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Vox
Michael Belano (traduit par)
Date de parution : 07/03/2019
Éditeurs :
Nil
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Vox

Michael Belano (traduit par)
Date de parution : 07/03/2019

Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle...

Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le voulait, impossible de s’exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un...

Jean McClellan est docteure en neurosciences. Elle a passé sa vie dans un laboratoire de recherches, loin des mouvements protestataires qui ont enflammé son pays. Mais, désormais, même si elle le voulait, impossible de s’exprimer : comme toutes les femmes, elle est condamnée à un silence forcé, limitée à un quota de 100 mots par jour. En effet, le nouveau gouvernement en place, constitué d’un groupe fondamentaliste, a décidé d’abattre la figure de la femme moderne. Pourtant, quand le frère du Président fait une attaque, Jean est appelée à la rescousse. La récompense ? La possibilité de s’affranchir – et sa fille avec elle – de son quota de mots. Mais ce qu’elle va découvrir alors qu’elle recouvre la parole pourrait bien la laisser définitivement sans voix…
Christina Dalcher nous offre avec Vox un roman dystopique glaçant qui rend hommage au pouvoir des mots et du langage.

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EAN : 9782841119882
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 432
Format : 130 x 205 mm
Nil
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EAN : 9782841119882
Façonnage normé : BROCHE
Nombre de pages : 432
Format : 130 x 205 mm

Ils en parlent

« Et si les femmes n'avaient droit qu'à 100 mots par jour ? C'est l'hypothèse glaçante qu'exploré cette fiction politique écrite par une spécialiste américaine de la linguistique. Roman choc traduit dans 17 pays, Vox (éd. Nil) s'inscrit dans l'ère #MeToo et nous fait réfléchir au pouvoir d'émancipation des mots. »
PALOMA DE BOISMOREL / GAEL
« Une dystopie glaçante »
HELENA VILLOVITCH / ELLE
« Une intrigue menée avec brio pour une dystopie sociale fort originale. Ce premier roman de Christina Dalcher, une Américaine énervée, est à ne pas rater. »
HUBERT ARTUS / CAUSETTE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • godfroidbenedicte 26/09/2023
    J'ai été happée dès les premières pages. Ça fait froid dans le dos, plus même que Chattam, King, Lackberg... Un autre type de peur, celui créé par la dystopie. Et si ça arrivait? On s'imagine avec ce foutu compte-mot, la passivité de nos hommes... Et puis le milieu du livre a ralenti, ventre mou. Un peu répétitif, qui tourne en boucle autour des mêmes thèmes. Et la fin repart d'un coup, sans que je l'ai vue venir. Le dénouement, pas le plan horrible des grosses pontes, deviné très tôt dans le livre. J'ai à nouveau été aspirée par l'intrigue. Bref, j'ai beaucoup aimé!
  • lottie06 17/09/2023
    J’ai préféré Vox à QI de la même autrice mais mon ressenti reste globalement le même: c’est lent. Ici, le personnage principal est assez rebelle par rapport à la société dans laquelle elle évolue, mais ça manque de puissance et de fond. Le sujet est tellement fort, et il y a tellement à dire/a faire, que je reste sur ma faim.
  • eloudie 27/08/2023
    Nous sommes en Amérique, le parti fondamentaliste a pris le pouvoir du pays et prône la grandeur de l'homme. La femme, quant à elle, n'a droit qu'à 100 mots par jour. Si elle dépasse ce quota, son bracelet-compteur au poignet lui enverra une décharge électrique...Jean McClellan, une docteur en neurosciences en est réduite à rester chez elle, voir son fils de 15 ans se faire endoctriner et sa petite fille de 6 ans rester muette. Quand le président lui demande de reprendre ses recherches sur l'aphasie, elle y voit l'opportunité de s'affranchir de cette prison. Mais elle est loin de se douter de ce qui l'attend.... J'ai trouvé originale cette idée de dystopie. Combien de fois pendant la lecture, je me suis demandé ce que je ferais si je n'avais droit qu'à 100 mots/jour... Et c'est assez terrifiant. Je me suis mise à la place de ces femmes, prisonnières, condamnées à voir leurs filles devoir se taire. Ce roman est dérangeant, car il met en garde, il dénonce des vérités. L'héroïne assiste, impuissante à ce changement, elle pense souvent à l'avant, à ce qu'elle aurait dû faire pour éviter cela. Il y a bcp de liens avec la montée du nazisme, comment... Nous sommes en Amérique, le parti fondamentaliste a pris le pouvoir du pays et prône la grandeur de l'homme. La femme, quant à elle, n'a droit qu'à 100 mots par jour. Si elle dépasse ce quota, son bracelet-compteur au poignet lui enverra une décharge électrique...Jean McClellan, une docteur en neurosciences en est réduite à rester chez elle, voir son fils de 15 ans se faire endoctriner et sa petite fille de 6 ans rester muette. Quand le président lui demande de reprendre ses recherches sur l'aphasie, elle y voit l'opportunité de s'affranchir de cette prison. Mais elle est loin de se douter de ce qui l'attend.... J'ai trouvé originale cette idée de dystopie. Combien de fois pendant la lecture, je me suis demandé ce que je ferais si je n'avais droit qu'à 100 mots/jour... Et c'est assez terrifiant. Je me suis mise à la place de ces femmes, prisonnières, condamnées à voir leurs filles devoir se taire. Ce roman est dérangeant, car il met en garde, il dénonce des vérités. L'héroïne assiste, impuissante à ce changement, elle pense souvent à l'avant, à ce qu'elle aurait dû faire pour éviter cela. Il y a bcp de liens avec la montée du nazisme, comment a-t-on pu laisser faire cela? Mais le plus important, comment réagir. Il y a une sorte d'enquête aussi, pour voir ce que les dirigeants comptent faire... Mais j'ai trouvé la fin un peu décevante, trop rapide...
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  • Nanali 30/07/2023
    Après avoir lu et beaucoup apprécié QI il y a quelques temps, j’avais très envie de découvrir cet autre livre de Christina Dalcher. Et à nouveau j’ai retrouvé les mêmes éléments qui m’avaient tant plu : une dystopie glaçante qui pousse à réfléchir sur beaucoup de sujets de société. Une auteure que je vous recommande particulièrement tant pour Vox que pour QI !
  • aureliabouclet 16/07/2023
    C'est l'histoire d'un monde dans lequel les femmes ne peuvent dire que 100 mots par jour. Si si je vous jure.... Je découvre ce roman au hasard d'un emprunt à la bibliothèque et j'ai tout bonnement adoré. Imaginez un peu... Les États-Unis sont gouvernés par une bande de ploucs qui décident de redonner à l'homme sa " véritable" place dans la société. Les femmes sont retirées du monde du travail et portent au poignet un compte mot qui déclenche une décharge électrique au-delà des 100 mots. L'idée est assez hallucinante et le début du roman fracassant. Décrire ce monde abominable fait de frustrations et de hurlements intérieurs est exceptionnel, glaçant et extrêmement réussi. La deuxième partie donne la part belle au thriller ce qui brise un peu la magie du début. Je m'étais imaginée une autre manière d'exploiter cette extraordinaire idée. La fin m'a donc un peu déçue mais je reste malgré tout extrêmement enthousiasmée par cette incroyable histoire qui m'a vraiment fait vibrer.

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