« Chaque page est une expérience du douloureux paradoxe qui définit les relations familiales, à la fois mystérieuses, déchirantes et délicates. »
Kirkus reviews
« Maksik excelle dans le portrait de Joe, un homme écorché à l’infini, qui ne peut s’empêcher d’aimer l’explosive et vulnérable Tess, tout en essayant désespérément de comprendre comment pardonner à la femme qui l’a élevé. »
Publishers Weekly
« Alexander Maksik signe une histoire habitée, d'amour et de folie.»
Véronique Rossignol / Livres Hebdo
« Alexander Maksik réussit le prodige d'écrire un roman plein d'humour, d'émotion et d'affection pour notre misérable humanité. [...] C'est une merveille.»
Christilla Pellé-Douël / Psychologies magazine
« Splendide et surprenant.[...] Alexander Maksik met des mots et des images sur l'indicible: la dépression qui cloue, l'amour qui transporte jusqu'à la déraison, l'élan incontrôlé qui change une destinée.»
Olivia de Lamberterie / ELLE
« La force du roman de Maksik réside dans l'intensité de sa prose. Dans les descriptions du trouble de ses personnages confrontés au mal. Joe se bat contre lui-même et contre des forces sombres, mauvaises qu'il maîtrise difficilement. Il affronte cette société qui transforme sa famille et l'amour de sa vie en boules de souffrance. Les tournures qu'il utilise pour raconter leur histoire sont parfois bizarres, confuses, chaotiques. C'est le tour de force de ce roman, sa particularité son intérêt. Il y a de la poésie dans les ténèbres. De l'espoir dans cette impasse. »
Bruno Corty / Le Figaro Littéraire
« Écrit dans un style lyrique, intense, L'Oiseau, le goudron et l'Extase est un flux bouillonnant, qui emporte le lecteur vers des contrées périlleuses, où se posent les questions de l'efficacité du militantisme, de l'usure et du désir, de la peur de vivre. »
Philippe Chevilley / Les Echos Week-End
« Un roman d'un lyrisme absolu, assumé, assombri par l'éclat noir de la folie et du deuil, et ponctué d'images obsessionnelles.»
Cécile Dutheil / Le Monde
« Un roman de souffrance, de paradoxes et de dépassements infinis, pour tenir un jour de plus. On est loin des ouvrages bêtifiants sur la recherche d'un mieux-être hypothétique et réducteur, amis du côté de la littérature, celle qui ouvre des portes et se garde bien de les refermer. »
Christine Ferniot / Télérama
« Déjà dans La Mesure de la dérive, Alexander Maksik avait soumis son héroïne, Libérienne tentant de gagner l'Europe pour fuir la guerre civile, à des hallucinations causées par la faim. Celles de Joe March sont d'un nouveau genre, qui relève davantage d'une forme de bipolarité et conditionne toute la forme du livre: l'épuisement psychique, la crainte perpétuelle de la chute se traduisent sous la plume d'Alexander Maksik par une désorganisation savamment maîtrisée du récit. Un choix audacieux qui donne davantage de corps à l'apathie et au coup d'éclat. »
Maialen Berasategui / Le Magazine Littéraire
« Le roman est d'une actualité brûlante, il traite des violences conjugales. Mais pas seulement. Ses chapitres courts se lisent comme des éclairs de vie, de souffrance et d'amour aussi. On est impressionné par la sensibilité d'écorché vif du narrateur, sa lucidité douloureuse et sa manière de dire un quotidien qui, malgré tout, se fait poème. »
Yves Viollier / La Vie
« Un livre qui ébranle. Sa construction psychologique très fine de personnages écorchés par la vie interroge les relations familiales dans tous leurs paradoxes. Bouleversant. »
Héloïse Rocca / Version Femina
« C'est un roman qui instille une musique noire et acérée, avec de la souffrance, de la poésie et des éclats lumineux de beauté. »
Jean-Claude Vantroyen / Le Soir
« Avec L'Oiseau, le goudron et l'extase, Alexander Maksik a écrit le roman des relations familiales. Empli de mystères, c'est aussi le livre de la souffrance, du dépassement et des paradoxes. Ne boudons pas notre plaisir de lecture! »
Serge Bressan / Le Quotidien
« La beauté formelle de l'écriture et la profondeur psychologique des personnages font de ce roman un livre résolument à part et plus solaire que son propos ne le laisse présager. »
Philippe Manche / Trends tendances
« Alexander Maksik parvient à nous faire ressentir avec intensité tous les tressaillements psychologiques de ses personnages. »
Palona de Boismorel / GAEL
« Le regard d'un homme doux sur la violence des femmes et les violences faites aux femmes. [...] Cette histoire est celle d'un amour hors du commun, d'une fidélité filiale à toute épreuve, de l'engagement et du renoncement.»
Stéphanie Janicot / La Croix
« L'écriture de Maksik s'applique à dépeindre avec précision tous les sentiments et ressentis des pulsions et émotions de ses personnages où chaque chapitre s'impose comme une nouvelle pièce d'un puzzle qui se dessine au fur et à mesure des pages. »
Métropolitain
« Une psychologie fine. Une écriture sensible. Un roman percutant. »
Lyliane Mosca / L'est-éclair
« Une plume pleine de rage, écorchée qui touche en plein cœur et au lyrisme qui te charme et t’enchante. Un roman magnifique aussi mystérieux que douloureux, une écriture puissante aussi déchirante que délicate. »
Dealer de ligne
« Avec ce superbe roman, mélange brûlant de tendresse et de brutalité, de douceur et de colère face à l'injustice, Alexander Maksik soulève une tempête d'émotions vives. Les interrogations de ses personnages tourmentés vous hanterons longtemps après avoir refermé ce livre criant de vérité humaine. »
François Lestavel / Paris Match
« Un grand texte, subtil et poignant. Bouleversant. Un auteur à découvrir absolument. »
Madimado's Blog