donné très envie d'aller visiter la ville de Bruges ; l'autrice la dépeint tellement bien que je je souhaite que ces lieux soient réels...
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  • parolesenvolent 27/04/2023
    Georgette et René Magritte s’aiment comme au premier jour dans une vie paisible avec leur chien surnommé Loulou. Mais un soir, Carmen, leur femme de ménage déboule, à l’improviste, toute bouleversée. Elle est persuadée que le couple connaît Charles Bogaert, puisque ce monsieur détient une toile de Magritte. Or, en retrouvant cet autre patron inanimé, Carmen a aussi observé que le fameux tableau avait disparu. Comme ils habitent à proximité, Georgette et René s’empressent d’accompagner Carmen chez ce voisin pour la rassurer et comprendre pourquoi ce tableau se trouverait là, car René n’a jamais peint «#8201;le principe du plaisir#8201;» pour lui. Mais à l’arrivée sur les lieux, tout semble indiquer que l’homme est mort et la toile dérobée #8201;; alors le trio s’éclipse avant d’appeler, pour la femme de ménage, la police. Or, bizarrement, l’enquêteur ne retrouve aucun corps dans l’appartement. Intrigués par ces deux disparitions, corps et tableau, les Magritte partent pour Bruges rencontrer Édouard James, le commanditaire du portrait surréaliste. Et finalement, beaucoup d’interrogations et des cadavres vont poindre au fur et à mesure de leur périple. MON AVIS L’auteure, Nadine Monfils, m’a séduite avec ce roman cosy crime, extrait d’une série «#8201;Les enquêtes de Georgette et Renée#8201;» où le hasard a mis entre mes mains le tome 3 : les fantômes de Bruges. Dans une ambiance légère, la série met en scène des héros sympathiques. Ils se retrouvent malgré eux dans le rôle d’enquêteurs pour un crime dont on est finalement peu soucieux du sort de la victime. Ici, c’est encore mieux, car elle a disparu ! L’harmonie agréable et la complémentarité du couple Magritte engagent le lecteur à suivre les protagonistes avec plaisir dans leurs pérégrinations et leurs rencontres. René use d’une sincérité âpre et son caractère d’artiste lui permet de s’absoudre des bienséances de la politesse. Sa franchise caustique et son humour de pince-sans-rire amusent (c.f. avec Carmen). Il donne presque envie de devenir son ami malgré son honnêteté parfois trop nette pas toujours facile à encaisser. À ses côtés, Georgette tempère le comportement plus spontané de son mari. Tous les deux forment un couple sympathique, dont la fréquentation recherchée pour la créativité de l’un et la bienveillance polie de l’autre. L’apparence lisse de ces héros se calque finalement sur ceux d’Agatha Christie. Dans la lignée des Beresford présents dans son livre «#8201;Le Crime est notre affaire#8201;», ces enquêteurs amateurs font preuve d’une perspicacité de fins limiers. En effet, la diversion paisible de leurs attitudes et de leurs conversations dissimule une efficacité imparable dans leur déduction. Ici, l’action se situe en Belgique. Du coup, ce roman choral offre un éventail de personnages divertissants et intéressants, comme les membres de la famille Rodenbach, tous loufoques à leur manière. Elle se compose du fils homosexuel affiché et cocu notoire, à la fille célibataire délaissée et obsédée à la folie pour le flirt d’un pseudoamour… jusqu’à la matriarche intraitable dont tous convoitent la fortune. J’ai beaucoup apprécié une version de fresque policière pour aborder un peintre renommé que je connaissais peu même si ses toiles font finalement partie de notre univers visuel. Dans ce roman, il est question d’une toile très connue «#8201;le principe du plaisir#8201;» (c.f. l’image infra). Personnellement, je viens de découvrir son titre et de fait l’identité de son créateur. Ce récit m’a donné envie de rechercher d’autres éclaircissements que je partage avec vous. Plus de détails sur le blog :Georgette et René Magritte s’aiment comme au premier jour dans une vie paisible avec leur chien surnommé Loulou. Mais un soir, Carmen, leur femme de ménage déboule, à l’improviste, toute bouleversée. Elle est persuadée que le couple connaît Charles Bogaert, puisque ce monsieur détient une toile de Magritte. Or, en retrouvant cet autre patron inanimé, Carmen a aussi observé que le fameux tableau avait disparu. Comme ils habitent à proximité, Georgette et René s’empressent d’accompagner Carmen chez ce voisin pour la rassurer et comprendre pourquoi ce tableau se trouverait là, car René n’a jamais peint «#8201;le principe du plaisir#8201;» pour lui. Mais à l’arrivée sur les lieux, tout semble indiquer que l’homme est mort et la toile dérobée #8201;; alors le trio s’éclipse avant d’appeler, pour la femme de ménage, la police. Or, bizarrement, l’enquêteur ne retrouve aucun corps dans l’appartement. Intrigués par ces deux disparitions, corps et tableau, les Magritte partent pour Bruges rencontrer Édouard James, le commanditaire du portrait surréaliste. Et finalement, beaucoup d’interrogations et des cadavres vont poindre au fur et à mesure de leur périple. MON AVIS L’auteure, Nadine Monfils, m’a séduite avec ce roman cosy crime, extrait d’une série «#8201;Les enquêtes de Georgette et Renée#8201;» où le hasard...
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  • PRP 15/03/2023
    C’est la troisième enquête de Magritte et Georgette que je lis en un mois, et je ne m’en lasse pas. Je me suis encore régalée avec « Les fantômes de Bruges » On découvre pleins de choses sur Magritte et sa Belgique natale en même qu’on suit une enquête pleine de rebondissements. C’est écrit avec beaucoup d’humour, et on a très souvent le sourire aux lèvres, bien qu’il s’agisse de meurtres ! Il y a quand même une petite chose qui m’a intriguée : soit Nadine Monfils n’a jamais vu pisser une chienne, soit celle des Magritte est un mâle, contrairement à ce qui est dit et répété très souvent au fil du texte. Mais de nos jours il ne faut plus s’étonner de rien n’est-ce pas ?
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