Lisez! icon: Search engine
Les grandes familles
Date de parution : 04/11/1999
Éditeurs :
Plon

Les grandes familles

Date de parution : 04/11/1999

Réunis en un seul volume, les trois romans incontournables des Grandes Familles : une véritable fresque de la société française de l'entre-deux guerres.

C'est dans les cercles de la grande banque, de la politique, de l'armée, de la célébrité et de l'oisiveté luxueuese que se déroulent les trois romans du cycle Les Grandes...

C'est dans les cercles de la grande banque, de la politique, de l'armée, de la célébrité et de l'oisiveté luxueuese que se déroulent les trois romans du cycle Les Grandes Familles, cette vaste fresque de la société française d'entre les deux guerres mondiales. Romans de l'ambition, de ses succès et...

C'est dans les cercles de la grande banque, de la politique, de l'armée, de la célébrité et de l'oisiveté luxueuese que se déroulent les trois romans du cycle Les Grandes Familles, cette vaste fresque de la société française d'entre les deux guerres mondiales. Romans de l'ambition, de ses succès et de ses échecs, romans du pouvoir, de ses triomphes et de ses écroulements, romans des affaires de leur turbulence et leurs faillites, romans du vieillissement, des déchéances et de la mort, où s'affrontent aristocrates, grands bourgeois, et arrivistes.
Comme en écho à cette décadence sociale, et de la même période d'écriture, voici La Volupté d'être et sa fascinante héroïne, la Contessa Lucrezia Sanziani, vieille femme casquée et gantée de panthère, qui rejoue les scène d'un passé ardent, mouvementé, quasi fabuleux, pour la petite femme de l'hôtel d'autrefois luxueux où elle s'est retirée.

Lire la suite
En lire moins
EAN : 9782259191678
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 900
Format : 130 x 198 mm
EAN : 9782259191678
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 900
Format : 130 x 198 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Moijedu14 23/07/2023
    Avec Les Grandes Familles, qui obtient le Prix Goncourt en 1948, Maurice Druon entame sous le titre général La Fin des Hommes, une trilogie romanesque, poursuivie avec La Chute des Corps et Rendez-vous aux enfers. Il brosse un tableau réaliste, féroce et prodigue en péripéties, de la grande bourgeoisie d'affaires de l'entre-deux guerres. Une société en sursis sous la menace de la guerre et où rivalités et manoeuvres, adultères et retournements de situation, affairisme et tragédies individuelles ponctuent une action prenante, riche en tableaux et en portraits mémorables...
  • perlederosee28 11/04/2023
    Ce livre fut une belle découverte.Je trouve qu'il a bien mérité son prix Goncourt. Voici une sympathique fresque avec de bons dialogues qui rendent la lecture bien plaisante. Cet ouvrage m'a fait penser un peu à du Zola. Je n'ai pas encore vu le film avec Jean Gabin mais ça ne saurait tarder. Je vais également me dépêcher de lire les autres tomes.
  • germ1tor 14/02/2023
    J’avoue que j’ai un a priori défavorable sur l’auteur et par conséquent sur son roman. Et bien j’ai grand tort. La peinture qui y est faite de la bourgeoisie est précise, fine et acérée. On s’attache au fil des pages aux personnages tous imbus de leur personne, tous soucieux de leur paraître et de leur notoriété. Un monde d’entre soi où les intrus de classe sont rarement admis sauf à être utiles à l’ambition. On se prend par moment à les comprendre et à les adopter ces aristocrates, ces gens de pouvoir et ces parvenus, ce qui est tout de même une prouesse de l’auteur.
  • Lucilou 31/03/2021
    Maurice Druon était avant tout pour moi l'auteur de la saga des "Rois Maudits" dont j'ai si souvent corné les pages et le deuxième homme derrière les paroles du "Chant des Partisans". Je savais bien que là n'étaient sans doute pas ses seuls faits d'armes, mais je ne m'y étais jamais vraiment intéressé jusqu'à ce que je tombe en librairie sur une réédition de "Les Grandes Familles" en livre de poche et qu'attrapée par sa quatrième de couverture, je me l'offre. Cet ouvrage pour lequel Maurice Druon fut le récipiendaire en 1948 du Prix Goncourt constitue le premier tome d'une vaste trilogie "La Fin des Hommes" dans laquelle le père des Rois Maudits brosse un portrait impitoyable de la grande bourgeoisie française de l'entre deux guerres avec une férocité et une finesse toutes balzaciennes, dans la tradition des grands romans français qui savent si bien mêler saga familiale et fresque sociale. C'est à la fois incroyablement moderne et on ne peut plus savoureux. Paris, 1920. Jean de la Monnerie, grand poète, "romantique de la quatrième génération" vient de mourir. Tout ce que la capitale compte de puissants et d'ambitieux, de politiques et de financiers se presse à ses funérailles: le clan de la Monnerie -aristocrate, arrogant-, Simon Lachaume -modeste professeur et jeune protégé du défunt-, Noël Schoudler -richissime banquier et beau-père de la fille du poète-, Anatole Rousseau -ministre un peu falot-, Lucien Maublanc -le cousin fantasque, le mouton noir-... Ce sont aux tractations et à la comédie auxquelles se soumet tout ce petite monde que nous convie Maurice Druon avec ces Grandes Familles qui exécutent sous nos yeux un ballet bien orchestré: les familles patriciennes menées par leurs patriarches forment une élite économique et politique qui gravite dans les plus hautes sphères sans se soucier de l'existence des petits, des moins chanceux; pas plus que de certains membres de leur clan qu'ils n'hésitent d'ailleurs pas à sacrifier sur l'autel de leurs ambitions. Pendant ce temps pourtant, tout change et évolue; le monde des grandes familles est sclérosé et déjà en train de s'éteindre mais ni les Schoudler ni les La Monnerie ne veulent le voir, ce qui les rend presque poignants par moments tant ils mettent d'énergie à ce que rien ne bouge et à lutter contre les jeunes d'une autre génération dévorés d'ambition et qui voudraient bien eux aussi une part de ce pouvoir qu'on leur refuse. Maurice Druon restitue à merveille le poids de l'atmosphère crépusculaire qui a dû présider à la fin des grandes dynastie de l'entre deux guerres. Il le fait cependant sans complaisance aucune et semble prendre un malin plaisir à nous mettre face à des archétypes d'orgueil, de vanité et de cruauté pour qui la vie n'est rien de plus qu'un vaste échiquier sur lequel tous les coups sont permis. Un très grand roman en somme dont je me suis délectée et où la langue de la première moitié du XX° siècle rencontre Balzac. C'est addictif, très jouissif et d'autant plus captivant que rien n'a vraiment changé aujourd'hui quand on y pense... Il me tarde à présent que les volumes suivants suivent le mouvement et connaissent la réédition qu'ils méritent. Maurice Druon était avant tout pour moi l'auteur de la saga des "Rois Maudits" dont j'ai si souvent corné les pages et le deuxième homme derrière les paroles du "Chant des Partisans". Je savais bien que là n'étaient sans doute pas ses seuls faits d'armes, mais je ne m'y étais jamais vraiment intéressé jusqu'à ce que je tombe en librairie sur une réédition de "Les Grandes Familles" en livre de poche et qu'attrapée par sa quatrième de couverture, je me l'offre. Cet ouvrage pour lequel Maurice Druon fut le récipiendaire en 1948 du Prix Goncourt constitue le premier tome d'une vaste trilogie "La Fin des Hommes" dans laquelle le père des Rois Maudits brosse un portrait impitoyable de la grande bourgeoisie française de l'entre deux guerres avec une férocité et une finesse toutes balzaciennes, dans la tradition des grands romans français qui savent si bien mêler saga familiale et fresque sociale. C'est à la fois incroyablement moderne et on ne peut plus savoureux. Paris, 1920. Jean de la Monnerie, grand poète, "romantique de la quatrième génération" vient de mourir. Tout ce que la capitale compte de puissants et d'ambitieux, de politiques et de financiers se presse à ses funérailles: le clan de...
    Lire la suite
    En lire moins
  • cpw 15/11/2020
    Délectable par ses descriptions de l’être, du paraître … comme le savoir et le savoir faire. Un régal pour l’étude des caractères avec leur réalité, leurs faux semblants et leurs espérances. Mais je n’imagine pas les jeunes actuels pouvoir se délecter de cette époque complètement révolues sans être si lointaine.
Inscrivez-vous à la newsletter Plon
Recevez toutes nos actualités : sorties littéraires, signatures, salons…