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Bye-bye Barbary Lane
François Rosso (traduit par)
Date de parution : 16/08/2001
Éditeurs :
10/18

Bye-bye Barbary Lane

François Rosso (traduit par)
Date de parution : 16/08/2001

Le scintillant virage des eighties a été pris, au 28 Barbary Lane. Mary Ann se lance en quête d’un public à échelle nationale, Mme Madrigal et Mona arpentent Lesbos, Michael...

Le scintillant virage des eighties a été pris, au 28 Barbary Lane. Mary Ann se lance en quête d’un public à échelle nationale, Mme Madrigal et Mona arpentent Lesbos, Michael affronte la grande maladie du siècle. Mais il n’est pas si facile d’aller de l’avant quand débarque l’irrésistible Burke Andrew,...

Le scintillant virage des eighties a été pris, au 28 Barbary Lane. Mary Ann se lance en quête d’un public à échelle nationale, Mme Madrigal et Mona arpentent Lesbos, Michael affronte la grande maladie du siècle. Mais il n’est pas si facile d’aller de l’avant quand débarque l’irrésistible Burke Andrew, venu proposer la frénésie de la Big Apple à nos résidents de la côte ouest.

« Cette œuvre majeure, dans un genre mineur, d’un auteur qui n’a pas renoncé à peindre, avec la palette d’un autre âge, le monde contemporain, a su, contre l’air du temps, miraculeusement sauvegarder son innocence. »
Eric Fassin, Le Monde 

Traduit de l'anglais (Etats-Unis)
par François Rosso

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EAN : 9782264029942
Code sériel : 3317
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264029942
Code sériel : 3317
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 352
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

" Tout est minutieusement décrit avec légèreté et brio. C'est criant de vérité et, surtout, ça nous ressemble. On rit, on pleure, on s'amuse, on jubile... Au bout des cent premières pages, on est déjà complètement accro... " Michèle Fitoussi, Elle

" Avec un trait féroce, parfois même cynique mais toujours juste et lucide, Maupin brosse brillamment le portrait d'une société dans laquelle toutes les frontières - sexuelle, raciale, sociale -, sont franchies avec délectation. Un bonheur à consommer sans modération en écoutant une compil disco. " Illico

" En quelques années, l'auteur américain Armistead Maupin a réussi la prouesse de se retrouver dans tous les sacs à main, sur toutes les tables de nuit. Avec ses Chroniques de San Francisco - les aventures de la petite communauté du 28 Barbary Lane -, l'écrivain a eu la fine idée d'inventer le premier sitcom littéraire, avec ses gays, ses hétéros, ses bisexuels. Le portrait d'une société excentrique. Une analyse jamais caricaturale, toujours pertinente de nos modes de vie modernes. " Femme

PRESSE

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • annec44 19/03/2023
    (Il s'agit là de ma 2de lecture de ce tome, dans le but de me rafraîchir la mémoire avant la découverte du tome 7). Cet épisode est assez riche en rebondissements. J'ai retrouvé avec plaisir les différents personnages, leur humour, leur sensibilité. Cependant, contrairement aux précédents, l'auteur oriente davantage ses sentiments et on lui découvre un certain ressentiment vis à vis des choix faits par Mary-Ann au sujet de sa vie privée et professionnelle. La tendresse est davantage orientée sur le personnage de Michael, et cela assez indépendamment de sa maladie (laquelle est bien entendu largement présente malgré tout). Michael semble être celui qui garde le plus les pieds sur terre, et qui sert à souder l'ensemble de ces personnages entre eux. Il fait le lien entre Brian (son associé et ami) et Mary-Ann (sa meilleure amie), Shawna et ses parents, Thack et Mary-Ann. Il est véritablement le pilier central de l'histoire. Le style de l'auteur est fidèle aux précédents épisodes, ce qui permet de faire défiler les pages sans vraiment s'en rendre compte, comme quand on passe des heures avec des amis sans voir l'heure passer...;) Une lecture que je qualifierai d'agréable, qui est dans la trame de certaines séries que l'on adore retrouver hebdomadairement.(Il s'agit là de ma 2de lecture de ce tome, dans le but de me rafraîchir la mémoire avant la découverte du tome 7). Cet épisode est assez riche en rebondissements. J'ai retrouvé avec plaisir les différents personnages, leur humour, leur sensibilité. Cependant, contrairement aux précédents, l'auteur oriente davantage ses sentiments et on lui découvre un certain ressentiment vis à vis des choix faits par Mary-Ann au sujet de sa vie privée et professionnelle. La tendresse est davantage orientée sur le personnage de Michael, et cela assez indépendamment de sa maladie (laquelle est bien entendu largement présente malgré tout). Michael semble être celui qui garde le plus les pieds sur terre, et qui sert à souder l'ensemble de ces personnages entre eux. Il fait le lien entre Brian (son associé et ami) et Mary-Ann (sa meilleure amie), Shawna et ses parents, Thack et Mary-Ann. Il est véritablement le pilier central de l'histoire. Le style de l'auteur est fidèle aux précédents épisodes, ce qui permet de faire défiler les pages sans vraiment s'en rendre compte, comme quand on passe des heures avec des amis sans voir l'heure passer...;) Une lecture que je qualifierai d'agréable, qui est dans la trame de certaines séries que l'on adore...
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  • ZeroJanvier79 08/10/2022
    J'ai lu les fameuses et sympathiques Chroniques de San Francisco d'Armistead Maupin quand j'étais encore un jeune adulte, et j'avais pris énormément de plaisir à les lire. Je les recommande à tous les lecteurs qui aiment rire et être ému par un livre !
  • bfauriaux 17/07/2021
    L'auteur en se lancant dans ce projet de cheoniques voulait nous faire revivre l'ambiance et l'atmosphère unique de San Francisco dans les années soixante-dix en creant la premiere sitcom litteraire,portrait d'une societe excentrique, hors du temps et farouchement libre.Une saga tres reussie !
  • Kenehan 25/04/2021
    Le titre ne peut être plus évocateur : c'est la fin d'une époque dorée, la fin de Barbary Lane. Les sirènes de New York attise l'envie d'un nouveau départ pour Mary Ann, le SIDA devient épée de Damoclès au-dessus de Mouse, Mona et sa mère vadrouillent en Grèce, la vie continue… Sixième saison d'une série littéraire qui se bingeread comme une série Netflix. La parenthèse enchantée s'est achevée et si l'on parcourt ces pages c'est pour renouer avec de vieilles connaissances. Le microcosme de Barbary Lane éclate peu à peu alors que les années 1980 laissent doucement place à une décennie d'incertitudes. Beaucoup de mélancolie dans ce tome mais Armistead Maupin ne se départ pas de son humour habituel. Un tome qui s'appréhende de manière plus apaisée avec le recul des années.
  • Claire_583 16/11/2020
    6e épisode des Chroniques de San Francisco. Il est écrit partout que c'est le dernier mais quenini, il y en a encore après! Ouf! J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire mais cela était dû à ma dernière lecture qui m'a tout de même fait cogiter (Mon amie Adèle). Mais une fois entrée dedans, quel bonheur et quel plaisir de retrouver nos personnages fétiches! Dans cette épisode, contrairement au précédent, nous ne suivons quasiment pas Dede et D'or qui viennent s'ouvrir un restaurant très en vogue. Nos aventures se concentrent sur le trio Mary Ann-Brian-Michael. Ce dernier, devenu séropositif, guette les premiers signes de développement de la maladie pendant que le couple Mary Ann-Brian rencontrent quelques difficultés suite au retour de Burke, l'ex de Mary Ann. Michael est entre les deux malgré lui. Mary Ann a un comportement de plus en plus égoïste, je trouve. Après est-ce une féministe des années 80? Peut-être ou peut-être pas. A cela se rajoute Thack, le nouveau compagnon de Michael rencontré lors du précédent tome avec qui ce dernier a quitté Barbara Lane. Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler l'histoire en tout cas j'ai bien ris à cette lecture. Si vous suivez les aventures de nos chers personnages, nul doute qu'il faut que vous lisiez celui-ci. D'autant plus qu'en cette période de confinement automnale, cela nous permet de nous évader sur la côte ouest des États Unis à moindre frais et sans devoir nous faire dépister auparavant (auquel cas, nous aurions le droit de circuler librement : le rêve!)6e épisode des Chroniques de San Francisco. Il est écrit partout que c'est le dernier mais quenini, il y en a encore après! Ouf! J'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire mais cela était dû à ma dernière lecture qui m'a tout de même fait cogiter (Mon amie Adèle). Mais une fois entrée dedans, quel bonheur et quel plaisir de retrouver nos personnages fétiches! Dans cette épisode, contrairement au précédent, nous ne suivons quasiment pas Dede et D'or qui viennent s'ouvrir un restaurant très en vogue. Nos aventures se concentrent sur le trio Mary Ann-Brian-Michael. Ce dernier, devenu séropositif, guette les premiers signes de développement de la maladie pendant que le couple Mary Ann-Brian rencontrent quelques difficultés suite au retour de Burke, l'ex de Mary Ann. Michael est entre les deux malgré lui. Mary Ann a un comportement de plus en plus égoïste, je trouve. Après est-ce une féministe des années 80? Peut-être ou peut-être pas. A cela se rajoute Thack, le nouveau compagnon de Michael rencontré lors du précédent tome avec qui ce dernier a quitté Barbara Lane. Je n'en dis pas plus pour ne pas spoiler l'histoire en tout cas j'ai bien ris à cette lecture. Si vous suivez les aventures de...
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