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Chroniques de San Francisco
Olivier Weber (traduit par), Tristan Duverne (traduit par)
Date de parution : 02/03/2000
Éditeurs :
10/18

Chroniques de San Francisco

Olivier Weber (traduit par), Tristan Duverne (traduit par)
Date de parution : 02/03/2000

Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au cœur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les...

Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au cœur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les rues aux couleurs d'enseignes et de néons tapageurs. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton, vingt-cinq ans, emprunte pour...

Les seventies sont sur le déclin, mais San Francisco, la fureur au cœur et au corps, vibre encore d'une énergie contestataire. La libération sexuelle est consommée et s'affiche dans les rues aux couleurs d'enseignes et de néons tapageurs. Tout droit venue de Cleveland, Mary Ann Singleton, vingt-cinq ans, emprunte pour la première fois les pentes du « beau volcan ». Elle plante son camp au 28 Barbary Lane, un refuge pour « chats errants ». Logeuse compréhensive et libérale, Mme Madrigal règne en matriarche sur le vieux bâtiment qui abrite une poignée de célibataires : Mona, rédactrice publicitaire, son colocataire Michael, chômeur et disciple de « l'amour interdit » et le beau Brian Hawkins, coureur de jupons insatiable. Les héros de cette tribu enchantée ont fait le bonheur de millions de lecteurs dans le monde entier, au fil des six volumes de cette saga.

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EAN : 9782264029959
Code sériel : 3164
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782264029959
Code sériel : 3164
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 384
Format : 108 x 177 mm

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • thebookshereads 26/04/2024
    Une bonne lecture dans l'ensemble, à l'image des séries américaines à l'ancienne qui passent d'une scène/ d'un personnage à l'autre. J'ai apprécié cette diversité des histoires où la vie de chacun des personnages se croisent et s'entrecroisent. Armistead Maupin nous livre sans détour la vie au cœur du San Francisco des années 70, libérée, atypique et outrancière. C'était vraiment une bonne lecture mais loin d'être un coup de cœur. C'est un roman qui s'est lu facilement mais pour lequel je n'ai pas eu d'attachement particulier. Que ce soit pour l'histoire ou pour les personnages, j'en ai aimé le rythme d'alternance mais sur le fond, rien n'était assez creusé pour que je m'y attache malheureusement. En bref, je ne lirais pas la suite de la saga car j'ai plein d'autres livres qui me tentent. Mais après je ne vous déconseille pas ce roman. C'est bien écrit et dynamique, peut être qu'il vous plaira plus qu'à moi !
  • fgrolleautarrade 14/02/2024
    Mary Ann singleton débarque de Cleveland à San Francisco. Elle loge chez Mme Madrigal un personnage haut en couleur. Les autres pensionnaires Mona, Mickaël et Brian ainsi que Madame Madrigal deviennent sa famille. J'ai adoré ! Les personnages sont très vite attachants ou détestables, l'humour et omniprésent, le contexte intéressant. L'auteur nous dépeint toute une époque, où les moeurs finissaient d'être libérées, où la sexualité n'était plus un tabou pour grand monde. On y parle de drogue, d'homosexualité, de mort, de libération de la femme, de transsexualité, de tolérance et d'intolérance, d'amour dans toutes ses dimensions. L'histoire est constituée de très courts chapitres, c'est très rythmé et on passe d'un personnage à l'autre avec délectation. D'abord marrant et dynamique, le propos devient plutôt glauque, mais juste ce qu'il faut. Les rapports humains sont le coeur du sujet, les situations vont du sordide à l'insolite, de l'émouvant au révoltant.
  • marylinestan 09/12/2023
    La première fois que j’ai entendu parler de ces chroniques, c’est dans celle que la romancière Marceline Bodier a eu la délicate attention d’écrire à propos de mon roman Filles du Rock et du Vent, le situant entre les écrits de Maupin et de Candace Bushnell, l’auteure en autres de Sex and the City. Tombée par hasard sur deux livres des chroniques du premier, je les ai attrapés avec des pincettes et l’idée de les lire un jour tout en redoutant d’y découvrir une histoire par trop semblable à la mienne, fantasme que certains collègues comprendront peut-être ! Rassurée à ce sujet, j’ai pu profiter pleinement de mes lectures et lirai probablement la suite de ces aventures décomplexées, servies par des personnages primesautiers au verbe haut qui expriment sans fard et avec un humour croustillant leurs préoccupations. Au cœur des années soixante-dix, entre révolution sexuelle et rêve américain, des jeunes gens qui viennent tenter leur chance, chercher un premier ou un second souffle à San Francisco se retrouvent sous le toit d’une logeuse tellement attentionnée qu’elle en devient suspecte. Entre les problèmes existentiels des uns et la bienveillance aigre-douce de l’autre, les réparties fusent avec la saveur de bonbons acidulés. La première fois que j’ai entendu parler de ces chroniques, c’est dans celle que la romancière Marceline Bodier a eu la délicate attention d’écrire à propos de mon roman Filles du Rock et du Vent, le situant entre les écrits de Maupin et de Candace Bushnell, l’auteure en autres de Sex and the City. Tombée par hasard sur deux livres des chroniques du premier, je les ai attrapés avec des pincettes et l’idée de les lire un jour tout en redoutant d’y découvrir une histoire par trop semblable à la mienne, fantasme que certains collègues comprendront peut-être ! Rassurée à ce sujet, j’ai pu profiter pleinement de mes lectures et lirai probablement la suite de ces aventures décomplexées, servies par des personnages primesautiers au verbe haut qui expriment sans fard et avec un humour croustillant leurs préoccupations. Au cœur des années soixante-dix, entre révolution sexuelle et rêve américain, des jeunes gens qui viennent tenter leur chance, chercher un premier...
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  • tom67 14/09/2023
    Le quatrième de couverture annonçait un livre "joyeusement humain et politiquement incorrect". Oui il représente beaucoup l'humain sous tous ses angles et souvent les aspects les moins glorieux, du mensonge ou de l' hypocrisie. Mais heureusement oui le livre est joyeux, plein de vie et d'envie, de frivolité, et imprégnée d'argent et de loisirs, d'amour libre et d'un peu de marijuana... Avant au travers d'une jeune femme qui vient de la campagne - tout est la campagne pour les habitants de san Francisco hormis New-York - la ville trépidante se dévoile, ses bars et fêtes branchées, ses fringues à la mode et ses basses histoires. Je ne crois pas que cela représente une vision réaliste de la ville, mais l'expérience qu'il est possible d'y tenter, au risque de s'y perdre... Donc oui j'ai apprécié le roman, sa lecture ses personnages, sa chaleur. Les trop nombreuses références à la culture américaine - que je ne maîtrise pas - ont par moment atténuées l' intérêt que je portais à ce roman. Pour ma part je tenterai bien le second recueil !
  • druspike 27/06/2023
    Il y a quelques semaines j’ai regardé la série Netflix des chroniques de SF, ça m’a donné envie de découvrir les livres et le début de toute cette saga si positive, fraiche et queer ! Je me doutais que je n’aurais pas trop de mal à les trouver d’occase et je me suis commandé les 3 premier tome ! De quoi ça parle ? «San Francisco et sa fameuse baie, ses tramways cahotant dans les rues en pente, son pont du Golden Gate, compte désormais un monument de plus : le 28, Barbary Lane, une pension de famille tenue par la pittoresque Anna Madrigal qui materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse. Et ils en ont tous bien besoin, car "s'il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flots". Ils le savent bien, Mary Ann, venue de Cleveland dans cette ville qui a le don de décoincer les gens, Mona qui vient de perdre son emploi, Michael qui cherche vainement l'homme de sa vie...» Comment vous parler de ce roman ? Ça ne va pas être si facile, on est ici dans un roman feuilleton construit de façon assez particulière. En effet ici très peu de moments descriptifs ou autre toute l’histoire se raconte sous forme de dialogue ! Les chapitres sont courts et mettent chaque fois en scène quelques personnages. Je dirais que c’est un peu comme des scénettes de théâtre … Ce premier tome met en place les personnages, l’histoire et l’ambiance très particulière. En effet nous sommes ici dans le San Francisco des années 70, très coloré, festif et totalement Queer ! Ce roman n’est pas tout jeune, il a été écrit avant ma naissance et il est pourtant dans un sens tellement moderne ! Certains sujets abordés sont assez lourds et sérieux, d’autres plus légers ça équilibre parfaitement ! J’ai trouvé ce roman plein d’humour et d’amour, de quête identitaire et d’interrogation. La manière dont il est écrit rend la lecture assez facile mais surtout très agréable et addictive ! On avance vite, on a envie d’en savoir plus et du coup on ne veut pas le lâcher ! J’ai passé un très bon moment avec ce roman, je lirais la suie tranquillement durant l’été car je trouve que c’est une histoire idéale pour cette période ! Note 8 /10 Il y a quelques semaines j’ai regardé la série Netflix des chroniques de SF, ça m’a donné envie de découvrir les livres et le début de toute cette saga si positive, fraiche et queer ! Je me doutais que je n’aurais pas trop de mal à les trouver d’occase et je me suis commandé les 3 premier tome ! De quoi ça parle ? «San Francisco et sa fameuse baie, ses tramways cahotant dans les rues en pente, son pont du Golden Gate, compte désormais un monument de plus : le 28, Barbary Lane, une pension de famille tenue par la pittoresque Anna Madrigal qui materne ses locataires avec une inépuisable gentillesse. Et ils en ont tous bien besoin, car "s'il ne pleut jamais en Californie, les larmes en revanche peuvent y couler à flots". Ils le savent bien, Mary Ann, venue de Cleveland dans cette ville qui a le don de décoincer les gens, Mona qui vient de perdre son emploi, Michael qui cherche vainement l'homme de sa vie...» Comment vous parler de ce roman ? Ça ne va pas être si facile, on est ici dans un roman feuilleton construit de façon assez particulière....
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