En une quinzaine d'années, Michel Bussi a réalisé l'exploit de faire de chaque parution de ses romans un événement pour une communauté de lecteurs fidèles. Son secret ? Un art consommé du "twist" final, des allers-retours entre sa chère Normandie et le reste du monde, et un travail approfondi sur la mémoire et ses résonances. Trois caractéristiques parfaitement illustrées dans J'ai dû rêver trop fort, qui paraît ces jours-ci chez Pocket.
Après Maman a tort, deux autres best-sellers de Michel Bussi ont été portés à l’écran, dont l'adaptation d'Un avion sans elle réalisée par Jean-Marc Rudnick qui était diffusée mardi 26 mars à 21h sur M6. De quoi rendre encore plus mordus les accros de séries !