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115
Date de parution : 10/01/2019
Éditeurs :
Pocket

115

Date de parution : 10/01/2019
Coup de froid sur Toulouse. Frigorifiée sous son gilet pare-balles, Nathalie Decrest attend l’assaut. Perquisitionner un camp de gitans n’est jamais une partie de plaisir. Seul bon côté de l’affaire... Coup de froid sur Toulouse. Frigorifiée sous son gilet pare-balles, Nathalie Decrest attend l’assaut. Perquisitionner un camp de gitans n’est jamais une partie de plaisir. Seul bon côté de l’affaire : avoir réquisitionné (contre son gré) les services de Sergine Hollard, la vétérinaire. Entre celle qui soigne à ses frais... Coup de froid sur Toulouse. Frigorifiée sous son gilet pare-balles, Nathalie Decrest attend l’assaut. Perquisitionner un camp de gitans n’est jamais une partie de plaisir. Seul bon côté de l’affaire : avoir réquisitionné (contre son gré) les services de Sergine Hollard, la vétérinaire. Entre celle qui soigne à ses frais les chiens de SDF et la garante de l’ordre public, l’hostilité est palpable. Leur foi en l’humanité, leur engagement sans faille devraient les réunir – leurs méthodes les séparent, au contraire. Les tragédies qu’elles s’apprêtent à découvrir exigeront des deux femmes qu’elles joignent enfin leurs forces…

« Sans manichéisme, sans angélisme, nous découvrons un pan entier du monde d'aujourd'hui à travers une intrigue policière parfaitement maîtrisée. » Jérôme Peugnez – zonelivre.fr

Ce roman a reçu le Prix du Roman Noir des Bibliothèques et des Médiathèques de Grand Cognac
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EAN : 9782266281065
Code sériel : 17092
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 304
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266281065
Code sériel : 17092
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 304
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

« Sans manichéisme, sans angélisme, nous découvrons un pan entier du monde d’aujourd’hui à travers une intrigue policière parfaitement maîtrisée. » Jérôme Peugnez, Zonelivre.fr

« Un récit tout simplement remarquable. » Cédric Segapelli, monromannoiretbienserre

« Une écriture aussi dure et brute que ce qu’elle dépeint. Des personnages taillés au cordeau. » evadez-moi.com

« Benoît Séverac restitue avec une précision redoutable la vie dans le camp de gitans, sans manichéisme aucun, et donne vie à des personnages terrifiants, attachants ou bouleversants, sans jamais céder aux généralisations trop faciles… Les vies parallèles, les dérives, le chaos, le sort des femmes, toujours les premières victimes d’une société malade, il les appréhende avec empathie, et livre avec 115 un roman douloureusement contemporain, délibérément lucide et réaliste, et sans doute désespéré, malgré la présence de ses personnages récurrents, lumineux malgré leurs faiblesses, combattants de l’ombre aux victoires incertaines. » Velda, leblogdupolar

« Un roman d’action sociale aussi brillant que la noirceur qui l’habite. » dealerdelignes

« Écriture sans concessions, images percutantes, dialogues directs dont les mots sont quelquefois mots crus… Vous prenez tout cela en pleine figure mais la part d’humanité est toujours présente. Un tourbillon noir et réaliste ! » lesmotsdemn

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • LectureChronique 27/05/2022
    Bonjour, Voici un roman noir sociétal que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "115" de Benoît Séverac aux éditions Pocket. J'ai rencontré l'auteur au salon du livre de Marmande le 7 mai. J'ai été tentée par la quatrième de ce livre et le résumé qu'il m'en a fait. Toulouse. Nathalie Decrest, est en intervention sur un site qui organise des combats de coq clandestins quand elle trouve deux albanaises avec un petit garçon dans un container. Arrivée clandestinement en France, la policière aidée de la PJ va essayer de remonter la filière pour arrêter ce trafic. Plus facile à dire qu'à faire. En même temps, la vétérinaire dépêchée sur site pour constater s'il y a des violences volontaires sur les coqs, va être intéressée par les clandestines. De son côté, elle veut proposer une clinique gratuite pour les animaux des sans-abris. Là aussi, plus facile à dire qu'à faire. Les deux femmes vont se croiser tout le long d'un chemin parsemé d'embuches. Elles vont côtoyer la violence des rues, celle des réseaux de prostitution. Toulouse est une grande ville qui cache tellement de petites choses… Superbe roman noir qui a d'ailleurs reçu un prix et c'est amplement mérité. Le coté social s'impose comme une norme, les quartiers malfamés ont la part-belle. L'auteur intéresse le lecteur à visiter Toulouse loin du cliché touristique. On découvre alors les délaissés et les anonymes qui peuplent la ville rose où tout n'est que noirceur profonde pour eux. Ce roman peut être vu comme une sorte de reportage, en immersion avec les locaux, les volontaires des associations qui œuvrent tant bien que mal. L'auteur nous en dépeint le quotidien avec son langage à lui, brut et sans fioriture. Une certaine colère et injustice pointent le museau au travers des deux femmes qui ont l'air tellement humaine et si sensibles à la cause ! L'authenticité prime au profit d'une fiction qui n'en est pas une. La détresse des policiers comme des associations est omniprésente, on sent toute leur impuissance à faire face à toute cette misère. Tragique destin d'une population sacrifiée condamnée à disparaître dans les tréfonds de la marginalité. Un polar très noir qui va vous faire entrer dans un autre monde, plus confidentiel et anonyme, celui de la réalité vraie, celui des vivants que plus personne ne voit… Bonne lecture, amis lecteurs ! Je remercie infiniment Benoît pour la belle dédicace.Bonjour, Voici un roman noir sociétal que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "115" de Benoît Séverac aux éditions Pocket. J'ai rencontré l'auteur au salon du livre de Marmande le 7 mai. J'ai été tentée par la quatrième de ce livre et le résumé qu'il m'en a fait. Toulouse. Nathalie Decrest, est en intervention sur un site qui organise des combats de coq clandestins quand elle trouve deux albanaises avec un petit garçon dans un container. Arrivée clandestinement en France, la policière aidée de la PJ va essayer de remonter la filière pour arrêter ce trafic. Plus facile à dire qu'à faire. En même temps, la vétérinaire dépêchée sur site pour constater s'il y a des violences volontaires sur les coqs, va être intéressée par les clandestines. De son côté, elle veut proposer une clinique gratuite pour les animaux des sans-abris. Là aussi, plus facile à dire qu'à faire. Les deux femmes vont se croiser tout le long d'un chemin parsemé d'embuches. Elles vont côtoyer la violence des rues, celle des réseaux de prostitution. Toulouse est une grande ville qui cache tellement de petites choses… Superbe roman noir qui a d'ailleurs reçu un prix et c'est amplement mérité. Le coté social s'impose...
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  • Bill 02/02/2022
    J'ai découvert Benoît Séverac en 2008, en lisant son excellent "Les chevelues" un polar gaulois !  Je l'ai retrouvé quelques années plus tard, avec "Rendez-vous au 10 avril", en 1921. J'ai fortement apprécié Silence et Little sister, ses romans pour ados. En 2020, j'ai découvert Sergine, une jeune vétérinaire toulousaine, et Nathalie Decrest, de la BAC nord dans Trafics.  On les retrouve toutes les deux, dans ce nouveau roman où se croisent jeunes femmes albanaises, combats de coqs, et rivalités entre SDF toulousains. Une vétérinaire qui veut soigner les chiens des SDF et qui découvre un trafic sordide, une policière qui veut respecter les règles mais ... qui écoute la véto La naissance d'une amitié. Benoît Séverac sait raconter des histoires, décrire sa ville, et nous entraîner au fil des berges du canal du Midi, de la Garonne ou du périphérique, pour mettre au jour un Toulouse bien éloigné des clichés touristiques.  Un écrivain dont je ne rate aucun opus! 
  • sylvieboop24 18/01/2022
    Préface des Misérables, de Victor Hugo (1862), qui sert de préface à ce roman. « Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. » L’histoire : Une femme qui fuit son pays avec son fils pour survivre. Des passeurs, à qui ils vont appartenir plusieurs années pour payer leurs passages. Arrivés en France, le travail promis existe bien. Sauf que… Le travail n’est pas un de ceux espérés. Et même si Hiésoré refuse que des hommes la souillent, elle résiste aux coups, et va plier lorsqu’ils vont menacer son enfant, son fils, son trésor. La voilà sous la coupe d’hommes qui travaillent pour la mafia Albanaise, et qui ont également pour associé, sur Toulouse, un mystérieux « Français ». Dès qu’elle le peut, la jeune femme, avec son fils, va fuir le camp du sexe forcé. Elle se cache. Elle sait que si ses tortionnaires la retrouvent, elle ne survivra pas. Pour l’exemple. Un camp de gitans. Des policiers prêts à donner l’assaut. Parmi eux, Nathalie Decrest attend les ordres. Elle a réquisitionné Sergine Hollard, vétérinaire de son état. Des combats de coqs ont lieux. Il faut arrêter les organisateurs et sauver les bêtes. La police va taper, et en plus des hommes et des coqs, vont trouver, en périphérie du camp, un container contenant deux femmes Albanaises, terrorisées et épuisées, accompagnées d’un enfant. Sergine s’inquiète du sort de ces personnes. Sont-elles toujours en danger ? Nathalie, agacée, indique que les services sociaux vont prendre le relais, et qu’il n’y a pas à s’inquiéter. Sergine a le projet de venir en aide aux animaux des SDF en leur proposant des consultations gratuites. Elle cherche des aides pour aller au bout de ce projet, car son associé ne veut pas en entendre parler. Via le Directeur du Samu social, démunie et sans budget, elle va se mettre en relation avec une association illégale composée de professionnels de l’aide sociale et de bénévoles : le GTSC Dans la rue, une bande de sans-abris dans laquelle se trouve des jumelles vénéneuses, Charybde et Scylla, et Cyril qu’elles couvent et qui n’a plus toute sa tête. Extrait P.42 : « Je m’appelle Cyril. J’ai un tonton. Mais je ne peux pas vous dire mon nom de famille. Parce que je ne veux pas retourner à l’hôpital. » Puis il y a Odile, qui tente de moins boire et s’est rapprochée du 115. Elle passe moins de temps avec la bande. Il faut dire qu’avec les jumelles ça ne le fait pas. Odile, sa béquille c’est Patrick son chien. Son compagnon de la rue. C’est pour Patrick qu’Odile va faire la connaissance de Sergine. Nathalie et Sergine se retrouvent autour d’une bière. Nathalie n’est pas à l’aise. Les deux femmes trouvées à côté du camp gitan, et qui avaient été installées dans un hôtel par les services sociaux ont disparu. Des Albanais sont venus les récupérer. Depuis elles sont introuvables. Le corps de l’enfant, lui, a été retrouvé flottant dans le canal. Odile a vu l’enlèvement des Albanaises… L’enquête va pouvoir avancer. Les histoires de ces misères humaines vont se croiser, dans un livre qui dépeint une triste réalité. Celles des associations, qui font au mieux avec des moyens ridicules. Et dont l’on ne peut que saluer le travail remarquable fait sur le terrain. Mais hélas, également la réalité de ceux qui exploitent, sans vergogne, ceux qui n’ont rien ; et qui leur volent la seule chose qui leur reste : leur dignité, voire leur vie. Et pour quelques têtes coupées, combien d’autres, toujours plus nombreuses repousseront ? Cette hydre maléfique a malheureusement de beaux jours devant elle ! J’ai découvert l’auteur avec ce roman. J’ai apprécié le sujet autant que l’écriture et vous encourage vivement à le lire. Je suis en train de lire actuellement un autre livre de l’auteur, d’un tout autre genre « Les chevelus », dont je vous reparle bientôt. Préface des Misérables, de Victor Hugo (1862), qui sert de préface à ce roman. « Tant qu’il existera, par le fait des lois et des mœurs, une damnation sociale créant artificiellement, en pleine civilisation, des enfers, et compliquant d’une fatalité humaine la destinée qui est divine ; tant que les trois problèmes du siècle, la dégradation de l’homme par le prolétariat, la déchéance de la femme par la faim, l’atrophie de l’enfant par la nuit, ne seront pas résolus ; tant que, dans certaines régions, l’asphyxie sociale sera possible ; en d’autres termes, et à un point de vue plus étendu encore, tant qu’il y aura sur la terre ignorance et misère, des livres de la nature de celui-ci pourront ne pas être inutiles. » L’histoire : Une femme qui fuit son pays avec son fils pour survivre. Des passeurs, à qui ils vont appartenir plusieurs années pour payer leurs passages. Arrivés en France, le travail promis existe bien. Sauf que… Le travail n’est pas un de ceux espérés. Et même si Hiésoré refuse que des hommes la souillent, elle résiste aux coups, et va plier lorsqu’ils vont menacer son enfant, son fils, son trésor. La voilà sous la coupe d’hommes qui travaillent...
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  • collectifpolar 25/12/2020
    A Toulouse, Nathalie Decrest, policière, découvre Hiérosé, une jeune Albanaise arrivée clandestinement en France et contrainte à la prostitution. De son côté, Sergine Hollard, vétérinaire, poursuit le projet de créer une clinique pour les animaux des sans-abri. Les deux femmes plongent dans un univers violent et interlope. Dans ce chassé-croisé de personnages, on retrouve la bienveillance de Benoit Séverac pour ses protagonistes qu'il accompagne tout au long de la fiction, se refusant à les juger, eux et leurs actes. Ce roman a reçu le Prix du roman noir des bibliothèques et des médiathèques 2018 est c'est bien mérité
  • Ingannmic 18/07/2020
    L’hiver toulousain jusque-là clément fait sentir ses premières rigueurs… Le chef de brigade Nathalie Decrest était sans doute loin d’imaginer qu’en intervenant dans un camp de gitans pour interpeller les organisateurs de combats de coqs, elle allait se retrouver mêlée à la fois à un trafic de prostituées orchestré par la mafia albanaise, à un infanticide, à une suspicion d'abus de faiblesse sur la personne d'un sans-abri déficient mental… En partie parce qu'ayant besoin d’une expertise vétérinaire lors de cette intervention, elle a fait appel à Sergine Hollard, qui a une fâcheuse tendance à fourrer son nez partout pour voler au secours de la veuve et de l'orphelin. Sacrée personnage que cette vétérinaire à la carrure de rugbyman (sport qu'elle a d'ailleurs pratiqué), qui met au service d'un humanisme sans concession une détermination presque effrayante. Les deux femmes n’ont d'ailleurs pas gardé un bon souvenir de leur précédente collaboration. Car si Nathalie est aussi une femme d’empathie et de compassion, les rouages de la mécanique judiciaire et sa confrontation quotidienne avec le marasme social imposent pour continuer d'exercer son métier avec efficacité et clairvoyance, un certain pragmatisme, qui va à l'encontre de l'intransigeante conception de la justice de la vétérinaire. Les projets de Sergine la portent pour l'heure vers la mise en place d'un service gratuit d'accès aux soins pour les animaux des sans-logis, avec lesquels elle entre en contact par l'intermédiaire des réseaux associatifs œuvrant dans la rue. C’est ainsi qu’elle entend parler de jeunes jumelles surnommées Charybde et Scylla par les travailleurs sociaux, ayant développé une haine destructrice pour tout ce qui est extérieur à leur relation exclusive, à l’exception de Cyril, jeune autiste qui ne les quitte pas d’une semelle... La richesse de "115" réside essentiellement dans la manière dont Benoît Séverac plante le cadre de son intrigue. Il crée un univers rendu palpable par le sentiment d’immédiateté et d'exhaustivité que confère à son intrigue l'alternance de points de vue. Très dynamique, son récit nous emmène de salles d’interrogatoire aux tentes de fortune abritant un groupe de sans-abri, de dortoirs d'hôtels tenus par des marchands de sommeil aux salles de réunions où s'organise l'action des associations caritatives... Il montre ainsi les interactions entre les différents acteurs en lien avec le monde de la rue, mais aussi les différentes visions qui s’y affrontent, entre ceux qui tentent d’écoper l’océan à la petite cuillère -des milieux associatifs souvent impuissants car manquant de moyens, une police plombée par la lourdeur de l'appareil judiciaire et une hostilité inter-services réduisant son efficacité- et ceux qui exploitent la misère et la vulnérabilité de ceux que Benoît Séverac sort de l'anonymat. Pour cela, il donne vie à un échantillon très divers de ces déclassés, vaincus par les malheureux hasards de la vie, fragilisés par un contexte social ou une pathologie nécessitant une main tendue ou une prise en charge qu'ils n'ont jamais vues venir, clandestins en quête d'un Eldorado qui se révèle souvent être un enfer... Cette multiplicité de points de vue, qui fait la richesse de "115", est aussi peut-être sa limite, dans la mesure où c'est un court roman. J'aurais aimé passer plus de temps avec certains des personnages, et que certains pans de l'intrigue soient davantage approfondis. J'ai toutefois suffisamment apprécié ma lecture pour avoir envie de continuer ma découverte de l'oeuvre de cet auteur toulousain. L’hiver toulousain jusque-là clément fait sentir ses premières rigueurs… Le chef de brigade Nathalie Decrest était sans doute loin d’imaginer qu’en intervenant dans un camp de gitans pour interpeller les organisateurs de combats de coqs, elle allait se retrouver mêlée à la fois à un trafic de prostituées orchestré par la mafia albanaise, à un infanticide, à une suspicion d'abus de faiblesse sur la personne d'un sans-abri déficient mental… En partie parce qu'ayant besoin d’une expertise vétérinaire lors de cette intervention, elle a fait appel à Sergine Hollard, qui a une fâcheuse tendance à fourrer son nez partout pour voler au secours de la veuve et de l'orphelin. Sacrée personnage que cette vétérinaire à la carrure de rugbyman (sport qu'elle a d'ailleurs pratiqué), qui met au service d'un humanisme sans concession une détermination presque effrayante. Les deux femmes n’ont d'ailleurs pas gardé un bon souvenir de leur précédente collaboration. Car si Nathalie est aussi une femme d’empathie et de compassion, les rouages de la mécanique judiciaire et sa confrontation quotidienne avec le marasme social imposent pour continuer d'exercer son métier avec efficacité et clairvoyance, un certain pragmatisme, qui va à l'encontre de l'intransigeante conception de la justice de la vétérinaire. Les projets...
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