Pirates : Le livre de Michael Crichton

En 1665, à la Jamaïque, la capitaine Hunter part à la conquête d'un trésor légendaire. Celui-ci est à l'abri dans un gallion espagnol, lui-même situé sur l'île imprenable de Matanceros, gardée par le sanguinaire Cazalla. Mais rien ne pourra arrêter le capitaine Hunter et avec l'aide d'un équipage disparate, il va prendre la mer pour récupérer le trésor. ouvrage posthume du regretté Michael Crichton, dont j'avais dévoré sphère et les Jurassic Park il y a deux décennies, mais également micro il y a quelques années, je replonge avec délice dans sa plume. Celle-ci est fluide et si j'ai eu un peu de mal au début à me plonger dans l'histoire. Il aura fallu un quart du livre pour être accro et pour que je veuille connaître la suite des aventures du capitaine Hunter et de sa troupe. Il faut dire que rien ne lui sera épargné. Tempête, kraken, trahison, navire ennemi.... Le rythme est soutenu et les retournements de situation nombreux. Je regrette cependant quelques longueurs par moments. Un beau roman d'aventure. Une fresque épique. https://www.instagram.com/un_hibou_dans_la_bibliotheque/ https://www.facebook.com/unhiboudanslabibliotheque

Dans ce roman, on est en 1665 en Jamaïque. Un galion espagnol est coincé dans un.port des Antilles. Le capitaine Hunter monte une équipe pour aller prendre ce galion. Évidemment tout ne va pas se passer comme prévu, sur la route ils vont rencontrer des espagnols, des serpents, un Lady anglaise et un kraken. Ce qui prime dans ce roman c'est l'action, il n'y a pas de temps morts, on enchaîne les péripéties et les plans de derniere minute du capitaine Hunter pour s'en sortir. Il est sur qu'on aurait aimé en savoir plus sur certains personnages dont le capitaine Hunter alors que Lady Almont n'apporte pas grand chose au récit. Mais si on se laisse porter par la lecture on a tout de même l'impression de se retrouver sur un bateau pirate avec eux.

WAOOUHHH…. Entre fiction historique, roman d’aventures, avec un soupçon de James Bond et un zeste de Ocean Eleven…. J’ai A.D.O.R.E Fiction historique : nous sommes dans les Caraïbes en 1665. Anglais, Français, Hollandais, Espagnols… tout le monde y va de ses envies de colonisations. Et puis il y a le commerce, et bien des richesses qui passent par là, dans les soutes des bateaux…#x1f4b0#x1f911 Roman d’aventures : je suis partie sur les mers, j’ai essuyé des ouragans, j’ai mangé du singe cru #x1f922, j’ai eu peur pour James lorsqu’il a combattu le kraken … et bien sur, j’ai survécu à tout ça, puisque j’étais la nièce du gouverneur, que j’ai été ramenée à bon port, et bien évidemment en tout bien tout honneur…. Enfin… voyons… ni James, ni Georges ne sont des rustres #x1f60d Soupçon de James : ben oui, quand le Juif se prend pour Q… ça nous donne des mèches en boyaux de rats (pour allumer les canons ni trop vite, ni trop lentement), ou des grenades en verre (avec de la grenaille, poudre et autres trucs mortels) Zeste de Ocean Eleven : Quand notre héros part à la recherche d’hommes pour constituer son équipe. Hommes avec lesquels il a déjà bossé … obligé, hommes qu’il va chercher dans des endroits impensables, hommes qu’il recrute pour des compétences bien définies… homme-femme bien évidemment… Alors notre héros justement il est quoi ? Pirate ou Corsaire… la définition exacte est simple… mais la frontière est mince. Le premier est un hors la loi qui pille et tue sans distinction de nationalité (donc, y compris ses compatriotes) et ne s’occupe pas de savoir si nous sommes en guerre ou en paix. Le second agit sur ordre du Roi en temps de guerre et avec une lettre de marque. Il n’attaque QUE les ennemis de son souverain. Mais comme les téléphones portables n’existaient pas encore à l’époque, forcément, y’a des fois où les autres à terre avaient conclu une trêve et le Corsaire n’ayant pas été averti à temps, passait à l’état de Pirate… OK y’en a certains que ça arrangeait #x1f62c Tout ça additionné, fait que j’ai passé un moment magique, haletant, angoissant. Je n’aurai jamais imaginé que des pirates … OUPPSSS pardon… Corsaires puissent me faire cet effet là.

À la recherche d’un roman d’aventures, je suis récemment tombée sur ce roman de Michael Crichton, Pirates, publié à titre posthume, dont l’action se déroule à la Jamaïque, en 1665. Lors d’une réception chez le gouverneur Sir James Almont, le capitaine Charles Hunter apprend qu’un navire espagnol, chargé d’or, serait ancré près de l’île fortifiée de Matanceros, commandée par le redoutable Cazalla. L’aventure s’annonçant des plus périlleuses, Hunter se met en quête des meilleurs corsaires de Port Royal, et s’embarque sur le Cassandra avec son nouvel équipage, à la recherche du trésor. Si j’ai trouvé dans l’ensemble le roman de Crichton divertissant et assez instructif, je reste cependant avec une impression d’inachevé, ce qui n’est guère surprenant considérant le contexte de publication. J’ai beaucoup aimé le cadre historique du roman, reconstituant de façon agréablement immersive l’ambiance des Caraïbes de l’époque, en particulier en ce qui a trait à Port Royal. Les préparatifs de la prise de Matanceros par Hunter et son équipe, les explications quant au fonctionnement des canons - un peu longues cependant parfois – et des tactiques de combat, lorsque l’équipage va se retrouver face au galion espagnol, amènent beaucoup de dynamisme au récit. Les personnages, par contre, réduits pour la plupart à des archétypes - en particulier les personnages féminins -, constituent le point faible et l’élément qui m’aura le plus déçue dans cette lecture.