Les Orphelins de Philadelphie : Le livre de Ellen Marie Wiseman

Les orphelins de Philadelphie d’Ellen Marie Wiseman est de ces lectures qu’on n’oublie pas. J’ai refermé ce roman avec le cœur serré et bouleversé, mais aussi avec la certitude d’avoir découvert une histoire nécessaire. #xNaN#xNaN#xNaN#xNaN#xNaN Inspiré de faits réels, il raconte le destin d’enfants envoyés dans des orphelinats, victimes de manipulations, de mensonges et de cruautés inimaginables. À travers des personnages profondément humains et terriblement attachants, l’autrice nous plonge dans une réalité historique qui glace le sang, tout en montrant la force incroyable de l’espoir et de la résilience. La plume d’Ellen Marie Wiseman est puissante, juste et terriblement immersive. Elle réussit à nous emporter dans ce pan sombre de l’histoire sans jamais tomber dans le pathos, en nous donnant au contraire la sensation de marcher aux côtés de ces enfants oubliés. Un roman marquant, bouleversant et impossible à lâcher. Un énorme coup de cœur #x2764#xNaN.

Un roman qui vous happe en seulement quelques lignes Philadelphie, 1918. Une enfant face à la tragédie de la guerre et de la grippe Espagnole. Puis une femme emportée par la haine.... Les orphelins de Philadelphie c'est un roman inspiré de faits réels et une histoire déchirante. Succession de chapitres alternants entre la voix de : - Pia, l'aînée d'une famille Allemande immigrée qui va devoir survivre à la grippe Espagnole et bien d'autres peines - Et celle de Bernice, une maman endeuillée qui souhaite se venger. Avec une écriture immersive, Ellen Marie Wiseman nous interroge. Le lien entre la pandémie de 1918 et celle que nous avons vécue en 2020 se fait automatiquement et ça fait froid dans le dos. Un page-turner où j'ai aimé adorer certains personnages et adoré en détester d'autres. Un récit aussi sur l'espoir et l'amour, les liens familiaux et ceux qui deviennent un peu plus Un roman historique émouvant et impossible à lâcher, prépare-toi, tu ne pourras pas oublier Pia et Bernice même une fois le livre refermé.

Une lecture intéressante qui traite de deux tragédies : la grippe espagnole et les orphelins. Le contexte historique – Philadelphie 1918- rappelle des souvenirs douloureux récents, encore vivaces dans la mémoire. La grippe espagnole frappe, les hôpitaux sont débordés, la plupart des médecins et des infirmières sont outre-mer. La fin de la 1ere guerre mondiale aggrave les choses du fait des célébrations en lien avec l’armistice et la libération des soldats. Les gens sont désemparés, ils ont recours à des remèdes bizarres, parfois dangereux : kérosène, ail, sirop d’oignon, whisky… L’épidémie sème le chaos, avec des familles séparées, d’autres entièrement décimées, des enfants orphelins ou abandonnés. La petite Pia est un personnage qui marque par son courage, sa résilience et sa persévérance pour retrouver ses frères jumeaux kidnappés. La pseudo-infirmière Bernice est un personnage qui marque par sa cruauté sans limites. Elle saura tirer profit de la mort, du deuil des familles, se faire de l’argent sur le dos des orphelins, des enfants abandonnés. Certains passages sont horribles, notamment ceux en rapport avec les orphelinats : saleté, nourriture, surpeuplement, dureté du personnel qui se fiche totalement du bien-être des orphelins.

La vie d'une fillette de 13 ans bousculée par la guerre puis par une épidémie de grippe espagnole en plein philadelphie. On découvre dans cet ouvrage le fonctionnement des orphelinats de l'époque où les enfants n'étaient pas très bien considérés.....