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Super bien, merci
Valentine Leÿs (traduit par)
Date de parution : 01/06/2023
Éditeurs :
Robert Laffont

Super bien, merci

Valentine Leÿs (traduit par)
Date de parution : 01/06/2023
« Il semblerait que Bridget Jones se soit réincarnée en Maggie, une Canadienne de 28 ans tout juste célibataire ! » Sunday Independent
« Hilarant, réconfortant, intelligent. » Paula Hawkins, La Fille du train
608 jours.
C’est la durée du mariage de Maggie, assistante de recherche à Toronto. À même pas trente ans, elle entame une procédure de divorce avec Jon : Jon, qu’elle a...
608 jours.
C’est la durée du mariage de Maggie, assistante de recherche à Toronto. À même pas trente ans, elle entame une procédure de divorce avec Jon : Jon, qu’elle a rencontré à l’université et qu’elle pensait sincèrement être « le bon ».
À part ça, Maggie va bien. Super bien, même...
608 jours.
C’est la durée du mariage de Maggie, assistante de recherche à Toronto. À même pas trente ans, elle entame une procédure de divorce avec Jon : Jon, qu’elle a rencontré à l’université et qu’elle pensait sincèrement être « le bon ».
À part ça, Maggie va bien. Super bien, même – selon ses dires.
Fauchée et célibataire pour la première fois depuis sa majorité, Maggie embrasse son statut de jeune divorcée et débute une nouvelle vie : burgers à 4 heures du matin, achats compulsifs, hobbies divers et variés… et retour maladroit dans le monde du flirt.
Face à un avenir incertain mais épaulée par ses amis de longue date, sa nouvelle amie divorcée et même sa cheffe, Maggie se pose toutes les questions : pourquoi se marie-t-on ? Un mariage peutil échouer avant même d’avoir commencé ? Combien de burgers faut-il manger avant d’atteindre le bonheur ?
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EAN : 9782221270066
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782221270066
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • thebookshereads 27/10/2023
    Il est difficile pour moi de chroniquer ce roman pour lequel j’avais énormément d’attente sans vous avouer d’emblée que j’ai été déçue. Attention, je n’ai pas trouvé ce roman mauvais. Au contraire j’ai adoré le sujet, je me suis retrouvée dans beaucoup de réflexions de Maggie ayant le même âge qu’elle. C’est toujours rafraîchissant de se rendre compte que l’on est pas « toute seule ». Au niveau du style de l’autrice aussi, je l’ai trouvé drôle et désopilant voir grinçant.. clairement ça aussi j’adore ! Mon plus gros soucis dans ce roman repose plutôt sur la personnalité de Maggie pour laquelle j’ai tantôt ressenti de la pitié, tantôt de l’agacement. Elle-même oscille entre quête de liberté et appel à l’aide, une certaine bipolarité accompagné de monologues à rallonge qui m’ont donné des envies d’ailleurs. J’ai un peu traîné ce roman du fait de ces tirades sans fin ni but. Alors dommage! Dommage car ce roman plaît beaucoup, du moins c’est ce que j’avais cru comprendre et c’est pour cela que je me l’étais procuré à sa sortie. Malheureusement avec moi ça ne l’a pas trop fait. Ce n’est pas un flop, loin de là, mais j’ai trouvé certains passages trop brouillons, trop longs et pathétiques. A nouveau, je dirais Dommage ! Il est difficile pour moi de chroniquer ce roman pour lequel j’avais énormément d’attente sans vous avouer d’emblée que j’ai été déçue. Attention, je n’ai pas trouvé ce roman mauvais. Au contraire j’ai adoré le sujet, je me suis retrouvée dans beaucoup de réflexions de Maggie ayant le même âge qu’elle. C’est toujours rafraîchissant de se rendre compte que l’on est pas « toute seule ». Au niveau du style de l’autrice aussi, je l’ai trouvé drôle et désopilant voir grinçant.. clairement ça aussi j’adore ! Mon plus gros soucis dans ce roman repose plutôt sur la personnalité de Maggie pour laquelle j’ai tantôt ressenti de la pitié, tantôt de l’agacement. Elle-même oscille entre quête de liberté et appel à l’aide, une certaine bipolarité accompagné de monologues à rallonge qui m’ont donné des envies d’ailleurs. J’ai un peu traîné ce roman du fait de ces tirades sans fin ni but. Alors dommage! Dommage car ce roman plaît beaucoup, du moins c’est ce que j’avais cru comprendre et c’est pour cela que je me l’étais procuré à sa sortie. Malheureusement avec moi ça ne l’a pas trop fait. Ce n’est pas un flop, loin de là, mais j’ai trouvé certains passages trop...
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  • mapetiterevolutionlitteraire 18/08/2023
    Un roman de vie, à la Bridget Jones très sympathique ! Maggie a une vie plutôt classique, boulot, amis, activités... et Maggie divorce. Jon et elle, c'est fini. Insidieusement, son couple est tombé en lambeau jusqu'au point de non retour. Et ce roman c'est Maggie, qui nous raconte l'avant, qui nous raconte le pendant, et qui vogue vers l'après. Maggie est très rigolote, drôle, et râle mais rââââââle à n'en plus finir dans ce roman, et c'est ceci qui fait son charme. Elle passe par différentes phases, jusqu'à (on l'espère !) l'acceptation puisque finalement ce couple n'était pas si parfait. On découvre ses proches, ses amis, et ce qu'ils ont à dire sur la situation et sur l'état de Maggie. Après avoir lu d'autres avis, c'est vrai qu'on peut avoir un peu l'impression d'être déprimé à la lecture mais en même temps les réflexions et conclusions sont vraiment intéressantes, et importantes. Et pour moi, l'humour dans cette plume prévaut largement ! Une bonne lecture que je recommande si le résumé vous parle (car oui, il est fidèle au contenu ;))
  • iris29 14/08/2023
    " Il semblerait que Bridget Jones se soit réincarnée en Maggie, une canadienne de 28 ans tout juste célibataire !" C'est sur cette sublime promesse que j'ai commencé ce roman, "Bridget "étant pour moi ce qui a révolutionné la littérature dite-féminine par sa fraîcheur, son originalité et son humour...[ si, si...] Mais là où Bridget était émouvante et attachante, Maggie est nombriliste, et énervante. Là où l'humour pointait son nez à chaque début de chapître, avec la liste des bonnes résolutions de Bridget, la narration est mise en page comme un gros pavé indigeste, Là où Bridget était classe, Maggie est "sale" , elle mange dans son lit, ne range rien, se tape tout ce qui le veut bien , ne sait pas si elle est bi, hétéro, ou homo, ne sait pas reconnaître un "brave "garçon quand elle en croise un et complique tout, car elle ne sait pas ce qu'elle veut... Elle, c'est donc Maggie, assistante dans une université mais qui n'aime pas son travail, plus que ça. Elle a rencontré son Jon très tôt , à la fac, s'est mise en ménage avec lui, s'est mariée et est sur le point de divorcer deux ans après. C'est elle qui a émis l'idée d'une séparation , lui l'a prise au sérieux et depuis, aucune nouvelle, le divorce prenant un an au Canada. Mais ça n'empêche pas Maggie de lui téléphoner et de lui envoyer des mails, on peut parler de harcélement... La voilà donc à 28 ans, divorcée (ou sur le point de l'être), et elle n'assume pas du tout, alors que bon, elle est jeune et à vraiment le temps de refaire sa vie. S'en suit 460 pages de lamentations... Et c'est long, 460 pages de quelqu'un qui ne va pas bien, qui se plaint, regrette quelque chose qui n'était pas parfait (c'est que Maggy n'a jamais vécu seule...), se vautre dans la dépression, dans l'apitoiement. jamais elle ne regarde autour d'elle, ses amis se lasseront de son nombrilisme). jamais elle ne regarde les infos et se rend compte que son sort par rapport à celui de la majorité des habitants de cette terre est enviable. Elle a une bonne santé, des parents, un toit sur la tête, un job, des amis, des diplômes. et même un amoureux ...[ Mince, Maggy , atterris !!! ] A la page 164, j'ai failli abandonner , me disant que si la seule finalité était qu'elle remonte (un peu) la pente, ce n'était pas très intéressant. Mais j'ai continué. Parfois, il y a de jolies phrases , assez amusantes, mais cela ne justifie en rien la comparaison avec Bridget (ou alors tous les romans parlant de jeunes célibataires, sont des copiers-collers de Bridget...). Maggie m'a lassée, Maggy m'a agaçée. Je n'ai pas aimé cette héroïne que j'ai trouvé très superficielle , malgré son métier, égoiste, pas cultivée, et "sale", là où Bridget était british jusqu'au bout des ongles, drôle et romantique. Bridget était gentiment névrosée, Maggy l'est carrément ! Maggy et ses amis sont crus dans leurs propos, Maggy se met dans des situations pas "élégantes", ne sait pas ce qu'elle veut : son mari parce qu'elle l'aime ou son mari parce qu'elle ne veut pas être seule ? Un nouvel amoureux ou pas ? L'auteure aurait pu davantage décrire la vie à Toronto, je me suis sentie un peu frustrée sur ce plan, aussi. L'écrivaine Paula Hawkins, dit sur la couverture, que ce roman est "hilarant, réconfortant et intelligent". Intelligent, oui, mais il n'est pas amusant pour trois sous, et ni réconfortant, il donnerait plutôt le cafard, comme une peur que ce roman soit le reflet d'une génération ultra gatée qui a tout, mais qui ne sait pas en tirer parti, qui ne sait pas comment " s'auto réconforter, comment se soigner quand elle rencontre le moindre petit couac... Heureusement, que j'ai autour de moi, des jeunes gens qui savent aller bien, sinon, j'aurai pu déprimer avec une fille comme Maggy ! L'auteure aurait pu toucher sa cible si Maggy avait été un poil plus sympathique , la lectrice que je suis n'a pas été dans "son camp", j'étais plutôt dans la team Jon, qui pourtant ne fait qu'un passage éclair dans ce livre..." Il semblerait que Bridget Jones se soit réincarnée en Maggie, une canadienne de 28 ans tout juste célibataire !" C'est sur cette sublime promesse que j'ai commencé ce roman, "Bridget "étant pour moi ce qui a révolutionné la littérature dite-féminine par sa fraîcheur, son originalité et son humour...[ si, si...] Mais là où Bridget était émouvante et attachante, Maggie est nombriliste, et énervante. Là où l'humour pointait son nez à chaque début de chapître, avec la liste des bonnes résolutions de Bridget, la narration est mise en page comme un gros pavé indigeste, Là où Bridget était classe, Maggie est "sale" , elle mange dans son lit, ne range rien, se tape tout ce qui le veut bien , ne sait pas si elle est bi, hétéro, ou homo, ne sait pas reconnaître un "brave "garçon quand elle en croise un et complique tout, car elle ne sait pas ce qu'elle veut... Elle, c'est donc Maggie, assistante dans une université mais qui n'aime pas son travail, plus que ça. Elle a rencontré son Jon très tôt , à la fac, s'est mise en ménage avec lui, s'est mariée et est sur le point de divorcer deux ans après. C'est elle qui...
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  • lalalan 11/08/2023
    "Super bien, Merci" de Monica Heisey ou, comme dit sur la couverture,  Bridget Jones moderne. Ce roman m'a fait du bien car il est remplie d'humour mais ce que j'ai surtout aimé c'est ne plus me sentir seul. Je m'explique : le début du célibat, quand on sort d'une relation longue, c'est dur.  Et là, dans ce roman,  j'ai trouvé des réflexions  que j'ai pu avoir : sur le logement, Tinder, vivre seul, les ami(e)s, l'amour...  c'était  super de voir tout ce qui peut être une vérité commune, comment on peut dérailler sans le vouloir,  sans que l'on nous fasses la leçon en mode "mesdames acceptez vous!". Ce roman  n'est pas un feel-good,  c'est un roman actuelle et moderne, contemporain, il ne vous donne pas les réponses, il vous montre juste le célibat et le divorce avec un bon trait d'humour et c'est extra, frais et ça fait du bien. Chronique complète:https://www.instagram.com/p/CvuzWK0KYxE/?igshid=MmU2YjMzNjRlOQ==
  • Cassy 19/07/2023
    Super bien, merci, est un roman qui a été présenté comme LE livre de l’été. Entre le titre, la couverture audacieuse et le résumé alléchant, difficile pour moi de ne pas craquer. De quoi ça parle ? De Maggie, vingt-huit ans, qui a rencontré Jon il y a une petite dizaine d’années et s’est rapidement mise en ménage. Ils se sont aimés, ils se sont mariés (il y a moins de deux ans), se sont (trop) disputés et aujourd’hui, ils divorcent. Si c’est Maggie qui a suggéré la séparation, désormais, elle s’en mord méchamment les doigts. La jeune femme est au bout du rouleau. Au début, son entourage se montre attentionné, compréhensif et au fil des mois, ils commencent à se lasser… Il faut dire que Maggie est une femme compliquée et difficile. Elle se plaint et se lamente à longueur de temps, envoie des mails et des SMS à Jon quotidiennement sans que celui-ci ne lui réponde (oui, elle le harcèle !) et est insensible à ce qui se passe autour d’elle. J’ai trouvé difficile de m’attacher à une personne aussi égocentrique. Au fil des chapitres, Maggie va trop loin et s’enlise de plus en plus. Je ne vous cache pas que la première moitié du roman m’a laissé dubitative, en raison de cette personnalité compliquée. Mais j’aimais le style d’écriture, l’humour (souvent cru) et les personnages secondaires. J’ai donc persévéré et j’ai fini par comprendre et tolérer la jeune femme qui souffre énormément et ne se rend pas compte du mal qu’elle fait. La seconde partie du roman est une vraie bonne surprise. J’ai pris plaisir à voir Maggie évoluer, se remettre en question et renouer avec elle-même. Monica Helsey aborde de nombreuses thématiques : le mariage, le divorce, les rencontres Tinder, le surpoids, la dépression, la dépendance aux réseaux sociaux etc.. Ce roman n’est pas aussi léger qu’il y paraît ! Pour conclure, ce n’était pas gagné après ce début de lecture tumultueux mais la suite en vaut vraiment la peine et je suis finalement contente d’avoir découvert ce titre !Super bien, merci, est un roman qui a été présenté comme LE livre de l’été. Entre le titre, la couverture audacieuse et le résumé alléchant, difficile pour moi de ne pas craquer. De quoi ça parle ? De Maggie, vingt-huit ans, qui a rencontré Jon il y a une petite dizaine d’années et s’est rapidement mise en ménage. Ils se sont aimés, ils se sont mariés (il y a moins de deux ans), se sont (trop) disputés et aujourd’hui, ils divorcent. Si c’est Maggie qui a suggéré la séparation, désormais, elle s’en mord méchamment les doigts. La jeune femme est au bout du rouleau. Au début, son entourage se montre attentionné, compréhensif et au fil des mois, ils commencent à se lasser… Il faut dire que Maggie est une femme compliquée et difficile. Elle se plaint et se lamente à longueur de temps, envoie des mails et des SMS à Jon quotidiennement sans que celui-ci ne lui réponde (oui, elle le harcèle !) et est insensible à ce qui se passe autour d’elle. J’ai trouvé difficile de m’attacher à une personne aussi égocentrique. Au fil des chapitres, Maggie va trop loin et s’enlise de plus en plus. Je ne vous cache pas...
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