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Nouveauté
Dans la neige ardente
Date de parution : 09/03/2023
Éditeurs :
Pocket
Nouveauté

Dans la neige ardente

Date de parution : 09/03/2023
Deux jeunes gens cherchent à survivre au milieu du chaos.
Partout, la cendre. Partout, la désolation. Dehors, l’horizon flamboie et Hugo pense à ceux qu’il aime. Et si là-bas, de l’autre côté de la frontière, certains avaient survécus ? Le... Partout, la cendre. Partout, la désolation. Dehors, l’horizon flamboie et Hugo pense à ceux qu’il aime. Et si là-bas, de l’autre côté de la frontière, certains avaient survécus ? Le bruit court que des insurgés ont trouvé refuge au creux de la terre, dans les tunnels du métro. L’espoir de... Partout, la cendre. Partout, la désolation. Dehors, l’horizon flamboie et Hugo pense à ceux qu’il aime. Et si là-bas, de l’autre côté de la frontière, certains avaient survécus ? Le bruit court que des insurgés ont trouvé refuge au creux de la terre, dans les tunnels du métro. L’espoir de retrouver les siens est mince, mais il existe. Bientôt, Hugo s’élance vers la ligne de démarcation, à la merci des pièges et du ravage, dans la neige ardente d’un monde déjà mort, prêts à braver tous les périls.
 
 
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EAN : 9782266329354
Code sériel : 18831
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 216
Format : 108 x 177 mm
EAN : 9782266329354
Code sériel : 18831
Façonnage normé : POCHE
Nombre de pages : 216
Format : 108 x 177 mm

Ils en parlent

"Ce roman court, écrit sans artifices mais non dénué de poésie lors de des criptions de lieux inhospitaliers ou de souvenirs d’enfance, se dévore. Addictif. L’habileté narrative liée à la progression alternée des deux personnages incite à enchaîner les brefs chapitres. La force du récit réside également dans son implacable réalité."
Page des libraires

Ce qu'en pensent nos lecteurs sur Babelio

  • evergreen13 11/01/2023
    Sous les cendres Des romans « post-apocalypse » j’en ai lu quelques uns. J’aime bien ce genre, à la frontière de la science-fiction, du thriller et du roman noir. Mais celui-ci est très différent, inclassable. Il s’ouvre par une scène hallucinante : un jeune homme, Hugo, derrière sa baie vitrée, au huitième étage de son immeuble, regarde le nord de sa ville disparaître sous un tapis de bombes. Le lendemain matin, il ne reste que les odeurs pestilentielles portées par le vent, et les cendres, cette neige grise et ardente qui recouvre tout. Comment ne pas penser à la Syrie ou, plus près, à l’Ukraine en lisant ces lignes, aux habitants des villes bombardées qui assistent impuissants à la destruction de leur vie ? Hugo habite dans la partie épargnée de la ville (aucun repère spatio-temporel dans ce roman), il se terre dans son appartement, écoute en boucle le Requiem de Mozart quand il y a de l’électricité. Ses amis n’ont pas eu sa chance : ceux qui ont échappé aux bombes et aux snipers sont réfugiés dans le métro où ils attendent un hypothétique cessez-le-feu. Parmi eux il y a Pauline, qui a perdu son amoureux, et qui décide... Sous les cendres Des romans « post-apocalypse » j’en ai lu quelques uns. J’aime bien ce genre, à la frontière de la science-fiction, du thriller et du roman noir. Mais celui-ci est très différent, inclassable. Il s’ouvre par une scène hallucinante : un jeune homme, Hugo, derrière sa baie vitrée, au huitième étage de son immeuble, regarde le nord de sa ville disparaître sous un tapis de bombes. Le lendemain matin, il ne reste que les odeurs pestilentielles portées par le vent, et les cendres, cette neige grise et ardente qui recouvre tout. Comment ne pas penser à la Syrie ou, plus près, à l’Ukraine en lisant ces lignes, aux habitants des villes bombardées qui assistent impuissants à la destruction de leur vie ? Hugo habite dans la partie épargnée de la ville (aucun repère spatio-temporel dans ce roman), il se terre dans son appartement, écoute en boucle le Requiem de Mozart quand il y a de l’électricité. Ses amis n’ont pas eu sa chance : ceux qui ont échappé aux bombes et aux snipers sont réfugiés dans le métro où ils attendent un hypothétique cessez-le-feu. Parmi eux il y a Pauline, qui a perdu son amoureux, et qui décide de remonter à la surface… Pour y trouver quoi ? Qui ? L’écriture est concise, les chapitres s’articulent autour des deux personnages principaux, Hugo et Pauline dont on comprendra les liens indéfectibles qui les unissent. L’auteur prend soin de ne rien expliquer des raisons de cette guerre, laissant notre imaginaire se nourrir de l’actualité, et c’est très malin. Ce premier roman est très noir, court mais intense. Eprouvant même, je l’ai terminé angoissée (bon ce n’était peut-être pas très indiqué de vouloir le finir à tout prix à une heure du matin…).
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  • LisaGiraudTaylor 14/08/2022
    Un cataclysme a eu lieu et a ravagé la Terre, recouverte de cendres ; cette destruction est toujours active, de l’autre côté de la frontière. Hugo vit avec son père et observe les éclats rouges déchirants le ciel là-bas et la cendre, l’odeur qui arrivent vers lui, après. Là-bas, il y a Pauline, et ses amis, terrés dans le métro… dehors c’est la désolation, en plus de la mort assurée pour servir de repas à des humains avides de survie. Un jour Hugo décide et promet d’aller récupérer sa soeur… après qu’un de ses amis débarque, à bout de vie, de l’autre côté. Il apprend qu’elle est vivante, enfin, survivante, en fin de course. Son ami s’éteint, souriant mais Hugo a décidé d’y aller. De son côté Pauline, après la mort de son amoureux, enterrée vivante dans les boyaux de la Terre, sort et veut s’éloigner… regagner l’autre côté, sa famille. Le roman alterne les voix de Hugo et Pauline, parlant de leurs cheminements, leurs peurs, les bassesses pour vivre une minute de plus, les dangers, les blessures, l’endurance, les alliances, les trahisons et cette vie tenue mais importante. Chaque pas rapproche physiquement mais éloigne moralement de la part humaine. Au milieu de chaos, du bruit,... Un cataclysme a eu lieu et a ravagé la Terre, recouverte de cendres ; cette destruction est toujours active, de l’autre côté de la frontière. Hugo vit avec son père et observe les éclats rouges déchirants le ciel là-bas et la cendre, l’odeur qui arrivent vers lui, après. Là-bas, il y a Pauline, et ses amis, terrés dans le métro… dehors c’est la désolation, en plus de la mort assurée pour servir de repas à des humains avides de survie. Un jour Hugo décide et promet d’aller récupérer sa soeur… après qu’un de ses amis débarque, à bout de vie, de l’autre côté. Il apprend qu’elle est vivante, enfin, survivante, en fin de course. Son ami s’éteint, souriant mais Hugo a décidé d’y aller. De son côté Pauline, après la mort de son amoureux, enterrée vivante dans les boyaux de la Terre, sort et veut s’éloigner… regagner l’autre côté, sa famille. Le roman alterne les voix de Hugo et Pauline, parlant de leurs cheminements, leurs peurs, les bassesses pour vivre une minute de plus, les dangers, les blessures, l’endurance, les alliances, les trahisons et cette vie tenue mais importante. Chaque pas rapproche physiquement mais éloigne moralement de la part humaine. Au milieu de chaos, du bruit, des ravages, Hugo et Pauline luttent, avancent, rampent, s’accrochent… C’est dense, intense… cela propose aux lecteurs une plongée dans ses propres sentiments et sa propre vision de sa survie. Jusqu’aux dernières pages, on assiste au lent sursaut d’humanité qui pousse tout être vivant à lutter pour rester sur cette planète, quelle que soit sa condition… l’espoir, toujours. Ce roman pourrait paraître déjà-vu, simple, mais il y a autre chose derrière les mots, les situations, les moments qui serrent le coeur. Vraiment très bon roman d’anticipation et social.
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  • VeroClaire 02/08/2022
    Olivier Gallien nous offre un roman post-apocalyptique déroutant et surprenant. Une jolie découverte. Dans une ville, la guerre fait rage, un quartier a été bouclé et tout ce qui s’y trouve, population comme habitations, est bombardé sans cesse. Rien ne doit subsister. D’un côté, du bon, Hugo est le spectateur malgré lui du massacre. De l’autre, du mauvais, Pauline, terrée dans les sous-sols tente de subsister. C’est un roman qui fait froid dans le dos. On suit les personnages dans leur quête de survie. Pas vraiment d’information sur cette ville, l’époque, les circonstances, mais est-ce le principal ? L’important n’est-il pas dans le chemin ? Un roman dérangeant à découvrir.
  • janessane 22/06/2022
    Une ville coupée en deux. D'un côté la guerre, de l'autre une paix toute relative car survivre exige quelques sacrifices...Et surtout de ne se fier à personne. Hugo est du "bon côté" et bien décider à y rester. Réfugié dans l'appartement de son père, il observe au loin les ravages d'une guerre dont on ne sait rien et dont on ne saura finalement rien. Mais le propos du livre n'est pas là. De l'autre côté, il y a Pauline, une jeune résistante et ses amis. Réfugiés dans les tunnels du métro, ils subsistent grâce aux quelques rats dont ils se nourrissent, faute de mieux, faute de perspectives. Et puis un jour, un évènement bouscule le quotidien pourtant bien rôdé d'Hugo. Pour un prénom murmuré à son oreille, il décide de partir de l'autre côté de la frontière. Et pratiquement au même moment, Pauline se rend compte qu'elle ne peut plus se terrer dans ce tunnel. Elle décide de partir pour ne pas mourir de toute cette folie. Au milieu de ce chaos, dans cette atmosphère post-apocalyptique, Hugo cherche Pauline avec pour seule force tout l'amour qu'il lui porte. Les obstacles qu'il va rencontrer seront nombreux mais le plus pernicieux et fatal est cette absence... Une ville coupée en deux. D'un côté la guerre, de l'autre une paix toute relative car survivre exige quelques sacrifices...Et surtout de ne se fier à personne. Hugo est du "bon côté" et bien décider à y rester. Réfugié dans l'appartement de son père, il observe au loin les ravages d'une guerre dont on ne sait rien et dont on ne saura finalement rien. Mais le propos du livre n'est pas là. De l'autre côté, il y a Pauline, une jeune résistante et ses amis. Réfugiés dans les tunnels du métro, ils subsistent grâce aux quelques rats dont ils se nourrissent, faute de mieux, faute de perspectives. Et puis un jour, un évènement bouscule le quotidien pourtant bien rôdé d'Hugo. Pour un prénom murmuré à son oreille, il décide de partir de l'autre côté de la frontière. Et pratiquement au même moment, Pauline se rend compte qu'elle ne peut plus se terrer dans ce tunnel. Elle décide de partir pour ne pas mourir de toute cette folie. Au milieu de ce chaos, dans cette atmosphère post-apocalyptique, Hugo cherche Pauline avec pour seule force tout l'amour qu'il lui porte. Les obstacles qu'il va rencontrer seront nombreux mais le plus pernicieux et fatal est cette absence de confiance en l'autre. Croiser la route d'un de ses pairs revient à mourir ou souffrir tant ce monde a perdu ses valeurs. Ici, pas de place pour la fraternité. Elle a disparu au profit d'un seul objectif : survivre. Alors forcément, lire ce roman, c'est rentrer dans le noir. Celui du paysage mais aussi celui de l'âme humaine mais c'est aussi irradiant de lumière par moments tant les moments de grâce sont rares. J'ai terminé ma lecture avec un sentiment étrange. Ce roman est profondément dérangeant par moment, sa fin est ouverte (ce que je n'aime pas particulièrement) et le mystère demeure sur beaucoup de points. Mais force est de constater que plusieurs semaines après l'avoir achevé, il reste gravé dans ma mémoire et ça seuls les romans qui m'ont marqué sont capables de le faire.
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  • Thalie4 18/06/2022
    La ville est séparée en deux par une immense frontière. Hugo se terre dans son appartement et assiste aux bombardements de l'autre côté du mur. Pauline est réfugiée dans le métro sous les décombres. Dans cette partie de la ville tout est dévastation, débris enfouis sous une épaisse couche de cendres toxiques. Tous deux sortiront braver les dangers. Elle pour retrouver la lumière, lui pour la retrouver, elle. Olivier Gallien nous offre là un roman très noir. C'est la guerre, guerre civile apparemment. Nous ne savons pas où, ni pourquoi, mais cela se passe de nos jours et près de chez nous. Très certainement ici même. Les personnages ont des prénoms français et pas des noms du bout du monde. Donc forcément on s' identifie d'autant plus facilement. L'horreur et la mort n'ont pas de nation. Pauline et Hugo ont parfaitement conscience que sortir est très certainement un suicide. Mais comment supporter plus longtemps d'être dans le noir, de vivre comme un rat parmi eux ? Et comment rester caché chez soi quand vous êtes le seul survivant de ce côté du mur et que vous pouvez peut-être retrouver vos proches de l'autre côté ? Survivre n'est pas vivre, parfois mieux vaut mourir... La ville est séparée en deux par une immense frontière. Hugo se terre dans son appartement et assiste aux bombardements de l'autre côté du mur. Pauline est réfugiée dans le métro sous les décombres. Dans cette partie de la ville tout est dévastation, débris enfouis sous une épaisse couche de cendres toxiques. Tous deux sortiront braver les dangers. Elle pour retrouver la lumière, lui pour la retrouver, elle. Olivier Gallien nous offre là un roman très noir. C'est la guerre, guerre civile apparemment. Nous ne savons pas où, ni pourquoi, mais cela se passe de nos jours et près de chez nous. Très certainement ici même. Les personnages ont des prénoms français et pas des noms du bout du monde. Donc forcément on s' identifie d'autant plus facilement. L'horreur et la mort n'ont pas de nation. Pauline et Hugo ont parfaitement conscience que sortir est très certainement un suicide. Mais comment supporter plus longtemps d'être dans le noir, de vivre comme un rat parmi eux ? Et comment rester caché chez soi quand vous êtes le seul survivant de ce côté du mur et que vous pouvez peut-être retrouver vos proches de l'autre côté ? Survivre n'est pas vivre, parfois mieux vaut mourir dans un dernier sursaut d'espoir que s'éteindre à petit feu. Les chapitres sont courts, incisifs, passant du point de vue d'Hugo à celui de Pauline et donnant au récit un rythme d'autant plus haletant. Si vous aimez les ambiances très noire, foncez découvrir ce roman. Vu l'intensité de cette première publication, Olivier Gallien va être un auteur à suivre, assurément.
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