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Les Vagues reviennent toujours au rivage
Date de parution : 21/01/2021
Éditeurs :
Belfond

Les Vagues reviennent toujours au rivage

Date de parution : 21/01/2021
Le grand retour du commandant de Palma pour une enquête inattendue, intense et personnelle, en pleine Mare Nostrum.
 
Depuis qu’il est retraité de la police, Michel De Palma, alias le Baron, vit sur un bateau et a tiré un trait sur ses années de brigade criminelle pour se...
 
Depuis qu’il est retraité de la police, Michel De Palma, alias le Baron, vit sur un bateau et a tiré un trait sur ses années de brigade criminelle pour se consacrer à la voile et au violon. Quand il apprend l’étrange suicide de Thalia Georguis, c’est un grand amour de...
 
Depuis qu’il est retraité de la police, Michel De Palma, alias le Baron, vit sur un bateau et a tiré un trait sur ses années de brigade criminelle pour se consacrer à la voile et au violon. Quand il apprend l’étrange suicide de Thalia Georguis, c’est un grand amour de jeunesse qui ressurgit. Thalia avait voué sa vie aux missions humanitaires en Méditerranée et reçu pour cela des menaces de l’extrême droite identitaire. Elle laisse aussi derrière elle un manuscrit retraçant le parcours d’Amira, réfugiée syrienne, ombre parmi les ombres qui risquent tout pour fuir la guerre. Cavalier seul, De Palma va tout mettre en œuvre pour retrouver cette jeune femme qu’il considère comme un témoin clé. Quitte à parcourir le camp de la honte de Moria sur l’île de Lesbos et à affronter la monstrueuse violence qui sévit en Méditerranée, cet abandon de l’humanité qui semble sans fin, comme les vagues qui reviennent au rivage.
 
Avec le grand retour du commandant De Palma pour son enquête la plus intense et personnelle, Xavier-Marie Bonnot, écrivain engagé, rend hommage à la mare nostrum, ce berceau des grandes civilisations que la crise migratoire du xxie siècle a transformé en plus grand cimetière marin du monde.
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EAN : 9782714494788
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 304
Format : 130 x 200 mm
EAN : 9782714494788
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 304
Format : 130 x 200 mm

Ils en parlent

"Une maîtrise parfaite de l'écriture et des différents sujets abordés (migration, racisme, fascisme) "
Martine / Espace Culturel Leclerc
"Un roman policier qui nous fait voyager autour de la méditerranée, et qui nous parle de la crise migratoire"
Elysabeth / Librairie Page 36
"L’écriture est intelligente et documentée sur des sujets qui interrogent, les personnages meurtris décrits avec sensibilité."
Florence / Librairie Port Maria

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • Millina 28/10/2021
    Un policier “sociétal” et engagé ! Dès le début, j’ai été bien happée par ce policier. C’est un policier sociétal et engagé, un sous genre de policier que j’affectionne beaucoup. Sa thématique est riche. Il cible surtout l’immigration. Il m’a beaucoup fait penser à un livre que j’ai lu récemment qui traitait du même sujet La frontiera de Alessandro Leogrande (lu en italien, malheureusement pas traduit) sur l’opération Mare Nostrum, mais en Italie. Je peux donc affirmer sans trop me mouiller que ce livre est fouillé, il y a un grand travail de recherche et ça se voit. Ma mère l’a lu également et elle partage mon avis. La haine raciale pousse-t-elle au meurtre ? Une psychiatre de SOS Mare Nostrum qui vient au secours de migrants en Grèce est retrouvée morte. Elle se serait suicidée selon la police. Mais un des flics, Karim Bessour, est loin de partager cette hypothèse de travail. Il va demander à Michel de Palma d’enquêter. Celui-ci va se lancer dans l’enquête d’autant plus que la victime est une ancienne conquête. Plus il creuse, moins il croit à la thèse du suicide. Surtout que pas mal d’éléments dans l’appartement de la victime ne correspondent pas avec cette thèse. Cette psychiatre évoluait dans un milieu où l’on se fait pas mal d’ennemis, comme les partisans d’extrême droite et ce n’est pas ce qui manque en Grèce. Peut-être que l’un d’entre eux a voulu donner l’exemple en l’assassinant ? Migrants, réfugiés, et extrême droite ! L’auteur développe le thème de l’immigration et celui du parti grec d’extrême droite, l’Aube dorée, avec maestria. Il revient aux origines sans que ça alourdisse son récit. J’ai vraiment apprécié les petites leçons d’histoire qui viennent enrichir le récit et éclaircir certains propos. Les réfugiés et leur histoire ne sont pas oubliés, l’auteur nous offre un témoignage poignant à travers un manuscrit découvert chez la victime. Il permet de comprendre et de connaître un peu plus ce qu’a pu voir, entendre la victime. Cela m’a permis de me sentir plus proche d’elle. Michel de Palma, un flic avec panache ! J’ai beaucoup aimé ce flic méticuleux, qui cherche la justice. Il enquête avec respect sur la victime et ne laisse rien au hasard. Petit hic ou pas ! Si j’avais écrit ma chronique juste après avoir refermé le livre, j’aurais dit “gros hic”, car je n’avais pas tout à fait compris la fin comme si j’avais loupé une page. Puis, en y réfléchissant à tête reposée, elle m’a paru plus claire. Disons que c’est peut-être ma seule réserve, c’est qu’elle n’est pas assez limpide. Mais elle est surprenante et logique. En résumé : c’est une très bonne lecture. J’apprécie toujours un bon policier engagé et humain. La plume sensible de l’auteur est “the must”.Un policier “sociétal” et engagé ! Dès le début, j’ai été bien happée par ce policier. C’est un policier sociétal et engagé, un sous genre de policier que j’affectionne beaucoup. Sa thématique est riche. Il cible surtout l’immigration. Il m’a beaucoup fait penser à un livre que j’ai lu récemment qui traitait du même sujet La frontiera de Alessandro Leogrande (lu en italien, malheureusement pas traduit) sur l’opération Mare Nostrum, mais en Italie. Je peux donc affirmer sans trop me mouiller que ce livre est fouillé, il y a un grand travail de recherche et ça se voit. Ma mère l’a lu également et elle partage mon avis. La haine raciale pousse-t-elle au meurtre ? Une psychiatre de SOS Mare Nostrum qui vient au secours de migrants en Grèce est retrouvée morte. Elle se serait suicidée selon la police. Mais un des flics, Karim Bessour, est loin de partager cette hypothèse de travail. Il va demander à Michel de Palma d’enquêter. Celui-ci va se lancer dans l’enquête d’autant plus que la victime est une ancienne conquête. Plus il creuse, moins il croit à la thèse du suicide. Surtout que pas mal d’éléments dans l’appartement de la victime ne correspondent pas avec cette thèse. Cette...
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  • fredbologsen 31/08/2021
    Découverte interessante que ce commandant De Palma, que je ne connaissais pas. Surnommé "Le baron". Mais rien à voir avec le gentleman cambrioleur d'Antony Morton. Quoique de Palma, à la retraite, ne s'embarasse plus trop avec la procédure pénale et ses carcans. Sur fond de la problématique des réfugiés qui tentent de quitter leur pays respectif pour un "Eldorado" plus clinquant que réel, couplé avec la perte d'un de ses amours, De Palma mène son enquête en free-lance, envers et contre tous, y compris "contre" lui-même. Un style fluide, un bon polar.
  • leolechat 08/05/2021
    Fraîchement retraité, le Baron, qui coule des jours tranquilles sur son bateau amarré dans le port de Marseille entre deux cours de violon, va voir son univers chamboulé par la mort de Thalia Georguis, une ancienne amante jamais oubliée. Cette dernière, une psychiatre originaire de l'île de Lesbos très investie dans le sauvetage des migrants, est retrouvée morte dans des conditions qui lui semble suspectes. En parallèle de l'enquête officielle, menée par ses anciens partenaires de la brigade criminelle qui ont conclu à un suicide, Michel de Palma troublé par quelques indices éparpillés à dessein au domicile de la victime va mener sa propre enquête. La découverte d'un bouleversant manuscrit, relatant les événements dramatiques vécus par une jeune syrienne, intrigue fortement le Baron. Qui était vraiment Amira et qu'est-elle devenue ? A-t-elle joué un rôle dans la disparition de Thalia ? Bien décidé à faire la lumière sur cette affaire qui semble beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît, de Palma part sur les traces de cette mystérieuse réfugiée. Sa quête le mènera en terrain miné, de la Grèce à Palerme. Seul contre tous et ne pouvant compter que sur ses reflexes d'ancien flic et son précieux flair, en ressortira-t-il indemne ? Ce dernier opus des aventures du Commandant de Palma permet de renouer avec l'attachant et perspicace enquêteur humaniste et mélomane, trop longtemps délaissé par son auteur. Cette nouvelle enquête palpitante, étayée de références à la Grèce antique, prend naissance au coeur de la cité phocéenne et nous fait voyager jusqu'à l'île de Lesbos. Pour cette nouvelle investigation en eaux troubles, notre Wallander marseillais nous plonge dans les tréfonds de la noirceur humaine. Entre exploitation de la vulnérabilité humaine et exactions commises par les partisans de l'ultra-droite, le Baron devra démêler un écheveau complexe dont les ramifications trouveront leurs racines dans un passé sanglant. Bien décidé à rendre justice à son amour de jeunesse, le Baron n'hésitera pas à faire des vagues ! Fraîchement retraité, le Baron, qui coule des jours tranquilles sur son bateau amarré dans le port de Marseille entre deux cours de violon, va voir son univers chamboulé par la mort de Thalia Georguis, une ancienne amante jamais oubliée. Cette dernière, une psychiatre originaire de l'île de Lesbos très investie dans le sauvetage des migrants, est retrouvée morte dans des conditions qui lui semble suspectes. En parallèle de l'enquête officielle, menée par ses anciens partenaires de la brigade criminelle qui ont conclu à un suicide, Michel de Palma troublé par quelques indices éparpillés à dessein au domicile de la victime va mener sa propre enquête. La découverte d'un bouleversant manuscrit, relatant les événements dramatiques vécus par une jeune syrienne, intrigue fortement le Baron. Qui était vraiment Amira et qu'est-elle devenue ? A-t-elle joué un rôle dans la disparition de Thalia ? Bien décidé à faire la lumière sur cette affaire qui semble beaucoup plus complexe qu'il n'y paraît, de Palma part sur les traces de cette mystérieuse réfugiée. Sa quête le mènera en terrain miné, de la Grèce à Palerme. Seul contre tous et ne pouvant compter que sur ses reflexes d'ancien flic et son précieux flair, en ressortira-t-il indemne...
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  • Eve-Yeshe 24/04/2021
    On fait la connaissance de Thalia Georguis en 2017, alors qu’elle est médecin dans le camp de Moria à Lesbos. Elle y rencontre Amira, une jeune femme qui a fui la Syrie et qui est enfermée dans le silence après avoir subi un traumatisme sévère. Thalia a décidé de revenir en France car elle n’en peut plus, et refuse de s’habituer à l’inhumain selon sa propre expression. « Bientôt je repars pour la France. J’en ai besoin. Parce que le malheur, j’ai fini par m’y habituer. Qu’on le veuille ou non, il y a une routine dans l’inhumain. » Elle rentre avec Amira, direction Palerme mais un bateau affrété par les sympathisants de l’ultra-droite essaie de s’interposer par tous les moyens pour empêcher le radeau, d’arriver dans les eaux italiennes. Tous les moyens sont bons pour tuer des migrants. Quelques temps plus tard, Thalia est retrouvée morte, après avoir avalé un bol contenant un mélange de poisons : datura, cigüe et opium. Le commissaire Anne Morracchini, accompagnée de Karim, conclut au suicide alors que l’appartement est propre, bien rangé, y compris la casserole qui a servi à préparer les ingrédients. Pas de traces d’ordinateur. Un manuscrit est trouvé sous le lit, qui raconte l’histoire d’Amira. Le commandant de Palma, à la retraite, qui vit sur son bateau, à quai, et prend des cours de violon, va mener son enquête, car Thalia et lui ont eu une histoire d’amour, il a des années, et il sent bien que les choses ne sont pas aussi simples qu’il n’y paraît. Il va partir à la recherche d’Amira pour tenter de comprendre. C’est la première fois que je rencontre le commandant de Palma, héros récurrent de Xavier-Marie Bonnot et j’ai tout de suite aimé ce personnage, sa ténacité, son courage aussi pour aller se frotter à tous ces nazillons de tout poil, qui ne pensent qu’à nettoyer le monde de ces migrants qu’ils haïssent. On a des meneurs, qui se réfèrent à la lutte de Sparte contre Athènes, avec des discours truffés d’éléments historiques remixés par leur soin. [masquer] Tout les dérange : une pièce de théâtre dont l’adaptation leur déplaît et hop, on tue… et surtout ils en sont fiers. Ils détestent la démocratie, d’où les références à Sparte, le chef étant surnommé Lysandre. J’ai aimé suivre les traces du commandant sur Mare Nostrum, les drames de la Méditerranée, les drames en Syrie, les femmes qui se font violer, l’état Islamique ou les identitaires, on remonte jusqu’à Aube Dorée en Grèce, la ligue de Salvini qui était alors aux manettes en Italie) les mafieux à Palerme mais aucun pays n’est épargné par cette vague d’ultra-nationalisme et de haine… le fameux « réveil identitaire » qui a le vent en poupe … J’ai beaucoup apprécié Karim, fidèle au commandant, un peu écartelé entre lui et Anne, dans cette enquête, alors que son père se bat à l’hôpital, contre un cancer lié à l’amiante, avec des souvenirs de son pays natal qui refont surface alors qu’il n’en parlait jamais. Tout m’a plu dans ce livre qui est bien plus qu’un thriller, car on explore la vie de Thalia et de ses amis ou ses ennemis, celle d’Amira qui a tout subi, à commencer par être vendue par sa famille à un homme âgé riche, pour que ses parents puissent payer le voyage vers l’Europe et ce n’est que le début de l’enfer pour elle… [/masquer] Maintenant que j’ai découvert le commandant de Palma, Karim, et les autres membres du commissariat, la manière dont Xavier-Marie Bonnot parle de Marseille, la cité Phocéenne, les références à l’Antiquité, les évocations des philosophes, et toujours l’Histoire, entre autres, tout cela me donne envie de lire les précédentes enquêtes. C’est une enquête passionnante et le suspense est savamment entretenu jusqu’aux dernières lignes. Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond (qui me font confiance en me donnant accès à leurs publications) car j’ai découvert un superbe roman et un auteur que je ne connaissais que de nom jusqu’à présent. #XavierMarieBonnot #NetGalleyFrance On fait la connaissance de Thalia Georguis en 2017, alors qu’elle est médecin dans le camp de Moria à Lesbos. Elle y rencontre Amira, une jeune femme qui a fui la Syrie et qui est enfermée dans le silence après avoir subi un traumatisme sévère. Thalia a décidé de revenir en France car elle n’en peut plus, et refuse de s’habituer à l’inhumain selon sa propre expression. « Bientôt je repars pour la France. J’en ai besoin. Parce que le malheur, j’ai fini par m’y habituer. Qu’on le veuille ou non, il y a une routine dans l’inhumain. » Elle rentre avec Amira, direction Palerme mais un bateau affrété par les sympathisants de l’ultra-droite essaie de s’interposer par tous les moyens pour empêcher le radeau, d’arriver dans les eaux italiennes. Tous les moyens sont bons pour tuer des migrants. Quelques temps plus tard, Thalia est retrouvée morte, après avoir avalé un bol contenant un mélange de poisons : datura, cigüe et opium. Le commissaire Anne Morracchini, accompagnée de Karim, conclut au suicide alors que l’appartement est propre, bien rangé, y compris la casserole qui a servi à préparer les ingrédients. Pas de traces d’ordinateur. Un manuscrit est trouvé sous le lit, qui raconte...
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  • Lilou08 17/04/2021
    C’est le premier roman que je lis avec le personnage Michel de Palma, dit le Baron. Visiblement c’est un flic récurent dans les livres de Xavier-Marie Bonnot, auteur que j’ai découvert il y a peu. Je découvre donc le Baron, alors qu’il n’est plus flic, mais à la retraite, et installé sur un bateau sur le port de Marseille. Cela ne m’a pas gêné dans ma lecture, mais j’imagine que pour les afficionados du Baron, cette lecture avait une saveur particulière. L’histoire se déroule pour une grande partie à Marseille, et on sent que l’auteur, lui-même né à Marseille, connaît bien cette ville et l’aime énormément. C’est presque un personnage à part entière. Alors qu’il déguste sa retraite sur son bateau et prend des cours de violon, car le Baron est un grand amateur d’opéra et aime et connaît la grande musique, comme l’auteur apparemment, il apprend que Thalia, une femme qu’il a aimé quelques années en arrière, est décédée. Ce sont ses anciens collègues, Karim et Anne, elle-même une de ses anciennes maîtresses, qui mènent l’enquête. Les premières constatations font penser à un suicide. Mais de nombreux faits ne concordent pas et le doute s’insinue, surtout dans l’esprit de De Palma qui n’y croit pas. Thalia était une femme passionnée et pleine de vie, psychiatre qui se battait pour les migrants, surtout sur l’île de Lesbos, où elle était née elle-même. Le Baron va mener l’enquête sur les traces de son passé, pour découvrir la vérité et rendre ainsi hommage à son ancien amour. Pour cela, il suivra aussi le chemin de Thalia à Lesbos, au camp de la Moria où les conditions de survie des migrants sont atroces, mais aussi à Palerme, où certains de ces migrants se réfugient. Il est également à la recherche d’Amira, une jeune Syrienne qui a quitté son pays en guerre et que Thalia avait pris sous son aile. Elle avait même commencé à écrire son histoire pour témoigner de la dure vie de ces populations, et en particulier des femmes. Dans cette enquête, le Baron se heurte à des groupes identitaires, violents et racistes qui sévissent à Marseille, tout comme à Palerme et Lesbos. Xavier-Marie Bonnot, toujours aussi engagé humainement, profite de son roman pour nous ouvrir les yeux sur un scandale humanitaire qu’est la situation des migrants, qui se déroule à nos portes et qui continue dans la plus grande indifférence. Bien écrit, attachant et réaliste, « Les vagues reviennent toujours au rivage » est un bon polar noir et humaniste.C’est le premier roman que je lis avec le personnage Michel de Palma, dit le Baron. Visiblement c’est un flic récurent dans les livres de Xavier-Marie Bonnot, auteur que j’ai découvert il y a peu. Je découvre donc le Baron, alors qu’il n’est plus flic, mais à la retraite, et installé sur un bateau sur le port de Marseille. Cela ne m’a pas gêné dans ma lecture, mais j’imagine que pour les afficionados du Baron, cette lecture avait une saveur particulière. L’histoire se déroule pour une grande partie à Marseille, et on sent que l’auteur, lui-même né à Marseille, connaît bien cette ville et l’aime énormément. C’est presque un personnage à part entière. Alors qu’il déguste sa retraite sur son bateau et prend des cours de violon, car le Baron est un grand amateur d’opéra et aime et connaît la grande musique, comme l’auteur apparemment, il apprend que Thalia, une femme qu’il a aimé quelques années en arrière, est décédée. Ce sont ses anciens collègues, Karim et Anne, elle-même une de ses anciennes maîtresses, qui mènent l’enquête. Les premières constatations font penser à un suicide. Mais de nombreux faits ne concordent pas et le doute s’insinue, surtout dans l’esprit de...
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