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Une éclaircie après l'orage
Le 11e volet de la saga de « la pension du Bord de mer », par l'autrice bestseller du Sunday Times
Danièle Momont (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 09/11/2023
Éditeurs :
L'Archipel

Une éclaircie après l'orage

Le 11e volet de la saga de « la pension du Bord de mer », par l'autrice bestseller du Sunday Times

Danièle Momont (traduit par)
Collection : Romans l'Archipel
Date de parution : 09/11/2023
Le 11e volet de la saga de « la pension du Bord de mer », par l’autrice bestseller du Sunday Times, Tamara McKinley.
 
Porstmouth, mars 1943. April, qui s’était engagée avec son amie Paula dans les forces féminines de la Royal Navy, est contrainte de quitter la base militaire et l’armée, où elle... Porstmouth, mars 1943. April, qui s’était engagée avec son amie Paula dans les forces féminines de la Royal Navy, est contrainte de quitter la base militaire et l’armée, où elle avait trouvé une mission qui lui plaisait et l’amour dans les bras d’un séduisant GI.
Rejetée par sa mère et confrontée...
Porstmouth, mars 1943. April, qui s’était engagée avec son amie Paula dans les forces féminines de la Royal Navy, est contrainte de quitter la base militaire et l’armée, où elle avait trouvé une mission qui lui plaisait et l’amour dans les bras d’un séduisant GI.
Rejetée par sa mère et confrontée à un avenir incertain, elle se réfugie à Cliffehaven, sur la côte sud-est de l’Angleterre, où son oncle Stan est chef de gare. Sur place, elle emménage à la pension du Bord de mer.
Grâce à la bienveillance de Peggy Reilly, la chaleureuse propriétaire des lieux, et au soutien des autres occupantes de la pension, April pourra-t-elle panser ses blessures et affronter avec espoir cette période troublée ?
 
« Une histoire aussi émouvante qu’inspirante. » Frost Magazine
 
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EAN : 9782809847444
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)
EAN : 9782809847444
Façonnage normé : EPUB3
DRM : Watermark (Tatouage numérique)

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LaureLiseuseHyperfertile 24/12/2023
    Onzième tome ! Elles sont rares les sagas aussi longues. Toujours le même plaisir à retourner à la pension du bord de mer d’autant que cette fois-ci, j’étais en compagnie de Unesourisetdeslivres qui aime autant que moi la famille Reilly. Ce tome est plus masculin, il met à l’honneur Stan, le chef de gare de Cliffehaven que nous avons rencontré dans les précédents tomes. Mais comme d’habitude, il y a aussi une jeune femme qui va avoir besoin du cocon apaisant de la pension de Peggy pour soigner ses plaies. Et le prologue qui s’ouvre sur April est bien enrageant ! Comme beaucoup de femmes, elle aura affaire à un homme bien mal intentionné et devra ensuite, seule, en assumer les conséquences. Le tome évoque alors les filles mères, celles qui donnent naissance sans être mariées et, même ici, pendant la guerre, aucune circonstance atténuante n’est accordée par la société. 70 ans plus tard, les mentalités ont bien évolué mais j’ai trouvé assez frappant et désolant que Tamara McKinley nous replonge dans la réalité de l’époque. Du côté de Stan et Ron, on retrouve le climat habituel des précédents tomes, les magouilles à gogo de Ron qui n’en loupe jamais une, le côté familial, entraide, solidarité face à toute épreuve à travers Stan. La naissance du lien entre Stan et April a été très émouvante, c’est toujours touchant quand des personnes qui ont peu connu l’amour dans leur vie passée, peuvent soudainement créer du lien avec une personne qui n’attendait que ça. En revanche, je vous l’avoue, j’ai trouvé Peggy moins présente dans ce tome et elle m’a manqué, elle et sa formidable générosité. J’ai vraiment hâte de la voir resouder sa famille autour d’elle et j’espère fort que cela se produira dans les prochains tomes.Onzième tome ! Elles sont rares les sagas aussi longues. Toujours le même plaisir à retourner à la pension du bord de mer d’autant que cette fois-ci, j’étais en compagnie de Unesourisetdeslivres qui aime autant que moi la famille Reilly. Ce tome est plus masculin, il met à l’honneur Stan, le chef de gare de Cliffehaven que nous avons rencontré dans les précédents tomes. Mais comme d’habitude, il y a aussi une jeune femme qui va avoir besoin du cocon apaisant de la pension de Peggy pour soigner ses plaies. Et le prologue qui s’ouvre sur April est bien enrageant ! Comme beaucoup de femmes, elle aura affaire à un homme bien mal intentionné et devra ensuite, seule, en assumer les conséquences. Le tome évoque alors les filles mères, celles qui donnent naissance sans être mariées et, même ici, pendant la guerre, aucune circonstance atténuante n’est accordée par la société. 70 ans plus tard, les mentalités ont bien évolué mais j’ai trouvé assez frappant et désolant que Tamara McKinley nous replonge dans la réalité de l’époque. Du côté de Stan et Ron, on retrouve le climat habituel des précédents tomes, les magouilles à gogo de Ron qui n’en loupe jamais une, le...
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  • Valmyvoyou_lit 11/12/2023
    Une éclaircie après l’orage est le onzième tome de la saga « La Pension du bord de mer », tenue par Peggy, une femme bienveillante, généreuse et maternelle. Quels que soient les drames que vivent ses pensionnaires, je lui fais confiance pour soulager leur peine. J’ai la sensation de retrouver un cocon familier et tendre. Comme pour les précédents titres, il est possible de le lire sans avoir lu les autres. Bien que des personnages soient récurrents, chaque opus est consacré à une nouvelle héroïne. Dans celui-ci, il s’agit d’April. Elle est membre de la Royal Navy, dans la branche féminine, basée à Porstmouth. En novembre 1942, lors d’une fête organisée par les Américains, elle rencontre Daniel, un GI afro-américain. Elle en tombe amoureuse et malgré les avertissements de Paula, sa meilleure amie, elle en oublie toute prudence. En mars 1943, sa vie est une succession de catastrophes. Son amant la quitte, avant qu’elle ait le temps de lui annoncer sa grossesse ; un bombardement la blesse grièvement ; son secret est alors découvert et elle est renvoyée de l’armée. Hélas, elle ne trouve aucun réconfort auprès de sa mère, qui la rejette. April se réfugie à Cliffehaven, où vit son oncle Stan. A chaque tome, l’accent est mis sur un personnage récurrent. Dans celui-ci, c’est le chef de gare qui se dévoile. April ne l’a pas revu depuis son enfance, mais elle a gardé le souvenir d’un homme bon. Elle décide de ne pas lui révéler, immédiatement, leurs liens familiaux. Elle a besoin de le connaître avant d’évoquer sa situation avec lui. Elle emménage à la pension du Bord de mer. Accueillie chaleureusement par Peggy, elle ne lui révèle qu’une part de son histoire. Cette dernière respecte son silence, d’autant plus qu’elle est préoccupée par des mystères entourant le comportement de Ron, son beau-père. J’étais très intriguée par l’attitude de celui-ci. Je ne voulais pas tirer de conclusions hâtives, cependant, les faits semblaient l’accuser. Une éclaircie après l’orage est consacré aux préjugés au sujet des filles-mères et des relations mixtes. Si April ne se confie pas, c’est en raison des attaques que subissent les jeunes filles enceintes, sans mari. Les conversations qu’elle surprend accroissent, avec raison, sa méfiance. J’ai été meurtrie par le jugement que subissent ces femmes, alors que pour les hommes, il leur suffit d’oublier leur rencontre. April est seule pour surmonter le cataclysme de son destin. Elle a peur de révéler la vérité et d’être rejetée, une fois encore. Elle est forcée de faire des choix pour convenir à la société, si apte à condamner. Même les personnes les plus ouvertes de son entourage affichent des avis tranchés. J’étais touchée par sa détresse et je lui soufflais de demander de l’aide. Chez certains personnages, le cœur l’emporte sur la morale, mais j’ai, cependant, été surprise par l’intransigeance dominante. Certains de mes chouchous m’ont déçue par leur attitude. J’ai aimé que l’auteure égratigne certaines personnalités. Cela intensifie leur authenticité. J’ai été bousculée dans mes sentiments et j’ai espéré une évolution de leurs convictions. J’ai adoré Une éclaircie après l’orage et j’attends la suite avec impatience. J’aimerais que cette saga ne s’arrête jamais. J’aime retrouver les protagonistes auxquels je suis fortement attachée et en rencontrer de nouveaux. Une éclaircie après l’orage est le onzième tome de la saga « La Pension du bord de mer », tenue par Peggy, une femme bienveillante, généreuse et maternelle. Quels que soient les drames que vivent ses pensionnaires, je lui fais confiance pour soulager leur peine. J’ai la sensation de retrouver un cocon familier et tendre. Comme pour les précédents titres, il est possible de le lire sans avoir lu les autres. Bien que des personnages soient récurrents, chaque opus est consacré à une nouvelle héroïne. Dans celui-ci, il s’agit d’April. Elle est membre de la Royal Navy, dans la branche féminine, basée à Porstmouth. En novembre 1942, lors d’une fête organisée par les Américains, elle rencontre Daniel, un GI afro-américain. Elle en tombe amoureuse et malgré les avertissements de Paula, sa meilleure amie, elle en oublie toute prudence. En mars 1943, sa vie est une succession de catastrophes. Son amant la quitte, avant qu’elle ait le temps de lui annoncer sa grossesse ; un bombardement la blesse grièvement ; son secret est alors découvert et elle est renvoyée de l’armée. Hélas, elle ne trouve aucun réconfort auprès de sa mère, qui la rejette. April se réfugie à Cliffehaven, où vit son oncle...
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  • Zephyrine 03/12/2023
    Pendant la seconde guerre mondiale, April est une jeune WREN, une des ses femmes engagées dans l'effort de guerre, qui intervient sur la maintenance des navires de guerre. Malheureusement, deux événements vont fortement affecter l'avenir d'April. Elle tombe éperdument amoureuse d'un homme qui ne le lui rend pas, et elle perd une de ses proches dans un bombardement. Elle tente de retrouver une lueur d'espoir en revenant chez sa mère mais celle-ci la rejette. April part alors pour Cliffehaven, où elle trouve une chambre dans la pension du bord de mer tenue par la très généreuse Peggy. Mais April a des secrets qu'elle ne pourra pas cacher longtemps... C'est le deuxième volet que je lis de cette saga (qui avec ce dernier tome en a 11). Cela se lit très bien dans le désordre, les personnages sont attachants et l'histoire est très plaisante. C'est à la fois léger et grave et cela permet de se plonger dans une époque au contexte et mentalités particulières. Merci à Netgalley et aux éditions L'Archipel pour cette lecture.
  • Jangelis 03/12/2023
    J'adore me retrouver à La Pension du Bord de mer. Ce n'est pas le feel good le plus gai qui soit, puisque la guerre y est très présente. Mais dès qu'on s'approche de Peggy, on se sent mieux ! J'aime savoir qu'une pauvre jeune fille perdue va bientôt reprendre des couleurs et de la vie à la pension ! J'irais volontiers m'y installer quelque temps ! En plus de suivre le quotidien de la pension, et ses personnages tendres ou drôles, nous faisons cette fois la connaissance d'April. Excellente mécanicienne dans la Royal Navy, elle est heureuse de son travail, et tout autant d'avoir pu quitter une mère odieuse, pour une vie plus libre. Hélas, croire aux belles paroles d'un GI afro-américain va l'obliger à quitter tout ce qu'elle aime, au moment où elle comprend qu'il s'est joué d'elle, mais qu'elle est enceinte. Totalement démunie, sa mère s'étant révélée pire que jamais, elle ne sait vers qui se tourner. Heureusement, son oncle, qu'elle connait à peine, s'avère être Stan, le sympathique chef de gare. Qui gagne ici un rôle plus important que dans les tomes précédents. Son ami Ron nous surprend, que trame-t-il avec ses sorties en cachette ? Cache-t-il des actes inavouables ? Et surtout, le racisme est au centre du roman. Racisme dans l'armée. En pleine guerre, les GI sont incapables de s'entendre entre eux, et c'est terrible. Et attendre un bébé hors mariage, c'est inadmissible. Et bien entendu totalement et uniquement la faute de la fille ! Mais s'il s'avère que le bébé ne sera pas blanc, alors là, on atteint l'impensable. Malgré tout ça, la pension du Bord de mer est un havre, une oasis au milieu d'un monde en guerre, et on s'y blottit dans sa chaleur. Même si on apprécie de suivre le quotidien de tout ce petit monde, chaque tome peut se lire séparément, c'est bien pratique sur une longue saga. Et j'espère qu'elle s'allongera encore. Je trouve amusant que toutes les couvertures, ou presque, montrent une jeune femme de dos. Elles sont différentes, et le fond aussi, mais c'est toujours ce même cadrage.J'adore me retrouver à La Pension du Bord de mer. Ce n'est pas le feel good le plus gai qui soit, puisque la guerre y est très présente. Mais dès qu'on s'approche de Peggy, on se sent mieux ! J'aime savoir qu'une pauvre jeune fille perdue va bientôt reprendre des couleurs et de la vie à la pension ! J'irais volontiers m'y installer quelque temps ! En plus de suivre le quotidien de la pension, et ses personnages tendres ou drôles, nous faisons cette fois la connaissance d'April. Excellente mécanicienne dans la Royal Navy, elle est heureuse de son travail, et tout autant d'avoir pu quitter une mère odieuse, pour une vie plus libre. Hélas, croire aux belles paroles d'un GI afro-américain va l'obliger à quitter tout ce qu'elle aime, au moment où elle comprend qu'il s'est joué d'elle, mais qu'elle est enceinte. Totalement démunie, sa mère s'étant révélée pire que jamais, elle ne sait vers qui se tourner. Heureusement, son oncle, qu'elle connait à peine, s'avère être Stan, le sympathique chef de gare. Qui gagne ici un rôle plus important que dans les tomes précédents. Son ami Ron nous surprend, que trame-t-il avec ses sorties en cachette ? Cache-t-il des actes inavouables ? Et surtout, le racisme est au...
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  • BruneOurs 30/11/2023
    Je l'attendais avec impatience, pressée de retrouver ces chers Reilly et Clivehaffen ! Voici donc le 11e tome de la saga de la Pension du Bord de Mer. Dans cet épisode, nous faisons la connaissance d'April, jeune employée féminine de la Royal Navy, en 1942 à Porstmouth. Jeune fille sage et bien élevée, elle succombe malgré elle au charme d'un GI afro-américain avec qui elle se voit déjà partir en Amérique après la guerre... Mais voilà, le soldat lui a menti, il est déjà marié. Et lui laisse un petit cadeau en partant ! Sans surprise, April va atterrir à la Pension du Bord de Mer, où elle fera la connaissance et sera conquise par tous ses habitants. Nous faisons cette fois-ci un peu plus la connaissance de Stan dont le personnage prend de l'ampleur, le chef de gare, grand ami de Ron. Tamara McKinley réussit à ne pas nous lasser, et continue de faire évoluer ses personnages en douceur, tout en les gardant fidèles à eux-mêmes. Le tout dans l'Angleterre de la Seconde Guerre Mondiale, toujours arrosée de thé malgré les pénuries. Le gros plus de cette saga : chaque tome peut se lire indépendamment ! A quand la sortie en France du tome 12 ??
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